Synopsis
Chacun peut constater depuis quelques décennies que les sociétés – d’hommes ou d’États – sont agressées de tous côtés par des « contestations » aussi violentes que contradictoires. On parle beaucoup de structures menacées, d’institutions défaillantes, de révolutions à faire.
La révolution industrielle n’a pas attendu ces bouillonnements, et il n’est pas surprenant qu’elle réagisse sur l’évolution du monde.
Si l’on va dans la lune, si l’on construit Concorde, si les réussites techniques nous submergent, la vie n’en continue pas moins, indifférente à toutes les effervescences.
Dans ces domaines, les considérations trop savantes ne sont pas le meilleur moyen d’éclairer l’homme qui est toujours, par quelque côté, l’artisan, le bénéficiaire ou la victime du progrès en marche.
Les mots passent souvent à côté de lui sans le toucher, et quand il ne comprend pas, c’est, fréquemment, parce qu’il n’y a rien à comprendre que son irresponsabilité.
Vitalis Cros, après nous avoir donné le « Temps de la Violence », sur la fin de l’Algérie française, a voulu, cette fois encore, témoigner pour l’homme, dans une évocation du « mal du siècle ».
La liberté, la Société, l’État, l’administration, la justice, l’équipement, la police, l’argent, la fiscalité, la vigne et le vin, la drogue, les syndicats, le droit de grève, les blocs, la guerre et la paix, la coopération, sont tour à tour mis en scène ou évoqué dans ce livre qui pose de façon simple et accessible les problèmes de notre époque.
« Vouloir dans l’ordre ou subir dans le chaos », tel est le thème central du « Mal du siècle », qui est, par endroits, une contribution à l’élaboration d’un socialisme libéral. Il est surtout un témoignage sur l’homme dans l’univers artificiel qui se construit autour de lui… sur l’homme qui n’aspire qu’à assumer ses responsabilités naturelles dans une société technique tendant à les lui confisquer.
La révolution industrielle n’a pas attendu ces bouillonnements, et il n’est pas surprenant qu’elle réagisse sur l’évolution du monde.
Si l’on va dans la lune, si l’on construit Concorde, si les réussites techniques nous submergent, la vie n’en continue pas moins, indifférente à toutes les effervescences.
Dans ces domaines, les considérations trop savantes ne sont pas le meilleur moyen d’éclairer l’homme qui est toujours, par quelque côté, l’artisan, le bénéficiaire ou la victime du progrès en marche.
Les mots passent souvent à côté de lui sans le toucher, et quand il ne comprend pas, c’est, fréquemment, parce qu’il n’y a rien à comprendre que son irresponsabilité.
Vitalis Cros, après nous avoir donné le « Temps de la Violence », sur la fin de l’Algérie française, a voulu, cette fois encore, témoigner pour l’homme, dans une évocation du « mal du siècle ».
La liberté, la Société, l’État, l’administration, la justice, l’équipement, la police, l’argent, la fiscalité, la vigne et le vin, la drogue, les syndicats, le droit de grève, les blocs, la guerre et la paix, la coopération, sont tour à tour mis en scène ou évoqué dans ce livre qui pose de façon simple et accessible les problèmes de notre époque.
« Vouloir dans l’ordre ou subir dans le chaos », tel est le thème central du « Mal du siècle », qui est, par endroits, une contribution à l’élaboration d’un socialisme libéral. Il est surtout un témoignage sur l’homme dans l’univers artificiel qui se construit autour de lui… sur l’homme qui n’aspire qu’à assumer ses responsabilités naturelles dans une société technique tendant à les lui confisquer.
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