Synopsis
Drame cathare à la clé, ce roman de Jean-Louis Marteil , le premier d'une série prometteuse, nous entraîne au coeur de l'action. Avec un déroulement proche de l'histoire on revit ce drame cathare et les raisons qui ont conduit à de telles conséquences . C'est vraiment le roman de la croisade par excellence, qui nous emporte avec des personnages bien campés et une trame où l'intrigue est reine. On souhaite à l'issue de cette première époque , connaître le destin des personnages imaginaires que l'auteur nous fait découvrir. Pour les amoureux du genre, cette série est à compulser...
Béziers, le 22 juillet 1209.
« La journée durant, le sang et le feu se partagèrent la ville. Ce fut un épouvantable carnage. Les bêtes et les hommes s’embrasaient au passage de véritables tornades de flammes et le sang cuisait dans les caniveaux, dans les caves, ou s’échappait en torrents d’épouvante vers le bas de la ville. Les bras étaient gourds à force de frapper, les destriers pataugeaient dans une boue rougeâtre et collante, la fumée à l’odeur de mort tentait de masquer l’horreur en s’engouffrant dans les maisons, dans les couloirs, dans les rues... On hurlait sans pouvoir s’entendre car le bruit était terrible, les poutres des toits craquaient en s’effondrant, les murs grondaient en éclatant sous la chaleur et s’abattaient enfin, noirs et épars, sur quelque survivant ou sur quelque tueur à la recherche de rapine, et c’était comme si rien, jamais, n’avait été construit là... Dans l’armée de la croisade, nul, ou presque, ne douta que la main de Dieu venait de s’abattre sur la cité impie... »
Béziers, le 22 juillet 1209.
« La journée durant, le sang et le feu se partagèrent la ville. Ce fut un épouvantable carnage. Les bêtes et les hommes s’embrasaient au passage de véritables tornades de flammes et le sang cuisait dans les caniveaux, dans les caves, ou s’échappait en torrents d’épouvante vers le bas de la ville. Les bras étaient gourds à force de frapper, les destriers pataugeaient dans une boue rougeâtre et collante, la fumée à l’odeur de mort tentait de masquer l’horreur en s’engouffrant dans les maisons, dans les couloirs, dans les rues... On hurlait sans pouvoir s’entendre car le bruit était terrible, les poutres des toits craquaient en s’effondrant, les murs grondaient en éclatant sous la chaleur et s’abattaient enfin, noirs et épars, sur quelque survivant ou sur quelque tueur à la recherche de rapine, et c’était comme si rien, jamais, n’avait été construit là... Dans l’armée de la croisade, nul, ou presque, ne douta que la main de Dieu venait de s’abattre sur la cité impie... »
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