[Teulé, Jean] Le magasin des suicides

Quatrième de couverture : Imaginez un magasin où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère dans la tristesse et l'humeur sombre jusqu'au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre.

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Mon avis : Il ne faut ni se fier au titre "Le magasin des suicides" ni au slogan "Vous avez raté votre vie ? Avec nous, vous réussirez votre mort !", qui peuvent être surprenants mais c'est en faite un livre à l'humour noir écrit avec dérision.

Dans la famille Tuvache, personne n'a jamais souri sauf Alan auquel on s'y attache : il a une joie de vivre tandis que ses parents, son frère et sa soeur ont les idées noires.

Ce livre m'a fais sourire devant les méthodes de suicides proposées aux clients comme : les parpaings en ciment, la pomme de Turing...

Je ne vous en dis pas plus sur ce livre afin de ne pas vous dévoiler l'histoire sauf que c'est un coup de cœur pour ma part et que je conseille donc de le lire, je ne pense pas que vous en serez déçus.

Lu, il y a au moins 1 an ! Je suis une fan trè strès grande fan de Jean Teulé :)
Ce roman n'est pas mon préféré, je préfére largement Ô Verlaine ! Je, François Villon
Après, c'est une question de goût !

J'avais bien aimé. C'est assez drôle et il ne prend pas la tête.

C'est vrai que la fin est un peu... pas bien ^^' C'est aussi le point noir du livre... =/

Déçue par la fin aussi, mais d'un autre côté, je n'en trouve pas de "meilleure". Il aurait pu simplement ne rien se passer (je veux dire : aucun événement marquant et tragique), et la fin aurait été aussi plate que tout le reste du livre (oui, bon, je n'ai pas accroché...).

Une chose qui a un peu gêné ma lecture, et là je me demande si c'est typique du style de Jean Teulé : toutes ces grossièretés O_o ? Ne croyez pas que je joue les prudes effarouchées =D A la rigueur, elles peuvent être nécessaires si la personnalité des Tuvache doit obligatoirement passer par là (encore que, personnellement, je les aurais trouvés tout aussi bien définis sans ce langage - ça reste le choix de l'auteur, bien entendu)... mais j'ai noté que parfois le narrateur lui-même était grossier, comme emporté par le récit, et franchement, c'était de trop pour moi. J'exagère ? oops