Extraits L'orpheline aux origines mystérieuses

 
  • isallysun

    Cauchemar des auteurs

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    #1 10 Novembre 2011 19:41:17

    Bon, voilà, je prends mon courage à deux mains. Lorsque j'avais 13 ou 14 ans, j'avais commencé à écrire un roman et l'ai mis en veilleuse des années durant. Cet été, suite à des commentaires positifs suite à mon premier texte dans le défi littéraire, j'ai décidé de le poursuivre... Bien sûr, puisque les années ont passé et j'ai remanié les premières (je devais en avoir environ 35 selon ma mise sur Word) pages que j'avais en les relisant à de multiples reprises et en modifiant un peu pour prendre mon style d'écriture d'aujourd'hui (50 pages pour cette partie écrite il y a longtemps). Maintenant, sur Word à double interligne, j'ai 113 pages et mon histoire est loin d'être terminée, car j'ai encore plusieurs idées. Mais je manque de motivation et c'est pour cela que je vous mets le début afin que vous me disiez si l'histoire semble pouvoir vous plaire et s'il vaut la peine que je le poursuive.

    L’orpheline aux origines mystérieuses
        Par une magnifique journée de la saison estivale, le soleil, aveuglant tous ceux qui osaient le regarder, faisait miroiter des paillettes sur le fleuve. Une douce brise rafraîchissait l’air et, au loin, on entendait le merveilleux chant des oiseaux ainsi que le déferlement des vagues sur la rive. Émily, dont les longs cheveux blonds ondulés flottaient au vent, se faisaient bercer par sa mère qui lui faisait penser à la fée marraine de Cendrillon. Même si Émily ressemblait à une somptueuse princesse sortie tout droit d’un conte de fées avec ses petits yeux bleus qui lui conféraient un air angélique, un drame la frappait. Déjà rendue à l’âge de trois ans, bientôt quatre, personne ne l’avait entendue prononcer un seul mot. Un véritable mutisme s’était installé dont on ignorait la cause. Aucune maladie connue n’expliquait cette triste réalité.

        Cependant, on savait que ce petit ange n’était pas sourd puisque lorsqu’on lui demandait un service, Émily obéissait rapidement. C’était même la plus obéissante de la famille. Ses parents et ses frères espéraient toujours qu’elle parle un jour mais la lueur de leur espoir disparaissait de leurs yeux à petits feux. Celle-ci s’éteignait tel un feu dont on s’éloignait lorsqu’il ne restait presque plus que de la braise. La famille devait rester forte et unie pour surmonter cette tragédie.

        En ce bel après-midi, Émily avait décidé de regarder ce qui se passait sur la Route du Village pendant que ses parents regardaient ses frères travailler dans les champs. Blondinette adorait regarder ce qui se passait sur cette route, ce qui lui permettait d’assouvir sa curiosité. Elle préférait faire cette activité à ce temps-ci de l’année, car, lorsqu’il ne s’y passait rien, elle pouvait admirer les jolis pommiers qui la bordaient sur toute la portion visible d’où elle était assise. Puisque ceux-ci étaient en fleurs à cette époque de l’année, la cadette de la famille Lajoie aimait aller y faire des promenades dans ses temps libres, et parfois s’asseoir à leur ombre et laisser les fleurs tomber sur elle lorsqu’il ventait.

          Quand Émily eut contemplé ces splendides arbres, elle aperçut le chariot de ses voisins qu’elle reconnut facilement grâce au cheval qui le tirait. C’était Weeclef, le seul cheval blanc des environs, et celui-ci était la propriété des Deschênes. Dans ses plus profondes pensées, la jeune blonde se disait que plus tard elle aurait un cheval blanc nommé Snowy et qu’elle le monterait. Elle irait vagabonder par-delà les montagnes et elle ressentirait l’effet euphorique du galop au plus profond de son être. De plus,  elle entr’aperçut une jeune fille aux cheveux auburn, qui semblait avoir à peu près son âge, qui était assise sur le banc ainsi que plusieurs sacs. Puisqu’elle se demandait qui pouvait bien être cette mystérieuse personne, Émily qui, malgré son mutisme, trouvait des façons originales de s’exprimer dû à son esprit vif, étendit lentement son petit bras et pointa vers le chariot en regardant interrogativement sa mère. S’apercevant que ni sa mère, ni son père ne remarquait son bras tendu vers le chariot, car ils étaient absorbés dans leur conversation, elle, habituellement de nature très calme, commença à s’agiter. Après quelques secondes de grouillement, voyant que ses parents ne s’en rendaient toujours pas compte, fâchée, elle se leva très brusquement.

           Alors, Stéphane, venant tout juste de s’apercevoir du comportement inhabituel de sa fille, la prit par le bras, la leva dans les airs et commença à la frapper partout sur son  petit corps fragile tout en la secouant. Philippe, Alexis et Jonathan, tous trois surpris que leur père puisse commettre un tel acte, assistaient de loin à la scène. Les garçons criaient de toutes leurs forces à leur père de lâcher Émily, mais ce dernier était trop occupé à faire mal et crier des choses du genre « C’est quoi ce comportement-là ? Hein! … envoye dit… » à sa toute petite fille. Jacynthe qui, avec sa capacité de penser et d’agir rapidement, savait que Vincent serait trop sensible face à un tel geste, s’était dépêché d’aller le chercher aux champs pour le faire entrer à l’intérieur. Elle avait agit de façon intelligente, car les coups portés se montrèrent de plus en plus brutaux et empreints d’une rage inavouée et refoulée à l’intérieur.



          Après un court instant, on entendit subitement un cri perçant qui fendit l’air d'un coup sec : madame Lajoie et Vincent accoururent à l’extérieur. Ils virent Stéphane parti travailler au loin dans les champs et Émily, étendue par terre, entourée par ses frères qui tentaient vainement de la consoler. [...]
    [...]


    Rompant le charme, Émily demanda de sa voix déjà moins hésitante:
         « Qui est la jeune fille que j’ai vue passer avec nos voisins Deschênes  tout à l’heure? »
    Jacynthe dit à sa fille qu’elle allait aller voir les Deschênes pour découvrir l’identité de cette jeune fille  et chargea Philippe de s'occuper de ses frères et de sa sœur. [...]
    [...]


    Puis, elle traversa tranquillement chez les Deschênes. La marche lui était nécessaire pour remettre ses esprits à neuf. Elle avait besoin de diminuer sa nervosité avant de demander les informations à son amie. Elle réfléchissait à la façon de lui présenter sa requête. La brise la tempérait et c’était une sensation agréable de la sentir nous bercer. C’est plus rapidement qu’elle l’espérait que Jacynthe se retrouva là-bas.
       
        Chez les Deschênes, il se passa quelque chose de réellement inusité. Lorsque Jacynthe eut franchie le seuil de l'entrée, elle crut faire face à un mirage. C’était le sosie d’Émily, mais avec les cheveux auburn et accoutrée d’une robe d’une extrême atrocité. Qui diable avait pu créer une telle laideur? Jacynthe dut cligner des yeux à plusieurs reprises pour s’assurer de ce qu’elle voyait. Malgré la ressemblance frappante, ce n’était pas sa petite fille adorée; on aurait dit que la nouvelle fille et Émily étaient des jumelles identiques. Cependant, elles ne pouvaient tout simplement pas l’être. Ce serait irréel. Alors une longue conversation s'engagea entre Sonia, épouse de Ghislain Deschênes, et Jacynthe.

        Ce fut Jacynthe qui parla la première pour aborder cette conversation des plus étranges:
         « Ma chère amie Sonia, je viens te voir pour aborder un sujet qui me semble délicat. J’ai retourné les façons de te le demander dans ma tête, mais j’en suis venue à la conclusion qu’il valait mieux y aller de façon directe, bien que ce soit à la limite de l’indiscrétion. Qui est cette petite fille qui est le portrait craché de ma fille? Ma petite a vu votre mari passé sur la route et nous a demandé qui était la fille qu’elle avait vue pour la première fois. »
        En prononçant ses mots, Jacynthe se dit qu’il était impossible que sa fille ait vu la ressemblance de loin. Encore un autre événement de la journée qui venait chambouler le cours de sa paisible existence, comme si elle s’ennuyait à mourir dans celle-ci. C’était vraiment que parfois elle aurait voulu lui donner du mordant à sa vie, mais elle appréciait ce que Dieu et la vie lui donnaient. Malgré ses réflexions subites, Jacynthe n’avait pas cessé de parler.
         « Je lui ai répondu que je n’en avais aucune idée et c’est la raison de ma visite. Alors, j’aimerais savoir qui est ce sosie d’Émily, d’où vient-elle et que vient-elle faire ici? Voilà, maintenant vous pouvez parler. »
    [...]
    - Okay, okay. Détends-toi, ma chère. Je vais te la raconter l’histoire mais il va falloir que tu sois plus patiente que ça. Bon, maintenant, installe-toi confortablement, je commence. Tu te souviens du mari de ma belle-sœur Audrey, celui qui est mort il y a quatre mois? Donc, ce couple était sensé adopté une orpheline ou peut-être pas car les origines de la petite demeurent mystérieuses. Alors, plus elle y réfléchissait, plus elle se sentait incapable d’élever une enfant seule. Donc, ma belle-sœur nous a appelé et nous a demandé si nous accepterions d’adopter la gamine. Bien sûr, nous avons accepté avec joie malgré toutes les procédures que cela entraînait et toutes les responsabilités impliquées.
    - Allez-y, continuez Sonia.
          - Lorsque Ghislain est arrivé tout à l’heure, l’information qu’il m’a donné sur cette gosse m’a semblé inusité, de plus que j’ai cru voir Émily en la voyant rentrer. Et oui, tu n’es pas la seule à avoir remarqué cette extrême ressemblance. Seul Ghislain semble l’avoir ignorée. Alors, Daphné a un physique très ressemblant à celui d’Émily et, encore plus extraordinaire, la même date de naissance. De plus, il semblerait qu’elle ait une jumelle inconnue. Alors, vous ne pouvez imaginer mon étonnement lorsque j’ai su cette information. Au début, j’ai cru qu’elle était peut-être la jumelle d’Émily, mais je me suis dit que ma meilleure amie me l’aurait sûrement dit si elle avait fait adopter une enfant surtout après en avoir perdue une. »
    [...]
    © isallysun


    Donc, qu'en pensez-vous? J'ai pris la liberté de couper certains bouts pour ne pas vous donner l'intégralité   Est-ce que ça vaut la peine de poursuivre. Quelle tangente (catégorie) devrais-je prendre: adulte, jeunesse, historique, ??? Soyez indulgents (mais pas trop, car il faut que j'améliore ce qui ne marche pas! et il faut que les critiques soient constructives pour garder ce qui est bon (s'il y en a)!)  puisque cette idée part de la tête d'une gamine de 13-14 ans.
  • isallysun

    Cauchemar des auteurs

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    #2 12 Novembre 2011 00:57:27

    personne pour me donner de précieux conseils sur ce qui est à modifier? et si vous accrochez, ne serait-ce qu'un peu à l'intrigue?
  • loulou86

    Lecteur initié

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    #3 14 Novembre 2011 19:06:50

    Si, moi !!!Donc comme promis, j'ai lu ton texte, et voilà ce que j'ai relevé :

    qui lui conféraient un air angélique,


    Il me semble que tu aimes bien ce mot, non ?Il est présent aussi dans ton autre texte.  Ce n'est pas un défaut, mais je tenais à le dire.

    Ma petite a vu votre mari passé


    C'est un infinitif, et non un participe passé, donc il faut mettre "er" à la fin de passer.

    Et sinon, tes personnages sont confus. Je pense que c'est dû au fait que tu aie coupé des paragraphes. J'avoue que j'ai eu un peu de mal, avec tous les prénoms. Quand c'est comme ça, ne donnes pas tous les prénoms d'un coup. Commence par appeler tes personnages en disant "son père", "sa mère", c'est plus facile pour le lecteur.

    Et pour conclure, je suis curieux de connaître la suite, si suite il y a...Et je comprends que cela soit sorti de la tête d'une adolescente, car moi aussi j'en suis un(j'ai 14 ans) et il me semble que j'écris aussi un peu de cette façon. :)

  • isallysun

    Cauchemar des auteurs

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    #4 16 Novembre 2011 22:11:57

    Donc, si je comprends bien, pour le paragraphe où j'introduis les noms des parents et des frères d'Émily, je serais mieux de faire quelques modifications pour que ça ressemble plus à ce qui suit:
           Alors, Stéphane, le père d'Émily, venant tout juste de s’apercevoir du comportement inhabituel de sa fille, la prit par le bras, la leva dans les airs et commença à la frapper partout sur son  petit corps fragile tout en la secouant. Philippe, Alexis et Jonathan, tous trois surpris que leur père puisse commettre un tel acte, assistaient de loin à la scène. Les garçons criaient de toutes leurs forces à leur père de lâcher Émily, mais ce dernier était trop occupé à faire mal et crier des choses du genre « C’est quoi ce comportement-là ? Hein! … envoye dit… » à sa toute petite fille. Jacynthe??Madame Lajoie??La mère ou sa mère ferait bizarre... qui, avec sa capacité de penser et d’agir rapidement, savait que Vincent, le plus jeune des frères, serait trop sensible face à un tel geste, s’était dépêché d’aller le chercher aux champs pour le faire entrer à l’intérieur. ElleJacynthe avait agit de façon intelligente, car les coups portés se montrèrent de plus en plus brutaux et empreints d’une rage inavouée et refoulée à l’intérieur
  • loulou86

    Lecteur initié

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    #5 17 Novembre 2011 17:58:15

    Oui, voilà, c'est ça que je voulais dire. Et puis t'as raison, "la mère", ça ferait bizarre, "Madame Lajoie" ou "Jacynthe" passerait mieux. ;)
  • tachas

    Érudit des mots

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    #6 17 Novembre 2011 19:53:38

    J'aime beaucoup ton texte et je me permet de te faire quelques petites qui me dérangent :

    Par une magnifique journée de la saison estivale, le soleil, aveuglant tous ceux qui osaient le regarder, faisait miroiter des paillettes sur le fleuve. Une douce brise rafraîchissait l?air et, au loin, on entendait le merveilleux chant des oiseaux ainsi que le déferlement des vagues sur la rive.


    Ce paragraphe est très joli mais j'ai l'impression que tu cherches à faire des phrases compliquées pour expliquer un environnement pour le moins basique..
    est ce nécessaire de commencer par une phrase assez lourde : saison estivale, soleil, aveuglant... c'est joli et je suis un peu comme toi j'aime beaucoup quand les phrases sonnent de manière poétique mais je pense que tu peux faire comprendre par des mots plus simples et pas pour autant très actuels !
    Enfin pourquoi dire miroiter ? C'est plus un terme en optique, non ? Chatoyer serait, je pense plus correct..mais dire "paillettes" est assez redondant !

    Un véritable mutisme s?était installé dont on ignorait la cause. Aucune maladie connue n?expliquait cette triste réalité.


    S'installe comme un logiciel ?? =)

    Cependant, on savait que ce petit ange n?était pas sourd puisque lorsqu?on lui demandait un service, Émily obéissait rapidement. C?était même la plus obéissante de la famille. Ses parents et ses frères espéraient toujours qu?elle parle un jour mais la lueur de leur espoir disparaissait de leurs yeux à petits feux. Celle-ci s?éteignait tel un feu dont on s?éloignait lorsqu?il ne restait presque plus que de la braise. La famille devait rester forte et unie pour surmonter cette tragédie.


    Si tu écris obéissait pourquoi mettre obéissante peu après ?
    Comme pour espéraient puis espoir
    mais la lueur de leur espoir disparaissait de leurs yeux à petits feux.
    C'est très joli et encore une fois tu nous montre ta poésie mais je trouve que cette phrase est trop ronflante pour ce paragraphe !

    En ce bel après-midi, Émily avait décidé de regarder ce qui se passait sur la Route du Village pendant que ses parents regardaient ses frères travailler dans les champs. Blondinette adorait regarder ce qui se passait sur cette route, ce qui lui permettait d?assouvir sa curiosité. Elle préférait faire cette activité à ce temps-ci de l?année, car, lorsqu?il ne s?y passait rien, elle pouvait admirer les jolis pommiers qui la bordaient sur toute la portion visible d?où elle était assise. Puisque ceux-ci étaient en fleurs à cette époque de l?année, la cadette de la famille Lajoie aimait aller y faire des promenades dans ses temps libres, et parfois s?asseoir à leur ombre et laisser les fleurs tomber sur elle lorsqu?il ventait.


    encore deux mots de la même famille, la langue française est très variée n'existe pas à piocher dans les synonymes !

    Quand Émily eut contemplé ces splendides arbres, elle aperçut le chariot de ses voisins qu?elle reconnut facilement grâce au cheval qui le tirait. C?était Weeclef, le seul cheval blanc des environs, et celui-ci était la propriété des Deschênes. Dans ses plus profondes pensées, la jeune blonde se disait que plus tard elle aurait un cheval blanc nommé Snowy et qu?elle le monterait. Elle irait vagabonder par-delà les montagnes et elle ressentirait l?effet euphorique du galop au plus profond de son être. De plus,  elle entr?aperçut une jeune fille aux cheveux auburn, qui semblait avoir à peu près son âge, qui était assise sur le banc ainsi que plusieurs sacs. Puisqu?elle se demandait qui pouvait bien être cette mystérieuse personne, Émily qui, malgré son mutisme, trouvait des façons originales de s?exprimer dû à son esprit vif, étendit lentement son petit bras et pointa vers le chariot en regardant interrogativement sa mère. S?apercevant que ni sa mère, ni son père ne remarquait son bras tendu vers le chariot, car ils étaient absorbés dans leur conversation, elle, habituellement de nature très calme, commença à s?agiter. Après quelques secondes de grouillement, voyant que ses parents ne s?en rendaient toujours pas compte, fâchée, elle se leva très brusquement.


    Je n'ai pas la sensation que tu écris un roman, une nouvelle quand je lis ce paragraphe... le style des phrases est assez bizarre et j'avoue quelques difficultés à te l'expliquer !! =)

    Alors, Stéphane, venant tout juste de s?apercevoir du comportement inhabituel de sa fille, la prit par le bras, la leva dans les airs et commença à la frapper partout sur son  petit corps fragile tout en la secouant. Philippe, Alexis et Jonathan, tous trois surpris que leur père puisse commettre un tel acte, assistaient de loin à la scène. Les garçons criaient de toutes leurs forces à leur père de lâcher Émily, mais ce dernier était trop occupé à faire mal et crier des choses du genre « C?est quoi ce comportement-là ? Hein! ? envoye dit? » à sa toute petite fille. Jacynthe qui, avec sa capacité de penser et d?agir rapidement, savait que Vincent serait trop sensible face à un tel geste, s?était dépêché d?aller le chercher aux champs pour le faire entrer à l?intérieur. Elle avait agit de façon intelligente, car les coups portés se montrèrent de plus en plus brutaux et empreints d?une rage inavouée et refoulée à l?intérieur.


    Tu as modifié ce paragraphe ? oops ... Je pense qu'avant de montrer autant de violence il faut expliquer le caractère du père ou du personnage en question !

    La marche lui était nécessaire pour remettre ses esprits à neuf. Elle avait besoin de diminuer sa nervosité avant de demander les informations à son amie


    Euhh je pensais qu'elle ne la connaissait pas ??


    Je t'avoue que le texte est intéressant mais tu as beaucoup à refaire, effectivement il est aisé de voir que tu avais 13/14 ans quand tu l'as écrit !!
    L'histoire pourrait être intéressante si remodelée ! Je pense que tu devrais viser la catégorie jeunesse... il n'y a pas vraiment d'apport historique ? Si ?
    Bonne continuation ! J'espère que mes critiques ne sont pas blessantes ! C'est seulement mon ressenti ! :bisous:

    Dernière modification par tachas (17 Novembre 2011 19:54:28)

  • loulou86

    Lecteur initié

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    #7 17 Novembre 2011 20:09:51

    Donc puor reprendre ce que tu as dit, tachas, je suis d'accord avec toi, et je voulais apporter quelues précisions :

    Si tu écris obéissait pourquoi mettre obéissante peu après ?


    Oui, je suis d'accord. Tu pourrais remplacer le "obéissante"  par C'était même la plus docile de toute la famille

    Et aussi, moi ce que je fait pour éviter les répétitions, c'est ça :
    1.Je relis mon texte, et corrige les fautes d'orthographe.
    2.Je le relis une deuxième fois, en cherchant les répétitions, incohérences, et en charchant aussi à enrichir mon texte avec du vocabulaire un peu plus soutenu que ce que j'ai écris naturellement en rédigeant mon texte. Je recherche les synonymes, etc...

    Comme ça, j'éviteles répétitions, et les incohérences. Après, ce n'est que ma méthode, mais je trouve qu'elle marche assez bien. :)
    Pareil pour :

    En ce bel après-midi, Émily avait décidé de regarder ce qui se passait sur la Route du Village pendant que ses parents regardaient ses frères travailler dans les champs. Blondinette adorait regarder ce qui se passait sur cette route,


    Comme le disait tachas, c'est vrai qu'on a ici deux mots de la même famille. Tu pourrais dire : Blondinette adorait observer ce qui se passait dans les champs. Ca évite la répétition.

  • isallysun

    Cauchemar des auteurs

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    #8 17 Novembre 2011 23:10:15

    Merci à vous deux! Dire que je l'avais retravaillé avant de venir le poster ici, pour me remettre dans l'histoire et poursuivre l'écriture! Mais c'est vrai qu'il reste beaucoup de travail! Et je n'en doutais point!
    Et non, il n'y aura pas d'apport historique! Même mes noms de village et ville, bien que je sache quels endroits les inspirent au départ, j'ai mis des noms sortis de mon imaginaire!

    Et pour

    La marche lui était nécessaire pour remettre ses esprits à neuf. Elle avait besoin de diminuer sa nervosité avant de demander les informations à son amie


    , je crois que c'est ma coupure qui fait que ce n'est pas clair. C'est Jacynthe qui traverse chez les voisins, alors l'amie en question est Madame Deschênes et non la fillette qu'a aperçu Émily! Mais je regarderai si ça peut porter à confusion dans mon texte pour l'éviter! On sait jamais!

    Merci, tout ce que vous dites me semble bien pertinent (oui, moi aussi ce paragraphe, j'ai de la difficulté; il faut que je réfléchisse à ce que je veux vraiment y dire pour le retravailler!) et c'est fort apprécié de votre part!

    PS: je ne modifie pas mon texte ici dans le sujet de départ, car je veux le maximum de commentaires et j'en tiendrai compte lors de ma relecture pour correction! Et je vais ressortir mon dictionnaire des synonymes pour poursuivre mon écriture; ça évitera des mots de même famille près les uns des autres! Tout comme je vais ne pas abuser des De plus!


    (ce que vous voyez court de la page 1 au milieu de la page 12 de mon document Word, alors que j'ai présentement 113 pages dans mon document à double interligne!; ce n'est qu'un extrait! Peut-être que je viendrai en poster d'autres bouts si le courage m'en dit,

    Spoiler (Cliquez pour afficher)

    mais je dois vous dire qu'un extrait de mon poème le dernier adieur s'y retrouve

    , mais je garde le mystère
  • isallysun

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    #9 19 Novembre 2011 19:35:56

    Même si j'ai coupé un bout, que pensez-vous du dialogue entre les deux amies Sonia (la nouvelle mère adoptrice) et Jacynthe (la mère de Daphné)
  • loulou86

    Lecteur initié

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    #10 19 Novembre 2011 19:57:11

    Pourle dialogue, moi je le trouve bien. Il ne me choque pas. Pourquoi tu demandes ça, tu l'aimes pas ?

    PS: petit coup de pub, je viens de poster un de mes textes, j'attends vos avis avec impatience !