#1911 11 Août 2015 02:31:06
Ingrid, j'avoue que ça m'a pas mal embêtée que l'auteure prenne autant de libertés même si au final elle ne change rien dans les faits avérés, elle brode juste beaucoup autour de ce qui s'est passé. Faut le prendre comme un truc divertissant, moi ça m'a surtout amusée de rencontrer Lorenzo de Medici, Michelangelo, Botticelli, Leonardo, toussa toussa :)
de-pages-en-pages, Eleanor & Park est un excellent roman pour retrouver ses quinze ans.. Très très très touchant, j'essayerai de publier ma chronique demain :)
Gil, j'imagine qu'avec ton boulot de dingue ça doit pas être simple mais si tu as l'occas une fois il faut vraiment visiter la Toscane, c'est un endroit.. avec une atmosphère toute particulière. Pour peu qu'on soit sensible aux belles choses, y'a vraiment de quoi être touchée au plus profond de son ptit coeur, sans vouloir exagérer :p Pour Chasseuse de vampires j'ai hésité longtemps (normalement je laisse ce genre de SP, je me torture pas non plus) mais là comme j'avais bien aimé l'univers j'ai essayé de lire quelques pages et j'ai bien accroché, du coup je continue. C'est un peu dur de comprendre le fond mais comme l'auteure se répète et explique pas mal, je gère plutôt bien :)
Fini Jules de Carole Trébor et j'ai adoré.. jusqu'à la fin. J'ai aimé tout le roman - une tension de dingue, un héros pas hyper charismatique mais aux autres côtés plutôt attachants, un monde en plein chaos, des ados normaux qui doivent se battre pour survivre.. c'était génial. Par contre, la fin, quelle horreur! Je ne comprends pas qu'on puisse finir ça comme ça, je voulais plus, je voulais que l'auteure utilise le pitch de base et tout mais non, c'était super plat.. Du coup je me suis lancé dans Koridwen en croisant les doigts très fort pour qu'il se passe quelque chose de plus. (Par contre j'ai rencontré les autres personnages et ça a confirmé mon impression; je voulais trop lire les deux autres que je n'ai pas, bouhouhouhou.)
Enfin bon, j'ai aussi publié deux petits articles:
Atlantia d'Ally Condie.Max de Sarah Cohen Scali.