Synopsis
Lucrèce le considérait comme un ami « au cœur fidèle ». Descartes en a fait une machine. Dans les mythes, il est tantôt serviteur du Mal, tantôt serviteur de Dieu. Mais de qui parle-t-on, au juste ? Du chien, bien sûr !
Depuis que les philosophes de l’Antiquité ont évoqué la question de l’âme des animaux, une vaste querelle est ouverte : faut-il ranger les chiens dans la catégorie des choses, ou dans celle des personnes ? Si le code napoléonien de 1804 indiquait que le canis familiaris n’était ni plus ni moins qu’une table, une loi a permis, en 2015, de faire reconnaître sa dimension affective. Alors, le chien est-il enfin devenu quelqu’un ?
De la pratique de la vivisection au voyage de Laïka dans l’espace en passant par l’anthropocentrisme religieux, cette longue bataille pour la reconnaissance d’une « personne animale » mérite bien une histoire.
Depuis que les philosophes de l’Antiquité ont évoqué la question de l’âme des animaux, une vaste querelle est ouverte : faut-il ranger les chiens dans la catégorie des choses, ou dans celle des personnes ? Si le code napoléonien de 1804 indiquait que le canis familiaris n’était ni plus ni moins qu’une table, une loi a permis, en 2015, de faire reconnaître sa dimension affective. Alors, le chien est-il enfin devenu quelqu’un ?
De la pratique de la vivisection au voyage de Laïka dans l’espace en passant par l’anthropocentrisme religieux, cette longue bataille pour la reconnaissance d’une « personne animale » mérite bien une histoire.
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