Un roman que j'ai commencé à écrire il y a longtemps...

Voilà la suite :

"Kate, c'est toi?" m'aventurais-je d'une voix hésitante.

N'entendant rien, je décidais alors de plonger dans mon bain de volupté et de douceur, en fermant les yeux et en imaginant être sur un nuage. Ah, quel bien fou ça fait de prendre un bon bain. Je repensais alors à mon rêve de cette nuit, enfin de cette micro-nuit. Il m'avait semblé si court et pourtant, presque six heures s'étaient écoulées à mon réveil. Je ne parvenais pas à comprendre comment je m'étais retrouvée à flotter dans Londres. C'était la première fois que je rêvais comme ça. Ou que je me rappelais de mon rêve dans les moindres détails. J'avais une bonne mémoire, certes, une très bonne mémoire même, mais jamais de ma vie je n'étais parvenue à restituer les détails d'un rêve, même un rêve qui avait duré 10 minutes. Je me souvenais de l'odeur d'amande très présente, comme si quelqu'un faisait cuire un gâteau, et le picotement au bout de mes doigts était si intense que j'avais l'impression qu'il était encore présent même dans le bain. Je m'immergeais alors un peu plus, jusqu'à la limite de mes narines, comme pour m'enfouir dans ce nid de mousse toute douce. Ah...

"MAYLEEN!!!!"

J'avais entendu mon prénom un bon nombre de fois ces dernières vingt-quatre heures, mais la force et les décibels utilisés pour le dire cette fois ci ont bien failli me faire noyer dans mon propre bain. Kate. Mais elle n’était pas un peu dingue elle?

"Mayleen, je vois que tu ne t'en fais pas! me dit-elle simplement.

-Que je ne m'en fais pas? Qu'est-ce que tu veux dire par là? lui demandais-je alors, étonnée.

-Le bol de lait par terre dans la cuisine, tes chaussures qui trainent dans le couloir, tes vêtements éparpillés partout dans l'appart, tu n'as pas l'impression d'abuser là?

-Dans le couloir? Non je les ai enlev...Oh et puis Kate, s'il te plaît, pas maintenant... J'ai été réveillée trop tôt par un mannequin pour sous-vêtements trop beau et j'ai vraiment besoin d'un bon bain, lui dis-je en me mettant cette fois ci la tête entière sous l'eau.

-Quoi? Boulhouhouu Blahh Bahaiiin blouu Bleuhaaahh?" 

Je sentis soudain qu'elle m’attrapait fermement mais gentiment par la tête, pour me la sortir de l'eau.

"Quoi? Réveillée par un mannequin pour sous-vêtements? Tu peux m'expliquer ça? Son visage s'était alors adoucit pour exprimer sa curiosité.

-Mais oui, lui répondis-je. Monsieur le voisin du dessus a un chat. Son chat a sauté par la fenêtre et s'est retrouvé sur notre balcon. Du coup il est venu tambouriner tout à l'heure à la porte et on a fait connaissance.

-Et?

-Et il est plus que charmant! Il s'appelle Liam et il a un regard de malade...Sans parler de ses fesses!

-Mayleen? C'est bien toi? Je ne t'entends jamais parler d'un homme comme ça! C'est qu'il doit vraiment valoir le coup d'œil!

-Oh que oui, lui répondis-je d'un grand sourire. D'ailleurs on est invitées à dîner chez lui un de ces soirs.

-Quoi? Comment ça?

-Et bien, il a dit que quand j'aurai bien dormi et que j'aurai pris un bain, il nous invitera à manger chez lui.

-Pas très délicat comme invitation! me fit elle remarquer.

-Je sais, mais je n’ai pas été tendre avec lui non plus. Tu sais bien comment je suis quand je n’ai pas dormir mes heures.

-Mais il te faut combien d'heures de sommeil, la marmotte?

-Bien, comme tout le monde, je pense que pour avoir une attitude convenable sept ou huit heures ne sont pas de trop.

-Mais Mayleen, il est 14h, à quelle heure il est venu le voisin?

- Je ne sais pas moi, ah si il était 9h16 quand j'ai ouvert les yeux. Mais il n'a pas pu se passer autant de temps depuis, il n'est resté que 5 minutes! Et j'ai fait couler mon bain juste après qu'il soit partit...

-Et ton eau est encore chaude, dit-elle sa main dans l'eau en me fixant étrangement.

-J'en sais rien moi, j'ai dû m'endormir et remettre de l'eau chaude sans m'en rendre compte voilà tout.

-Toi alors, tu me surprendras toujours. Tu es capable de me dire comment j'étais habillée la première fois qu'on s'est parlé à la fac et tu ne sais même pas me dire si tu as remis de l’eau chaude dans ton bain? Des fois je me dis que tu devrais consulter...lança-t-elle en riant et s'éloignant de la salle de bains.

Mais elle avait raison. J'avais plutôt une bonne mémoire alors comment est-ce que je pouvais occulter le fait de remettre de l'eau chaude dans mon bain? J'allais devoir me pencher sérieusement sur la question, mais pas aujourd'hui.

Une fois sortie du bain, j'ai surfé un peu sur le net, en essayant de trouver à quel acteur Liam me faisait penser. Je revoyais aussi la chatte, Lumos, qui m'avait fixée pendant un long moment avec ses yeux perçants. Kate me tira une fois encore de ma rêverie afin de déguster un bon plateau de sushis livré directement du coin de la rue. Réfléchir à ce point m'avait donné faim. Je me régalais toujours avec les sushis. Vite fait, bien fait. Puis, nous avons parlé pendant un bon moment, et regardé des rediffusions d'émissions à la « cauchemar en cuisine », en les commentant toutes comme si notre vie en dépendait etc. Une soirée banale, dans une vie banale, rien de très exceptionnel...Je ne le savais pas encore, mais tout allait changer.

Voici la fin du chapitre. N'hésitez pas à me dire si vous pensez que je peux en faire un livre (j'ai écrit presque 200 pages en format word).


Je me dirigeais alors vers ma chambre, si confortable, passant à côté du balcon, et j'eus l'impression que Lumos, le chat du nouveau voisin, était toujours là, à me fixer avec ses yeux brillants. Mon lit était placé sous une fenêtre, avec une table de chevet de chaque côté. J'avais fabriqué un petit dressing sur mesure moi-même, surtout pour y ranger toutes les jolies chaussures à talon que j'avais rarement l'occasion de porter. Il se trouvait à côté de la seconde porte, qui menait directement à la salle de bains que je partageais avec Kate. Le tout était assez épuré, les murs peints en blancs avec quelques cadres photos design, un lustre style cristal (je n'avais clairement pas les moyens pour du vrai) pendait fièrement et était assorti aux lampes de chevet. Dans un petit coin, près de la fenêtre, en dessous de l'étagère bien garnie de bons livres, là où je gardais précieusement ma saga préférée du moment: Samantha Watkins, ou les Chroniques d'un quotidien extraordinaire, se trouvait mon ordinateur. Je l'avais depuis la fac de médecine, que j'avais lâchement abandonnée car je ne me trouvais pas assez passionnée...



Et enfin il y avait une boîte. Ma boîte secrète, qui était assez grande pour contenir au moins trois paires de Cuissardes, et assez lourde pour peser le poids d'un sac entier de bidons d'adoucissant de lessive à la cerise; bien que je ne savais pas ce qu'elle contenait. Cette boîte était l'unique héritage que j'avais reçu après la mort dans un crash d'avion de mes parents, qui revenaient juste de leur seconde lune de miel. Mes trois frères, eux, avaient partagé les affaires de notre maison ensemble, car je ne voulais rien de matériel, rien qui me rappelle l'immense douleur que j'avais ressentie pendant toutes ces années. Toutes ces années où je ne m'étais jamais sentie à ma place. Le seul frère avec qui j'avais su développer une complicité à toute épreuve était Reed. Il était de 3 ans mon aîné, et vivait lui aussi à Londres. Quant aux deux autres, Brighton et Adam, ils étaient restés à Birmingham, où ils avaient déjà commencé à construire leur propre famille. Je ne les avais jamais revus depuis. Même pas un coup de téléphone...

Cette boîte donc, sur laquelle était inscrit A&A aux lettres entrelacées, je ne l'avais pas choisie. Je me demandais ce que pouvaient bien signifier ces lettres, peut-être était-ce le nom d'une grande marque de l'époque, mais la boîte avait l'air très ancienne donc je ne pouvais pas être sure. Elle figurait pourtant sur le testament de mes parents, afin qu'ils soient surs qu'elle me revienne légalement. J'avais toujours eu peur de l'ouvrir. Je ne savais donc toujours pas ce que cette boîte contenait. Depuis 3 ans.

Une fois installée dans mon lit, je fermais les yeux et m'imaginais de nouveau en train de flotter dans les airs. Cette sensation m'avait été fort agréable, et j'avais vraiment envie de découvrir comment je pouvais ressentir tout ça du fond de mon lit. Je pris une grande inspiration et me focalisais sur "Big Ben".

N'hésite pas à me dire quel type d'erreur ? Syntaxe, conjugaison ou carrément le sens? Car c'est une version non corrigée pour le moment^^ quelques fois je me perd un peu avec les temps: j'ai du mal à me décider !

Biz !!!

Suite du chapitre 2:

Riley était un bel homme de vingt-sept ans, aussi fin que les traits de son doux visage, qui paraissait serein en toutes circonstances. Malgré un caractère assez impulsif, il avait toujours l'air d'un ange. Ses yeux noisette trahissaient pourtant presque toujours les vrais sentiments qui l'habitaient. Il ne vivait pas très loin de chez Mayleen et Kate, à quelques stations de métro, et pas très loin non plus de sa mère, qui était professeur d'histoire à l'université. Son père, lui, s'était remarié et vivait en Irlande avec sa nouvelle femme et ses deux enfants. Riley avait rencontré Mayleen pour la première fois quand celle-ci avait visité l'appartement où elle vivait actuellement. Il était agent immobilier depuis maintenant trois ans, et il adorait son boulot, car il lui permettait de rencontrer un tas de gens différents. Il avait donc tout de suite accroché avec Mayleen, sentant entre eux une connexion, comme entre un frère et une sœur. Quand ils avaient signé les papiers du bail, Riley s'était proposé d'aider pour l'emménagement. Il était même allé avec elle au vide grenier, celui qui lui avait permis de dégoter les fameuses tables de nuit blanches, et ils s'étaient alors découvert une passion commune pour les objets et les meubles avec "du vécu". Depuis, ils étaient devenus assez proches tous les deux. Il était prêt à un bon nombre de choses pour elle. Ce matin, il attendait Jessie chez lui, car elle devait l'aider à régler un problème pour le soir même. Quand il entendit la sonnette retentir, il se dirigea vers la porte d'entrée pour aller accueillir son hôte en toute discrétion. 

"Ah, et bien, ce n’est pas trop tôt ! lança Riley à Jessie.

-Bonjour Riley! Moi aussi ça me fait plaisir de te voir!

-Oui bon, ça va, dis-moi pourquoi tu as mis autant de temps? lui répondit-il d'une voix un peu plus calme. Il était tellement stressé qu'il n'avait même pas remarqué la boîte de beignet et les deux cafés de chez Starbucks qu'elle tenait dans ses mains.

-Un Italian Roast pour toi et un Willow Blend pour moi. Merci Jessie! dit-elle ironiquement.

-Ah mais tu as aussi amené des beignets? C'est sympa!

-Tu vois, ça ne sert à rien de râler, Monsieur l'impatient. 

-Alors, tout est ok? lui demanda-t-il, comme si sa vie en dépendait.

-Oui c'est bon, j'attends encore juste de voir avec Jason et ça devrait le faire.

-Bon, donc cet après-midi on se donne rendez-vous au parc pour 15 heures, c'est bien ça?

-Oui. Et après le parc je pense même qu'on aura le temps d'aller voir cette rediffusion du vieux film que Mayleen adore là, je sais plus son nom...

-C'est pas grave, du moment que tu sais de quoi tu parles.

-Évidemment. Sinon je n’y emmènerai pas ma meilleure amie.

-Notre meilleure amie! Enfin!

-Ah, Riley, ce que tu peux être possessif! Tu es vraiment trop drôle.

-Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle, mais bon, passons...

-Au fait, toujours pas de jolie femme agent immobilier en vue dans ton agence? Tu m'avais dit qu'ils recrutaient!

-Non, toujours pas. Mais tu sais, ça pourrait tout aussi bien être un homme...

-Ah, je pensais qu'ils voulaient recruter une femme cette fois? Faut dire que vous êtes déjà 4 beaux mâles, alors je me suis dit qu'une femme vous ferait peut-être du bien.

-De quoi? Mais ça ne va pas non! dit-il en la fixant désespérément.

-Non mais bon, depuis le temps que je te connais, je ne t'ai jamais vu avec une femme! Je vais finir par croire que tu préfères les hommes!

-Ah ah, je suis mort de rire, lui répondit-il, et toi t'en es à combien cette semaine ? Six, sept? Peut-être plus? dit-il en s'esclaffant.

-Oh, la ferme!

-Ah, mais c'est toi qui a lancé le sujet Madame je veux tout savoir!

-Tu marques un point. J'arrête avec mes questions débiles. Et puis même si tu préférais les hommes, ça me serait égal, ça me ferai juste encore un peu plus de concurrence!"

Et là, ils se mirent à rire si fort que tout l'immeuble aurait pu les entendre. Ils adoraient se chamailler, et ils s'adoraient même tout court, mais ils avaient une relation si proche l'un et l'autre avec Mayleen, qu'une sorte de petite guerre amicale s'était installée. Heureusement, quelques fois, Kate et quelques amies venaient se mêler de tout ça, ce qui rendait Mayleen moins exclusive à Jessie ou Riley. Après ce petit fou rire, les deux amis dégustèrent leurs cafés avec les beignets, puis ils sortirent de l'appartement, en direction du Métro.

Une fois arrivés dans la station, ils prirent leurs tickets en vérifiant une fois encore leur montre. "Bond Street". La voix de femme dans la rame de métro laissa place à l'ouverture des portes, ainsi les deux amis purent y monter rapidement. Cette station était un peu moins fréquentée que les autres, la plupart étaient souvent bondées, peu importe la saison. Deux stations après, ils devaient changer de métro, pour rejoindre la ligne sur laquelle se situait celle de leur destination. Plus qu’une seule station et ils seraient enfin arrivés. Ils avaient vraiment hâte d'y être.



En entendant le bruit de la porte s'ouvrir doucement, je revins à la réalité, et mon rêve prit fin immédiatement. Oui, sauf que là, il y avait une erreur technique. Je me retrouvais en train de flotter au-dessus de mon lit, parfaitement consciente cette fois. Prise de panique, je tombais alors directement sur mon lit, sonnée. Deux secondes plus tard, la porte de ma chambre s'ouvrit brusquement, et les deux auteurs des faits coururent pour sauter sur mon lit.

"Joyeux anniversaiiiiiiiiiire!!!!, s'écrièrent-ils en cœur. »

Ah oui j'avais oublié... Puuuuffff, je n'aime pas trop l'idée de prendre un an de plus.

« Merci, mes amis! Répondis-je, encore perturbée par la fin de mon rêve.

-Waouh, mais tu fais une de ces têtes! T'as vu un mort ou quoi? demanda Riley.

-C'est vrai que je peux comprendre, vu que l'on vient d'entrer comme deux furies dans ta chambre, mais quand même!

-Ouais, nan je ne sais pas, j'ai fait un rêve bizarre...ça...pffffffeuuuu, alors que je baillais, j'essayais d'articuler la suite. Ça fait deux soirs de suite que je fais un rêve vraiment étrange...Mais...ah tiens dis-moi Riley, tu voudrais bien être un amour et me faire couler un bon café?

-Tout de suite princesse, me répondit-il en me souriant gentiment. Princesse? Euh, princesse des temps plus que modernes qui a une sale tête alors, vu mon état.

-Alors, raconte! Je veux savoir la suite! , s’empressa de me demander Jessie.

-Pas sans moi! lança Riley au loin.

-Ok c'est bon je me lève. Ah oui au fait, comment vous êtes rentrés?

-Riley avait un double de la clé.

-Ah bon? Comment ça se fait ça? Rassures-moi, tu ne fais pas ça avec tous les clients?

-Mais non! Je me suis juste dit qu'elle pourrait servir si un jour tu perdais la tienne et que Kate soit...disons sur la Lune!

-Ah. Tu sais qu'il y a un double au Circus?

-Evidemment. C'est de là que j'ai fait le double. Mais imagine que le Circus crame, tu fais quoi? Ça n'a pas été évident de convaincre Jason, mais il a fini par accepter.

-Nan mais toi alors, dit Jessie, tu penses vraiment à des trucs tordus!

-C'est peut-être pour ça que j'ai encore trouvé personne! répondit-il ironiquement avec un demi sourire.

-Nan mais là j'hallucine, toi tu fais de l'auto dérision maintenant? Eh bien Mayleen, il faudrait que tu aies plus souvent 25 ans!

-Tu étais obligée de mentionner le chiffre?, fis-je, dépitée.

-Ah ça va, un quart de siècle, ce n’est pas si terrible! dit-elle d'un air moqueur.

-Nan mais vas-y rajoutes-en une couche ! Je dis juste que je vois la trentaine approcher à grands pas, et que je n'ai toujours rien fait dans ma vie, rien construit.

-Mais tu adores ton boulot!

-Oui, bah adorer c'est un grand mot, disons qu'il offre pas mal d'avantages, mais je me vois pas à 50 ans, serveuse au Circus, en train d'écouter Jason me râler à moitié dessus parce que je suis en retard pour la millionième fois!

-Dix millionième plutôt, me fit remarquer Jessie.

-Oui, bon tu vois ce que je veux dire alors. En fait j'ai rien dans ma vie, juste vous, mes amis et mon boulot.

-Oh, mais c'est qu'elle va nous faire une petite déprime là! A l'écouter madame a quasiment un pied dans la tombe!, repris Jessie en levant les yeux au ciel.

-Tu parles d'une gaieté! Heureusement, on t'a concocté un petit programme sympathique qui ne devrait pas te laisser le temps de t'apitoyer sur ton sort, ajouta Riley.

-Je ne m'apitoie pas.

-Si, tu t'apitoies. 

-Ok vous avez gagné. Bon, est-ce que je peux savoir dans quelle folie vous allez encore m'embarquer tous les deux?

-Rien de bien méchant, tu verras. Déjà tu vas prendre une petite douche, ensuite on va au spa se faire masser...lança Jessie d’un air rêveur.

-Tous les trois?

-Bah oui qu'est-ce que tu crois? Nous aussi on a envie d'en profiter, répondit Riley d'un ton enjoué.

-Oui, donc le spa, ensuite on se fera un petit italien, et après tu verras. J’ai déjà l’estomac qui crie famine.

-Quoi, y'en a encore après? Et tu as déjà faim alors que c’est juste le petit déj ?

-Oh oui…eh oh oui aussi, toujours prête à manger, je vais pas te l’apprendre !

-Hum, l'idée me plaît assez en fait. Allez, vite, maintenant je suis carrément pressée!

-Ah, ça c'est une Mayleen qu'on préfère, dit Riley, rassuré.

-Ok, on va essayer de faire en sorte que tu n'oublies pas la journée de ton 25ème anniversaire."