Philip K. Dick

C'est ton avis, mais c'est pas le mien: Tous les roman écris avant les année 90, je les considère comme "vieillot" (je pense par exemple à l'échéquier du mal que j'ai pourtant dévoré) : dans la grandes majorité des roman classiques l'histoire d'une femme se finit bien quand elle fini bien mariée, c'est rare qu'on montre d'autre possibilité de bonheur que lemariage, pour ma part je trouve ça assez kitch, mais c'est pas le point de vu de tout le monde et je l'accepte.

Quand aux romanx de SF avec la pate année 60 j'ai déjà demandé si ça gênait parceque le futur qu'ils prédisaient ne s'était pas réaliser, j'ai eu des réponses ( venant même de toi!) et ces réponses m'ont toute satisfait, on va pas en revenir éternellement.

Je tiens juste à dire que dire par exemple que Substance mort se déroulait en 1994 était une façon de justifier l'univers.

Malgré les apparences, Je pense pas que le But d'un roman de SF est de tenter de véritablement prédire l'avenir, c'est juste un défouloir pour l'imagination débordante des auteurs (ceci est mon avis), un autre  moyen de dire : et si...

Si par hasard l'auteur fait des prédilections tant mieux, mais en général je lis pas de la SF pour qu'on me prédise l'avenir, c'est juste pour me confronter à l'imagination de l'auteur. Je sais que c'est pas le cas de tout monde, et apparement je suis en minorité.

Je pensais que le roman d'anticipation était de la SF, mais je ne suis pas une acharnée de la catégorisation :) Anticipation, sous-cat de la SF ? Peu importe, c'est vrai =)

J'ai terminé Le maître du Haut Château hier soir.
Je ne l'ai pas trouvé lourd du tout, je dirais presque que Dick n'en laisse pas le temps, vu que c'est assez court, et je l'ai lu en une journée. J'ai beaucoup aimé le côté introspectif (je commence à comprendre que c'est propre à l'auteur ?), on est tout le temps dans les pensées de l'un ou l'autre, surtout dans un rapport à l'autre. J'ai trouvé les relations personnelles ou les relations aux événements pertinents et réalistes. Evidemment le côté uchronie dans l'uchronie est une expérience intéressante, mais j'ai presque envie de dire "sans plus", ce n'est pas ce qui m'a marquée le plus.
Sans rien dévoiler de l'intrigue, on ne peut pas nier que la femme jour un rôle clé dans ce roman-là ^^ C'est encore plus le cas dans Confessions d'un barjo :  le personnage le plus important du roman est une femme (premier livre écrit par Dick, avant les années 60). De ce point de vue, je ne pense pas que Philip K. Dick soit à la ramasse...

Le hasard de mes lectures a fait que je venais de terminer une histoire des Etats-Unis (Les Américains de Kaspi), on peut dire que ça tombait vraiment bien ! On apprécie d'autant plus une uchronie lorsqu'on a les faits historiques véritables fraichement en tête ^^