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cline : j'espère, j'espère ... j'ai encore eu plein de nouvelles idées, du coup, je bouleverse pas mal le début de mon roman, mais c'est pour que ce soit plus captivant, alors, j'espère que ça ira ^^
Donc, pour vous donner une idée du langage que je mets en place dans le livre, je voulais une appellation qui se rapproche de la "leelan" de La Confrérie de la Dague Noire pour ceux qui connaissent ... et du coup, en cherchant les traductions des mots amantes, compagnes, épouses, etc., je suis tombée sur "alaayan", j'aime beaucoup, qu'est-ce que vous en dites ?
Voilà, sinon j'essaie aussi de taper dans l'originalité niveau prénom et du coup, pour l'instant, j'ai Eden, Kylian, Kurdu, Afabel, Taranis, Kuri (ne se prononce pas "curry" mais bien "kouri") ... ça vous plaît ? *idem, vous pouvez me dire que vous aimez pas, je vous taperai pas*
Me reste encore à trouver le prénom de la garce du bouquin, hum, je vais lui en chercher un bien salé ... si vous avez des suggestions, n'hésitez pas !
Et pourquoi je vous parle de tout ça ? Parce qu'il est 2h43 du matin et que je dors toujours pas ... encore !!!
Du coup, je prends des notes par ci par là pour mon intrigue, j'en écris des petits bouts, je lance des idées sur mon papier, en espérant arriver à trouver le sommeil ^^
Sinon, côté lecture, aujourd'hui, je vais entamer
"Séismes", que l'auteur m'a gentiment offert afin que je le chronique, le sujet ne m'emballe pas des masses parce qu'il m'a l'air triste, mais quand j'ai dit ça à l'auteur en question, il a paru surpris, donc, du moment qu'il ne me déprime pas, j'espère passer un bon moment avec ce livre ;)
<image>Un séisme résulte de la libération brusque d’énergie accumulée par les contraintes exercées… L’adolescence est toujours un séisme, souvent de grande magnitude. Incertitude du lendemain, peur d’être soi, crainte de ne pas aimer et, pire encore, de ne pas être aimé, sont des bouleversements dont l’intensité dépend de nombreux facteurs inhérents au terrain sur lesquels ils portent leurs effets parfois dévastateurs… Marc n’a que dix-huit ans lorsqu’il se retrouve dans les ruines d’Agadir le lendemain du tremblement de terre qui fait 15 000 morts et 25 000 blessés, le 29 février 1960. Mais ce n’est pas le seul séisme de sa jeune vie. En toile de fond il y a l’après-guerre, la flambée révolutionnaire des pays colonisés, l’indépendance du Maroc, le retour vers la France vécu comme un exil, l’engagement dans un mouvement clandestin puis, pour couronner le tout, Mai 68… Dès les premières lignes, on colle aux pas de Marc. Les nourritures affectives sont vitales pour lui, et il s’attache aux personnes lorsque celles-ci lui apportent l’attention et la reconnaissance dont il semble avoir tant manqué. À notre tour de nous attacher très vite à lui pour ses fragilités comme pour la force qui lui permet d’avancer.
Sinon, pour ceux qui n'ont pas vu, maintenant, je mets tous les jours une chanson en fond sonore de mon blog dans la continuité de "La chanson du jour" sur ma page Facebook, aujourd'hui, c'est lundi et c'est donc l'heure du récap' des chansons de la semaine. Si vous êtes mélomane, n'hésitez pas à y jeter un œil (dans la colonne de droite de mon blog) ;)
Bon, sur ce, il est 2h47 du matin et j'espère arriver à fermer l’œil avant le lever du soleil (quand je vous disais que je tournais vampire !) et je vous dis faites de beaux rêves =D