#1 29 Août 2012 18:17:08
Voilà un petit texte que je viens d'écrire un l'instant. Je trouve pas que ça ressemble à grand chose, mais j'aimerai bien avoir des avis, ça serait cool! (en plus j'accepte les critiques, I'm perfect. Ou pas). A vous de me dire !
- Comment fais-tu pour agir comme ça avec moi ? Comment fais-tu pour faire semblant de ressentir quelque chose ? Je ne suis pas un jouet ! Tu n'as pas le droit d'être comme ça avec moi. T'as pas le droit de faire comme si tout allait bien. Un jour tu vas être avec tes surnoms mielleux, tu passeras la journée à chercher le contact, à me faire des câlins, et le lendemain soit je n'ai plus de nouvelles de toi soit tu es pire qu'un glaçon. Tu m'expliques la logique ? Tu veux me faire souffrir c'est ça ? Tu as l'impression que je suis comme une poupée qui n'a pas de cœur, qui ne ressent rien ? Et bien tu te trompes ! Et en beauté même. Je ne suis pas comme toi merde ! Je ne joue pas avec les autres. Et puis pourquoi t'es comme ça avec moi ? J'ai rien demandé moi. J'ai pas demandé à ce que tu me blesses comme ça. Mais putain Nash, arrête de me faire souffrir !
May éclata en sanglots. Sa vision se troublait, ses sens étaient atrophiés. Elle se sentait mal. Son cœur souffrait. Elle ne voulait pas en arriver jusqu'à là, mais elle n'en pouvait plus des belles paroles de Nash alors que celui-ci n'en avait rien à faire d'elle.
- Je.. May, je suis désolé.. ce n'est pas contre toi, c'est mon caractère, c'est tout.
- Tais-toi ! Je ne veux pas entendre des excuses que tu ne penses même pas à moitié ! Tu sais quoi Nash ? Ne m'adresse plus la parole. Tu vas faire comme si on ne se connaissait pas, d'accord ? De toute façon, ça ne sera pas très dur pour toi, vu comment les trois quarts du temps je suis invisible. Je « compte » pour toi que quand tu n'es pas avec ta meuf du moment, quand elle n'est pas là, avec toi. Tu vas arrêter de me prendre pour un bouche-trou, ok ?
- Non May, je ne veux pas ! Je tiens à toi..
- Il fallait y pensé avant. Je ne veux plus souffrir à cause de toi.
Sur ces paroles, May se retourna et parti sans jeter un regard sur ce garçon qui, plus d'une fois l'avait fait pleurer. Mais ce soir, c'était la fois de trop.
