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Dans le décor bucolique et alpestre d'une "Kongresshaus", Koestler imagine un séminaire sur le thème du devenir de l'humanité et plus particulièrement de la démence suicidaire de l'homme (l'un des thèmes récurrents de l'œuvre tardive de Koestler). Douze intellectuels de renom se réunissent donc autour du sujet, pendant les beaux jours d'un été qui précède une troisième guerre mondiale...
Il faut bien sûr noter que Koestler était le premier à reconnaître faire partie de ces "call-girls". Par cette métaphore, Koestler désigne les sommités universitaires et autres éminents spécialistes qui, toute l'année durant, parcourent le monde de séminaires en congrès. Dans le décor alpestre d'une "kongresshaus," Koestler imagine ici un séminaire sur le thème du devenir de l'humanité et plus particulièrement de la démence suicidaire de l'homme.
Pendant les beaux jours d'un été qui précède une troisième guerre mondiale, douze intellectuels de renom se réunissent donc autour de ce sujet.
Titre original : The Call-Girls (1971)
1973 Editions Calmann-Lévy
Langue française | Traduit par Georges Fradier | 278 pages
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