Synopsis
Au-delà des considérations coutumières sur la valeur formatrice des Humanités, Nicola Gardini s’adresse ici directement aux jeunes gens qui découvrent le latin, et aux moins jeunes qui en gardent la nostalgie.
En une vingtaine de brefs chapitres, il retrace l’histoire de cette langue sans laquelle la nôtre ne serait pas?; il fait comprendre les grandes étapes de son évolution d’Ennius à saint Augustin?; il montre la puissance et l’étendue de son rayonnement jusqu’au seuil du monde contemporain. Son chaleureux discours est illustré par un large choix de textes, présentés dans leur version originale, puis traduits et commentés. La langue qu’il nous apprend ainsi à goûter se fait entendre par la voix de ses plus glorieux témoins.
Son plaidoyer est aussi un cri d’alarme.
Sans verser dans l’utopie passéiste, il montre pourquoi il est urgent de redonner au latin une place raisonnable dans notre enseignement, sous peine de nous laisser submerger bientôt par le «?pidgin?» de la communication et des médias, ou par le bavardage des blogs et des textos?; bref, de ne plus avoir sous les yeux qu’un paysage culturel rétréci et défiguré car des pans entiers de nos enseignements littéraires sont comme adossés à la langue de Virgile et de Cicéron.
Le latin, rappelait naguère Paul Valéry, c’est «?la langue à laquelle nous devons ce qu’il y a de plus solide et de plus durable dans les monuments de la nôtre?».
Nicola Gardini nous rappelle l’importance de ce qui est ici en jeu.
Il est grand temps d’écouter son message.
En une vingtaine de brefs chapitres, il retrace l’histoire de cette langue sans laquelle la nôtre ne serait pas?; il fait comprendre les grandes étapes de son évolution d’Ennius à saint Augustin?; il montre la puissance et l’étendue de son rayonnement jusqu’au seuil du monde contemporain. Son chaleureux discours est illustré par un large choix de textes, présentés dans leur version originale, puis traduits et commentés. La langue qu’il nous apprend ainsi à goûter se fait entendre par la voix de ses plus glorieux témoins.
Son plaidoyer est aussi un cri d’alarme.
Sans verser dans l’utopie passéiste, il montre pourquoi il est urgent de redonner au latin une place raisonnable dans notre enseignement, sous peine de nous laisser submerger bientôt par le «?pidgin?» de la communication et des médias, ou par le bavardage des blogs et des textos?; bref, de ne plus avoir sous les yeux qu’un paysage culturel rétréci et défiguré car des pans entiers de nos enseignements littéraires sont comme adossés à la langue de Virgile et de Cicéron.
Le latin, rappelait naguère Paul Valéry, c’est «?la langue à laquelle nous devons ce qu’il y a de plus solide et de plus durable dans les monuments de la nôtre?».
Nicola Gardini nous rappelle l’importance de ce qui est ici en jeu.
Il est grand temps d’écouter son message.
Titre original : Viva il latino. Storie e bellezza di una lingua inutile (2016)
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2018 Editions de Fallois
Traduit par Dominique Goust, Ilaria Gabbani
280 pages
ISBN : 9782877069953
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