#1 08 Avril 2017 17:37:32
Les souterrains obscurs, ou la fougueuse vie
Qui souffle sans traces sur un rebord de rive,
En un repos qui fâche, désolée elle fuit
La poursuite acharnée des furies incisives.
Distordues aux nuit folles dans l'univers figé
Ou les âmes en peine qui glissent doucement
Sous sa robe de reine d'un corps qui a cessé,
Dans le jour de l'aurore de marcher en sifflant.
La femme du poète dans l'hiver aux airs mornes
Saluait de sa main le silence qui sonne
Le refrain de l'oubli aux paroles qui restent,
Aux paroles qui meurent dans un dernier soupir.