Moyenne
9.0
1 vote
MAUVAIS
Une note (manifestement beaucoup plus récente que l'ensemble du texte, mais non datée) dit: > C'est sœur Lucie qui me les a transmis.
Ma tentation fut grande de tirer de ce journal la manière d'un roman. Faut-il que je l'avoue: j'ai même essayé, à deux reprises, de mettre bout à bout, dans un ordre différent, ces éléments d'un récit.
A la réflexion, je me suis dit qu'il valait mieux laisser à ces pages leurs forme originelle.
Elle me paraissent rendre compte d'un drame dans lequel tant d'âmes se trouvent, d'une manière ou de l'autre, engagées. A quoi bon dérober sous les voiles d'une intrigue cette vérité que MArtin Mayor eut le soucis de nous transmettre ?
Quant à la maladie dont l'auteur parle à la dernière ligne de ses longues confidences, j'ai la certitude qu'il s'agit du cancer. Il en est mort, le malheureux. J'ai seulement osé écrire le mot qui lui répugnait.
Ainsi, du moins, le titre de ce livre est-il bien de ma main.
1964 Editions Desclée de Brouwer
Langue française | 291 pages
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- DoctorWho Le 17 Août 2018 à 10:00
Je ne suis pas sûr d’avoir compris le sens de ce livre. L’intrigue n’est jamais clairement énoncée ce qui n’aide pas pour entrer dans le roman. Tout se déroule lentement, j’aurais pu passée outre si ça n’avait pas été accompagné d’une platitude totale.
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