La république des enragés

Synopsis

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MAUVAIS

Mai 68, un pavé lancé sur un CRS. La colère étudiante embrase Paris.
Seize ans plus tôt, neuf enfants, cobayes pour un programme ultra-secret, s’échappaient de l'Institut Heintelle. Ils ont grandi, développé leurs talents extraordinaires et vont tenter, dans le chaos qu'est devenue la capitale, de mener à bien leur propre révolution.
Dans ce nouveau monde où il est interdit d’interdire, est-il permis de tuer ?
Deuxième roman de Xavier Bruce, après Incarnations, La République des Enragés est une ode féroce et séduisante à la liberté, une uchronie politique et révoltée. Jouant avec les événements de Mai 68 qui ont façonné notre société, l'auteur donne à lire sa version du mythe où l'artiste apparaît comme unique salut et les arts comme de puissantes armes.

Format

Lectorat

Genre

2 éditions | 2 chroniques | 3 commentaires

2 éditions pour ce livre

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Couverture La république des enragés Editions ActuSF (Les 3 souhaits) 2015

2015 [E-book] Editions ActuSF (Les 3 souhaits)

Langue française | 312 pages | Format : ePub | Sortie : 6 janvier 2015 | ISBN : 9782366293302

2015 Editions ActuSF (Les 3 souhaits)

Langue française | 312 pages | Sortie : 1er janvier 2015 | ISBN : 9782917689714

Acheter | 18 €

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3 commentaires

joyeux-drille Le 01 Mars 2015 à 17:35
Les X-Men font Mai 68. On plonge dans cette folle semaine où Paris s'enflamme, les barricades sont dressées et les affrontements sont très violents. Au milieu, de jeunes hommes et femmes aux aptitudes particulières, qui ont rejeté leur destin, voudrait bien aussi qu'on révolutionne ce cher et vieux pays. Bruce joue avec les événements et la lutte pour le pouvoir entre extrêmes, gauche et droite.
gloubik Le 17 Avril 2015 à 13:44
Une page m'a suffit pour en abandonner la lecture. Ce style télégraphique et mal équilibré m'est hautement désagréble.
Lauryn Le 17 Avril 2015 à 13:47
Dès le début, le style m'a profondément déplu, par son rythme saccadé, fait de petits bouts de phrases qui se succèdent. J'avoue que je déteste ce type de narration, je la trouve désagréable au possible et pas du tout immersive.