[Suivi lecture] Dea Blackbird

 
  • Dea blackbird Kocka

    Chercheur de mots

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    #1 21 Avril 2019 10:29:50

    Ahoj tam !

    Voici quelques jours que je songeais à ré-ouvrir un suivi lecture. Je ne sais plus très bien comment on s'y prend, mais l'idée est avant tout pour moi d'avoir un espace complémentaire à mon blog (que je ne souhaite pas transformer en blog littéraire ou carnet de lecture) dans lequel je pourrais parler davantage de mes lectures et ressentis, y compris lorsque la lecture n'est pas grandiose. J'avouerais également que regarder vos suivis lectures au hasard me manquent car on y fait des découvertes intéressantes !
    Je vous propose de vous asseoir sur un des fauteuils bien douillet ! Du lait, du sucre dans votre thé ?

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    Après quelques semaines d'errance littéraire (ou d'errance énergétique tout court), je me suis enfin retrouvée en tant que lectrice. Las de ne trouver de l'énergie pour pas grand chose, je me suis lancée un défi sous forme de coup de pied aux fesses : 7jours, 7livres. Il me manque deux petites lectures pour clôturer ce défi mais j'ai déjà commencé ma lecture du jour et je compte lire une bande dessinée pour rattraper la journée du vendredi où je n'ai pas lu. Je compte dédier un article sur le blog au sujet de ce défi, mais il m'a fait du bien sur tous les plans, et je pense le réitérer le mois prochain. Peut-être que je le proposerais en challenge sur le forum. Après tout, nous sommes plusieurs à souffrir du syndrome de l'écureuil en ce qui concerne nos PAL ! (Non, mais rassurez-moi : je ne suis pas la seule à avoir une PAL que je juge déraisonnable ?)


    Pour ce septième et dernier jour du challenge, j'ai décidé de lire le Phare de P.D. James tout en sachant que je ne le lirais certainement pas entièrement aujourd'hui mais si j'atteins les 180-200pages, je considérerais avoir lu un livre pour ce challenge. J'en ai lu le premier chapitre ce matin, je ne suis pas déçue. J'avais envie de lire un policier et pour le moment tout concorde avec la quatrième de couverture qui m'a donné l'eau à la bouche ce vendredi lors de l'achat. Oui, car le lecteur est un individu paradoxal : il rêve de faire chuter sa PAL  et se lance des challenges pour la réduire considérablement mais dans le même temps, il ne peut s'empêcher d'y ajouter des livres !  Appelez moi Sisyphe !
  • FloXy

    Empereur des pages

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    #2 21 Avril 2019 22:29:30

    L'invasion polonaise commence O_o

    Pour ta PAL, ne t'inquiète pas, tu es encore dans les petites joueuses ;)
    Et puis tu sais comment finit Le mythe de Sisyphe ? Camus écrit qu'"il faut imaginer Sisyphe heureux." :grat:
    Je me suis longtemps trimballé avec un avatar du mouvement WPF (Wilf PAL Forever) :cool:
  • Catyladya

    Lecteur professionnel

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    #3 21 Avril 2019 22:39:32

    Je m'abonne à ton suivi aussi :)
  • Kiatoulu

    Serial lecteur

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    #4 21 Avril 2019 22:41:06

    Je rêve d'avoir une PAL de 33 livres!
  • Dea blackbird Kocka

    Chercheur de mots

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    #5 22 Avril 2019 13:30:39

    MyFloXyBabY a écrit

    L'invasion polonaise commence O_o

    Pour ta PAL, ne t'inquiète pas, tu es encore dans les petites joueuses ;)
    Et puis tu sais comment finit Le mythe de Sisyphe ? Camus écrit qu'"il faut imaginer Sisyphe heureux." :grat:
    Je me suis longtemps trimballé avec un avatar du mouvement WPF (Wilf PAL Forever) :cool:


    Bonjour,

    Pour rassurer certaines d'entre vous, la Pal que je présente sur livraddict n'est que la partie émergée de l'iceberg.  Entre les titres qui ne sont pas référencés sur LA et que je n'ai pas forcément le courage d'entrer, la partie de la PAL qui est en garde meuble depuis quelques années (les joies de ne pas avoir de possibilité d'étagères ou meubles bibliothèque dans son espace de vie réduit)... Je suis plutôt autour de la soixantaine de livres, dans le meilleur des cas (ok, par rapport à certains sur LA, ça reste très light, mais l'accumulation (en tout genre)  a tendance à me peser. Je conçois cependant qu'on vive sa PAL de manière plus libre et joyeuse !).

    J'ai bien avancé ma lecture du Phare de P.D. James hier, j'en suis à plus de la moitié. Je savoure toujours autant, je crois que je succombe peu à peu au charme de l'inspecteur Dalgliesh. Ceci dit, on avance lentement dans l'intrigue mais le paysage dépeint est tellement agréable que cela m'importe peu.

    J'ai profité de cette matinée férié pour faire un tri dans mon armoire à épices qui débordait rédiger un petit bilan de mon challenge 7 livres en 7 jours. Cela se trouveici sur le blog. Et si je repasse ici, c'est essentiellement pour partager quelques impressions sur mes lectures.

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    Le scandale Modigliani de Ken Follet m'a laissé sur ma faim. Historienne de l'art de formation, j'avais repéré ce titre il y a quelques mois sur les étagères de mon emmaus. Je me suis laissée séduire encore une fois par la quatrième de couverture et une nouvelle fois, ça ne l'a pas fait avec Ken Follet. L'histoire est bien alléchante, l'écriture est plutôt agréable mais je n'arrive pas à rentrer pleinement dans ces romans. Ici, les premiers chapitres m'ont titillé, ils m'ont donné plein d'espoir et puis finalement, je suis passée à côté des personnages que je n'ai pas trouvé très fascinant ou particulièrement bien travaillé, et là où j'imaginais des actions rebondissantes propre au marché de l'art, l'action est restée plutôt plate. C'était mon second Ken Follet, mais le premier m'avait laissé le même sentiment : une belle matière, une belle intrigue mais pas suffisament exploitée à mon goût pour m'enthousiasmer et impacter le lecteur. Je ne sais pas ce qu'il en est pour Les Piliers de la Terre, j'hésite à les lire car j'ai peur de m'ennuyer.  Quelqu'un l'a-t-il lu ?

    Le maître de thé de Yasushi Sinoué m'a laissé de marbre également, mais je m'y attendais. Je peux autant aimer la littérature japonaise que la détester. Je n'ai pas lu énormément de lecteurs japonais mais au moins six ou sept auteurs différents et globalement, je trouve qu'ils ont un côté contemplatif, une lenteur du récit qui va selon les livres, fonctionner à merveille avec moi ou pas du tout. Ici, je suis passée à côté. Ce n'est pas grave, ça arrive et je préfère ne pas forcer la lecture, ce qui m'a surtout amené à abandonner est la multiplication de nom, de lieu, de référence historique qui ne m'évoque rien et qui font que je me suis peu à peu perdue dans le récit jusqu'à finir par lire sans compréhension. A relire plus tard, peut-être.

    J'ai ponctué ma semaine avec une petite bande dessinée sympathique qui retraçait la vie et carrière d'un artiste musicien qui a connu les sommets et les abysses à intervalle régulier. Le Roi invisible nous narre de manière graphique les aventures de Oscar Aleman. On s'interroge, on sourit et on s'indigne. On en profite pour retrouver le Paris de Montmartre, Joséphine Baker, Duke Ellington et autres grands noms. J'ai trouvé que le graphisme collait assez bien aux différentes ambiances dépeintes. Ce n'est pas la bande dessinée "wahou" ou celle dont l'histoire va nous remuer les tripes mais elle nous fait passer un agréable moment.

    Et le livre sur lequel j'ai réellement envie de m'étendre est une Flamme dans la nuit de François David. J'étais étonnée de voir que personne ne l'avait lu sur Livraddict ou en tout cas, il n'avait encore ni note, ni avis. C'est pour moi un roman jeunesse, mais un roman tout court qui est une pépite cachée. J'ai très vite eu les larmes aux yeux et on ne peut être que touché par cette histoire.
    Une petite flamme dans la nuit est un recueil d'histoire ou petits contes assez enfantins, horrifiques et également plein d'espoirs. Ces histoires sont racontées par une maman à sa fille dans un contexte bien particulier car très vite, on comprend que les deux sont prisonnières des camps de la mort. Si la maman murmure "bouche contre oreille" pour ne pas être surprise par les gardiennes, une histoire à sa fille, c'est pour l'endormir bien sûr mais lui donner un espace autre que celui des camps et de la mort. Les histoires sont souvent cruelles mais les méchants sont punis. Avec des yeux d'adultes, on comprend le parallèle entre les histoires et la réalité historique, mais je pense qu'en tant qu'enfant, jeune lecteur, on ne peut être que toucher. C'est une belle manière d'aborder ce sujet délicat, je trouve, avec les plus jeunes et de ne pas oublier... Si vous avez l'occasion de mettre la main dessus, de mémoire il a été publié en 1996, n'hésitez pas.

  • Kiatoulu

    Serial lecteur

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    #6 22 Avril 2019 15:34:58

    Tes avis sont chouettes! Et je trouve ça cool que tu parles de livres peu connus sur LA! Continue pour mon plaisir! :)
  • FloXy

    Empereur des pages

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    #7 22 Avril 2019 17:04:33

    Kiatoulu (quel joli nom indien) a parlé. Fais lui plaisir un peu. ;)

    De toute façon on n'est pas là pour déterminer qui a la plus grosse (PAL), moi aussi je ne mets pas tout dans la mienne.
    Et puis ce n'est pas la taille qui compte, mais le goût ! De toute façon les vrais ambitieux on les reconnait à leur WL. :cool:

    Joli masque sinon au fait. :pouceleve:
  • Dea blackbird Kocka

    Chercheur de mots

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    #8 27 Avril 2019 21:18:25

    Dobry den,

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    J'ai terminé ce matin ma lecture du Phare de P.D. James et j'avoue avoir savourer ma lecture avec lenteur. Quelques pages chaque matin de la semaine, je me sentais bien sur cette île britannique avec les enquêteurs et les habitants aux idées parfois un poil utopique. Comme déjà écrit, je suis tombée amoureuse de l'inspecteur Dalgliesh, c'est bien, il m'aura fallu une page. J'aime sa personnalité, son histoire, même si comme ce titre de P.D. James appartient à une série et plutôt au dernier tome de la série tournant autour de l'inspecteur Adam Dalgliesh, j'aime ce que j'en ai vu et j'aurais plaisir à replonger dans un autre tome. Cela m'a rappelé la série Shetland de Ann Cleeves et les aventures de l'inspecteur Jimmy Perez que j'aimais suivre. Malheureusement, en dehors des trois premiers tomes, il me semble que le reste n'a pas été traduit. Dommage.  Je ne sais pas vous mais quand je lis des policiers, j'adore être projeté dans un décor un poil celtique avec des falaises, une mer déchainée, une météo peu clémente.

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    Je me suis ensuite lancée dans une lecture plus graphique avec un beau livre illustré par Benjamin Lacombe  :l'Ombre du Golem, sur une version de la légende de Eliette Abécassis. Pourquoi ce choix ? Parce que j'attends avec impatience de retourner en République Tchèque, je rentre bientôt dans la phase, je compte les dodos et surtout j'avais envie de me replonger dans la légende du Golem sans relire pour autant une énième fois le Kabbaliste de Prague de Marek Halter (oui, oui, je me confesse ce livre est particulier pour moi, je l'ai lu plus d'une dizaine de fois en un an et je ne peux m'empêcher d'en tourner les pages assez régulièrement. Mon édition est toute abîmée à force d'être trimballée à gauche, à droite, remplie de post-it et de souvenirs.).  Si je devais donner mon avis en bref sur l'ouvrage : je reste sur ma faim. Pourquoi ?

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    Commençons par la partie littéraire, le mythe du Golem et celui du Maharal par Eliette Abécassis. Sa version est finalement assez loin de celle que j'ai pu lire. Pour cause, il s'agit ici d'une version moderne et jeunesse (parfois un poil enfantine) et j'ai eu tendance à oublier ce détail parfois, en trouvant que ça manquait de piquant, de sciences, de spiritualités. Finalement, on reste sur une version sage et c'est plutôt logique si on tient compte du public ciblé. Néanmoins, j'ai trouvé le texte parfois un peu long, avec énormément d'énumérations qui n'ont pas forcément grand intérêt et qui alourdissent le style. Je regrette de ne pas avoir eu d'émotion par rapport aux personnages : celui de Zelmira ne m'a pas vraiment touché, le Maharal qui me fascine habituellement et est censé fasciné Zelmira n'est pas assez énigmatique, enchanteur à mon goût. Je regrette également que Prague et sa singularité pour l'époque ne soit pas expliqué de manière assez marqué. Finalement, Prague ou une autre ville pour toile de fond, ça n'a pas tellement d'importance pour cette histoire. Je garde à l'esprit en écrivant ces lignes que l'autrice s'adresse à un public cible jeune voire assez jeune et par conséquent les points que j'ai soulevé et qui semblent négatifs, le sont sans doute pour moi parce que je ne suis pas ou plus dans la cible. La seule chose dont je suis certaine à l'heure où j'écris ces lignes :  le prologue et l'épilogue m'ont laissé sceptique, tout comme la définition du Golem où on le décrit simplement comme étant une machine au même titre qu'un ordinateur. Rassurez-vous, j'ai apprécié quand même ma lecture mais globalement, je suis mitigée plus sur le fond que la forme (mais les mythes, contes et légendes ont tous plusieurs versions et nous sommes chacun sensible à différents aspects de ces histoires).

    Passons à la partie graphique... Bon là encore, on va se dire que je n'ai rien aimé alors que non, j'ai apprécié les illustrations proposées. Personne n'a plus besoin de présenter Benjamin Lacombe et son travail. Si je ne suis pas sa plus grande fan, j'aime beaucoup son style et je trouve son succès amplement mérité vu le talent et le travail derrière chacune des illustrations qu'il crée. Néanmoins, je trouve globalement son travail un poil répétitif en terme de colorimétrie, de composition et d'apparence des personnages. Finalement, j'aimerais que cet illustrateur quitte sa zone de confort pour surprendre et me surprendre. (Il ne s'agit pas de changer totalement sa patte mais d'y introduire de nouvelles choses, de nouveaux défis et si je l'écris, c'est parce que je crois qu'il en est plus que capable). Bon la partie illustration m'a laissée sur ma faim car je les ai trouvé trop peu nombreuses pour un livre illustré jeunesse,  peut-être qu'une mise en page du texte moins sobre et classique m'aurait permis de trouver visuellement davantage de liant entre les pages qui ne contenaient que du texte et les illustrations.

    Je résumerais simplement mon avis en disant que je n'ai pas eu l'effet wahou que j'attendais: je ne suis ni redevenue une enfant, ni une lectrice qui se balade à travers l'espace temps.  Je n'ai pas réellement adhéré à la définition du Golem telle que proposée par l'autrice, je n'ai visuellement pas accroché à la représentation du personnage Golem qui, en toute sincérité, me faisait penser à E.T. plus qu'à un géant de terre. C'est une bonne lecture, un joli objet livre avec de belles illustrations (dont certaines avec des perspectives de folie) mais il manque pour moi d'alchimie entre les personnages imaginés par l'autrice et aussi, je l'avoue entre le texte et l'image. Il ne manque pas grand chose pour basculer du bon livre jeunesse au très bon livre jeunesse qui peut s'adresser aux jeunes comme aux moins jeunes.

    Dernière modification par Dea Blackbird (27 Avril 2019 21:19:09)

  • Julie27

    Administratrice

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    #9 29 Avril 2019 15:17:13

    Coucou :)

    Qu'est-ce que j'aime découvrir des petites pépites bien cachées. Je me note tout de suite "Flamme dans la nuit" ;)
    Je n'ai encore rien lu de P. D. James mais j'aimerais bien découvrir cette saga (donc j'essaierai de trouver le tome 1).

    Et surtout : je me note tout de suite "Le Kabbaliste de Prague" !

    Bonnes lectures.
  • Dea blackbird Kocka

    Chercheur de mots

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    #10 04 Mai 2019 14:09:55

    Julie27 a écrit

    Coucou :)

    Qu'est-ce que j'aime découvrir des petites pépites bien cachées. Je me note tout de suite "Flamme dans la nuit" ;)
    Je n'ai encore rien lu de P. D. James mais j'aimerais bien découvrir cette saga (donc j'essaierai de trouver le tome 1).

    Et surtout : je me note tout de suite "Le Kabbaliste de Prague" !

    Bonnes lectures.


    Ah ah, je ne peux que te souhaiter de bonnes lectures. J'espère que tu aimeras autant que moi le Kabbaliste de Prague si tu le lis.  ;)


    Cette semaine, je me suis décidée à terminer un livre que j'ai commencé, il y a un petit moment : Rendez-vous au Cupcake café de Jenny Colgan. Je l'ai commencé, il y a un mois et malgré le fait qu'il constitue une lecture facile, je l'avais un peu reposé à la moitié sans savoir si j'allais le reprendre. Au moment où j'écris ces lignes, il me reste une quarantaine de pages à lire et mon avis est un peu mitigé, je pense qu'il ne changera plus beaucoup.

    Jenny Colgan m'avait enchanté avec la Petite boulangerie du bout du monde que j'avais trouvé très rafraîchissant, mais il est vrai que je n'avais pas éprouvé l'envie de lire les tomes suivants car je voyais difficilement comment la suite de cette saga pouvait conserver sa fraîcheur. Aussi, je préfère le considérer comme un one-shot. Lire Rendez-vous au Cupcake Café m'a confirmé que j'ai bien fait de ne pas me lancer dans le tome 2 de la petite Boulangerie de Polly.

    C'est un livre léger, avec une écriture simple, fluide mais à mon sens, il est trop attendu. L'autrice utilise quasiment les mêmes ressorts que dans la Petite Boulangerie. La typologie des personnages ne changent pas beaucoup et je crois c'est ce que je regrette le plus. J'ai choisi ce livre car je voulais lire quelque chose de léger et de frais, une lecture rapide sans prise de tête, c'est ce que j'ai eu mais la contrepartie, c'est qu'on oublie totalement de donner à cette histoire quelque chose de singulier, de nouveau. Le côté trop girly de ce livre m'a un peu pesé car sous prétexte de bonnes intentions, j'ai trouvé qu'on y véhiculait des propos un peu clichés (et limite) sur les femmes. Ceci dit, je ne m'attendais pas à lire un roman engagé, donc tout va bien. ;)

    En bref, c'est une lecture sans surprise aucune qui reste agréable mais pas très novatrice et rafraîchissante. Je vais terminer les quelques pages qu'il me reste à lire mais je commence déjà à songer à la prochaine lecture. J'hésite entre plusieurs choses : piocher dans ma P.A.L. et me plonger dans le tome 2 du Cimetière des Livres Oubliés ou aller à la médiathèque emprunté un livre d'Olivier de Kersauson mais je crois avoir lu tous ces livres déjà.