#25 10 Février 2010 22:05:48
J'ai envie de citer le premier passage que j'ai adoré dans ce roman (p.17):
Yannick mourut aussi vite sans doute, mais moins bien. Alors qu'il venait de libérer Gorgonzola de ses sangles, le coup de feu lui fit précipitamment lever ma tête et entamer un juron que, malgré tous ses efforts, il n'avait pu achever.
Sa langue et son larynx furent broyés par la première cartouche. Quant à sa cervelle, la quantité répandue dans diverses parties du véhicule rendait totalement impossible une restitution immédiate au loueur.