#1 20 Mars 2010 20:50:10
<image>Décembre 1945. Dans l'Allemagne vaincue, un passager solitaire descend d'un avion militaire britannique et se rend à la prison de Hameln. Là, il procède à la pendaison de criminels de guerre nazis. Mais l'un d'eux a échappé à son sort.
Octobre 1999, dans le Nord de la Suède, Herbert Molin, un policier à la retraite est torturé à mort. Dans sa maison isolée, les empreintes sur le parquet semblent indiquer que le tueur a esquissé un tango sanglant avec sa victime. Ici, ce n'est plus le commissaire Wallander qui mène l'enquête. Au même moment, à l'autre bout de la Suède, le jeune policier Stefan Lindman apprend deux mauvaises nouvelles : il a un cancer et son ancien collègue a été assassiné. Pour tromper son angoisse, il décide de partir dans le Härjedalen et d'enquêter lui-même sur le meurtre. Or, les ombres d'un passé très noir se sont réveillées. Elles ont frappé. Elles vont frapper encore et encore. Stefan a peur. Mais il est jeune, malade. Il ignore combien de temps il lui reste à vivre. Il n'a rien à perdre.
Ne me demandez pas pourquoi j'ai emprunté ce livre à la médiathèque car je n'en sais rien. Le résumé ne m'attirait pas du tout et le genre du livre non plus. Néanmoins, je souhaitais lire un roman policier, histoire d'élargir mon horizon littéraire et j'ai pris le premier venu. Je l'ai donc commencé sans trop savoir à quoi m'attendre. J'ai beaucoup apprécié le début du roman mais, petit à petit, je commençais à me lasser et mon intérêt pour ce roman baissait. De plus, je n'avais pas spécialement envie de découvrir pourquoi ce commissaire à la retraite a été tué puisque je me doutais plus ou moins de la réponse générale. En outre, le personnage principal, Stefan Lindman, m'inspirait un certain agacement. Je ne l'ai pas fini.