#1 11 Septembre 2009 22:38:42
<image>Wikipédia a écritClaudie Gallay est une écrivain française née en 1961 à Bourgoin-Jallieu. En parallèle de son activité d'écrivain, elle exerce à temps partiel le métier d'institutrice.
Un de ses romans :
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4ème de couverture.
La Hague... Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il arrache les ailes des papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin vit une poignée d'hommes. C'est sur cette terre âpre que la narratrice est venue se réfugier depuis l'automne. Employée par le Centre ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et leurs oiseaux migrateurs. La première fois qu'elle voit Lambert, c'est un jour de grande tempête. Sur la plage dévastée, la vieille Nan, que tout le monde craint et dit à moitié folle, croit reconnaître en lui le visage d'un certain Michel. D'autres, au village, ont pour lui des regards étranges. Comme Lili, au comptoir de son bar, ou son père, l'ancien gardien du phare. Une photo disparaît, de vieux jouets réapparaissent. L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme l'attire. En veut-il à la mer ou bien aux hommes ? Dans les lamentations obsédantes du vent, chacun semble avoir quelque chose à taire.
Premières impressions :
- Déjà, je n'aime pas le style d'écriture. Les formulations du style : - "Tu vas bien ?", elle dit ! Pour moi, il faut une inversion ou ça choque... Et là, ça choque !
- Je suis dérangée par le fait de ne pas connaître le prénom de la narratrice, son âge... rien... Aucune identification possible, aucun attachement. On sait juste qu'elle a vécu un moment dans le coin d'Avignon, qu'elle étudie les oiseaux et qu'elle parle à un "toi" dont on ignore tout mais dont on imagine qu'il a disparu...
- Niveau histoire : beaucoup de personnages dont on ne sait rien... à part des bribes lâchées un peu comme ça. Pour le moment, après 110 pages, je peux dire que pour moi, ça n'a ni queue ni tête !
Comme vous pouvez le constater, à peine 110 pages en 3-4 jours, j'avance pas des masses... Je m'ennuie un peu pour l'instant. On verra par la suite.