Synopsis
Romano Guardini fut un des théologiens majeurs du XXe siècle, exerçant une profonde influence sur Benoît XVI mais aussi sur le pape François qui, un temps, a envisagé d'écrire sur lui une thèse de doctorat.
Avec La fin des temps modernes, Guardini fut l'un des premiers de sa génération à évoquer cette thématique. Dans cet essai, il aborde la manière dont l'homme, de l'Antiquité à l'époque moderne en passant par le Moyen Âge, s'est construit dans son rapport au divin et à la technique. La confiance dans le progrès et la science s'est transformée en un pessimisme culturel profond.
L'homme est renvoyé à ses limites, et Guardini invite à passer du temps de Descartes à celui de Pascal.
Avec La fin des temps modernes, Guardini fut l'un des premiers de sa génération à évoquer cette thématique. Dans cet essai, il aborde la manière dont l'homme, de l'Antiquité à l'époque moderne en passant par le Moyen Âge, s'est construit dans son rapport au divin et à la technique. La confiance dans le progrès et la science s'est transformée en un pessimisme culturel profond.
L'homme est renvoyé à ses limites, et Guardini invite à passer du temps de Descartes à celui de Pascal.
Titre original : Das Ende der Neuzeit, Die Macht (1950)
Moyenne
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1 édition pour ce livre
2020 Editions Téqui
246 pages
26 février 2020
ISBN : 9782740321324
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« Celui qui sait voir constate que partout la réalité que l’on n’a pas traitée comme il le fallait est en train d’aboutir à la catastrophe. »
Cette phrase clé (digne de Raymond Devos) provient (p. 239) de cet essai dogmatique, érudit, parfois prophétique, mais aride et rarement clair. J’ai eu du mal à en venir à bout, sans doute à cause de mes limites personnelles. En tout cas, je préfère Devos…