Synopsis
" Pouvoir regarder le soleil se lever ou se coucher chaque jour, afin de nous relier à un phénomène universel, préserverait notre santé pour toujours. " Auteur de La Désobéissance civile, Henry David Thoreau prolonge sa pensée séditieuse dans La Vie sans principe (1863). Prenant l'exemple de sa propre vie, il montre que les besoins matériels et les contingences quotidiennes sont dérisoires et qu'ils constituent une entrave à l'épanouissement de l'esprit. En exaltant l'individualisme et une certaine forme d'oisiveté dans la communion avec la nature, Thoreau nous invite à explorer les " provinces de l'imagination ".
Titre original : Life without principle (1863)
Moyenne
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BON
2 éditions pour ce livre
2004 Editions Mille et une nuits (La petite collection)
63 pages
ISBN : 2842058526
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Cet essai, qui est plutôt accessible et rapide à lire, a fait mouche. Très intéressante critique de la société du milieu du XIXeme et toujours d'actualité.
Je découvre enfin Thoreau, la première fois que j'ai entendu parler de cet auteur c'était il y a déjà quelques années par un couple de retraité militant . Une sympathique entrée dans l'univers de cet essayiste prolifique, même si j'imagine que cela ne vaut pas un Walden, et ses prémices du nature writing. Toujours sympathique de voir la société mercantile/pro média déjà questionnée au XIXème s.
C’etait Mon premier opus de Thoreau. La vision de la nécessaire éducation ,
Intériorité et élévation de l’homme, d’un temps pour soi et pas seulement pour le travail, par opposition à la société marchande et superficielle de son XIX eme siècle est fort intéressante ... et nous parle en direct. Par contre les propos sont présentés à la façon de sermons pontifiants qui m’ont peu captivée
Ce livre m'aura beaucoup plus parlé que "La désobéissance civile". Il aborde des sujets vis-à-vis de notre vision du travail et de la société qui ne laissent guère indifférents.