[Suivi de lecture] Clément

 
  • Telesia_

    Lecteur glouton

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    #81 04 Août 2017 12:59:20

    Je vois ce que tu veux dire et j'adhère complètement. Il n'empêche que j'aime beaucoup lire des oeuvres simples, qui ne sont là que pour le plaisir de parcourir les lignes.

    C'est la seule raison pour laquelle je lis quelques fois des romances: quand les etudes me fatiguent, elles se lisent toutes seules.

    Parfois aussi on s'accroche à une saga de la même manière qu'on s'obstine à regarder une série, alors qu'il n'y en a rien à tirer.



    Concernant Robert Merle, je ne connais pas l'oeuvre que tu lis, mais j'ai lu La mort est mon métier . Je te la conseille si tu ne l'as pas encore lue ;)

  • Clément

    Espoir de la lecture

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    #82 04 Juin 2019 04:55:35

    Bonjour,

    Je termine bientôt la lecture de L'ombre de la montagne, de Gregory David Roberts, la suite de Shantaram que j'ai lu il y a 3-4 ans.
    On retrouve avec plaisir nombre de personnages du premier tome, et cet univers indien que je trouve fascinant. L'humour, très présent malgré des passages bien sombres, est vraiment excellent (et, surtout, vraiment drôle!).
    Si vous n'êtes pas rebutés par les pavés et/ou la violence et/ou que l'Inde vous fascine, c'est un must. Pour ma part, ce n'est pas le premier roman que je lis qui se passe en Inde et je dois avouer que ce pays a l'air plein de surprises, même si je n'aimerais probablement pas y vivre, je suis assez étonné par mes pérégrinations indiennes via mes lectures.
    Son cinéma (le fameux Bollywood!), en revanche, n'est pas vraiment ma tasse de thé, même s'il y a son lot de bonnes surprises également.

    Pour en revenir au livre, quelques longueurs quand même mais on se régale au fil de ces 1000(!) et quelques pages.

    Je pense ensuite essayer de lire Le coeur battant de nos mères de Brit Bennett, qui sera lu, à n'en pas douter, bien plus rapidement que le Roberts (600 pages de moins!).
  • Clément

    Espoir de la lecture

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    #83 12 Juillet 2020 06:10:07

    Bonjour,

    Je suis actuellement dans une première relecture d'Azteca, de Gary Jennings, une douzaine d'années après ma découverte de ce livre qui a profondément marqué ma vie de lecteur.
    Je fais des "Points d'étape" sur mon compte Facebook et je les mettrai ici aussi.
    Voici donc les deux premiers que j'ai déjà publiés:

    Azteca - Lecture N°2 - Point d'étape N°1

    En quelques pages, je me retrouve de nouveau embarqué dans cet univers passionnant, drôle et violent, optimiste et sombre, poétique et bestial, la rencontre de deux mondes que (presque) tout oppose.

    Je suis définitivement décidé à essayer de le relire, je ferai un "Point d'étape" de temps en temps en cours de lecture. Je ne sais pas encore à quel rythme, tout dépendra de mon avancement dans l'histoire.

    Je sens que je vais me (re)régaler.


    Azteca – Lecture N°2 – Point d'étape N°2 – p74/1052

    Je me souvenais que les 100 premières pages n'étaient pas mes préférées, je ne me souvenais plus pourquoi. Même si je suis pris par le récit, la découverte par le héros de la capitale Tenochtitlan, l'ancien Mexico, abonde en descriptions. Cela étant précédé d'une description minutieuse de la vie de la communauté dans l'île natale du personnage principal, ça fait beaucoup de descriptions et au final peu d'attaches émotionnelles sur cette partie.

    Mais ça a le mérite de planter le décor pour la suite. Et au final l'enfance d'un héros dont on raconte toute la vie est rarement le plus intéressant, bien que l'oeil neuf que peuvent avoir les enfants sur la vie peuvent apporter un bon démarrage. C'est justement ce qui est bien ici, la découverte du monde d'un enfant qui a tout à apprendre de la (sa) vie. D'où l'intérêt des émerveillements du héros sur cette capitale, entre autres, qui va le fasciner et qu'il cherchera à rejoindre pour s'élever socialement. Capitale du « Monde Unique » et son faste bien loin de sa vie de classe moyenne provinciale.

    Je me suis récemment rappelé que j'avais lu les 600 dernières pages, sur plus de 1200(!), de l'édition que j'ai lue il y a 11 ou 12 ans en à peine 3 jours. C'est dire si ce roman peut passionner!
    Vivement la suite ! :danse:

    (J'en suis à la page 107/1052, je ferai sûrement un nouveau Point d'étape en fin de journée, au pire mardi probablement. Ça dépend toujours de mon avancement dans l'histoire, évidemment.)
  • Clément

    Espoir de la lecture

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    #84 15 Juillet 2020 19:18:56

    Azteca – Lecture N°2 – Point d'étape N°3 – p163/1052

    Heureusement qu'on a pas d'images qui vont avec le texte sur certains passages quand même assez gores. Malgré cette violence, c'est un récit qui déborde de vie (et de sang), un récit riche et généreux. Avec des bouts de leçons de vie, sans oublier de nombreuses touches d'humour qui font du bien pour contrebalancer la violence de certains passages.

    J'en suis au moment où le héros quitte le domicile parental pour suivre sa vocation de scribe, qui aurait due lui être inatteignable au vu de son statut social et de son handicap visuel (il est myope dans une société où la mauvaise vision est quasi-rédhibitoire pour prendre l'ascenseur social).

    L'histoire de Mixtli, « La taupe », va se mêler de plus en plus inextricablement à la grande Histoire, celle de son peuple.

    Comme je n'ai pas beaucoup de choses en plus à dire, je cite la fin du dernier chapitre lu :

    « "(…)- A ton âge, il y a beaucoup de vies possibles. Prends le chemin que tu veux. Va seul ou en compagnie, tes compagnons feront un bout de route avec toi, mais à la fin de ta vie, que tes chemins et tes jours aient été ou non encombrés, tu auras appris ce que tout le monde finit par apprendre. Mais il sera trop tard pour recommencer, trop tard pour regretter. Alors apprends-le tout de suite. On ne vit qu'une seule vie que l'on a choisie et elle est, le plus souvent, solitaire. Alors, Mixtli, quel chemin vas-tu prendre et en quelle compagnie ?"
    Je me mis à escalader la colline, seul. »

    NB: le héros sort de l'adolescence et va débuter ses "études supérieures" à ce moment là.
  • Clément

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    #85 22 Juillet 2020 15:50:46

    Azteca – Lecture N°2 – Point d'étape N°4 – p402/1052

    J'ai mis plus de temps, et de pages, entre les deux derniers « points d'étape », pour avoir plus de matière.

    Je ne m'attarderai pas (trop) sur l'histoire du bouquin, qui rejoint parfois des passages de l'Histoire du peuple Aztèque par moments, du moins des passages qui sont connus à l'époque de l'écriture du roman (publié initialement en 1981). Évidemment, l'auteur prends des libertés avec la réalité historique, d'une part, pour inclure son (ses) héros dans des faits qui se sont réellement déroulés, et, d'autre part, parce que les faits qui sont parvenus jusqu'au vingtième siècle sont plus que partiels, du fait des destructions massives de documents historiques par les européens.

    Le roman abonde en description, que ce soit de paysages, de rituels religieux (dont des sacrifices humains avec moult détails), de lieux habités, des différents peuples que le héros-voyageur rencontre sur son chemin ainsi que leurs langages.
    Le lecteur ne sait pas, à moins de s'être documenté à fond avant de lire le bouquin, quels sont les éléments avec lesquels l'auteur prend le plus de liberté(s) ou, au contraire, les faits les plus proches de la réalité. On sent quand même que l'auteur est passionné par son sujet, il suffit d'ailleurs de voir la taille du pavé pour penser qu'il a été emporté par son envie de décrire ces peuples quasi-disparus.

    Le roman est assez riche, que ce soit sur les descriptions plus ou moins historiques, ou dans l'attention que Jennings a pris pour dépeindre ses personnages. Par contre on se croirait dans Game of Thrones par moments, vu qu'un certain nombre de héros meurent de mort violente. Mais au vu de l'ampleur spatio-temporelle du livre, ça se justifie. Sans parler du fait (à venir dans le roman) que les colons vont débarquer et quasi exterminer la population locale.

    L'auteur a clairement voulu écrire un roman « total » sur les civilisations pré-colombienne, au risque de perdre parfois de vue ses personnages au profit de maintes descriptions. On pardonnera à l'écrivain qui, je me répète, s'est clairement passionné pour son sujet.

    Je répète aussi qu'il faut quand même avoir le cœur bien accroché avec pas mal de détails crus, qu'ils soient sexuels ou violents. On sait clairement comment se passaient les sacrifices notamment...

    (à suivre)
  • Clément

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    #86 26 Juillet 2020 08:57:21

    Bonjour,

    Suite de mon compte rendu d'Azteca (Gary Jennings).

    Azteca – Lecture N°2 – Point d'étape N°5 – p 697/1052

    Je voulais faire un bilan à mi-parcours mais j'ai très largement débordé...

    Le livre est parfois d'une précision anthropologique ou naturaliste ou historique assez poussée. Ce qui n'est pas un problème en soi mais qui du coup ralentit la progression de l'intrigue. J'ai l'impression que l'auteur a voulu accélérer au bout d'un moment sur celle-ci pour ne pas avoir un roman qui dépasserait une certaine longueur. En arrivant environ à la moitié, donc, ça s'accélère en ce qui concerne les événements liés aux personnages.

    Jennings prend le parti d'intégrer directement la vie de ses personnages dans la vie politique et historique de l'époque. Pour vous donner une idée le bouquin se déroule entre 1470 et 1530.

    Je pense que l'auteur a voulu ne pas porter de jugement sur les aspects les plus « problématiques » de ces sociétés pré-colombiennes. Sans jugement mais non sans point de vue. Il est d'ailleurs assez drôle de rencontrer dans le livre plusieurs peuples, Aztèques, Espagnols et d'autres, qui pensent être LE peuple civilisé en opposition aux barbares qui n'ont rien compris à la vie. Les européens ne sont donc pas les seuls représentés croyant que leur peuple détient la vérité absolue sur la vie et le monde.

    Au-delà des drames personnels déchirants que vit le héros du livre, c'est bien la fin d'un monde, qui avait autant droit que les autres d'exister, qui serre le plus le cœur. Certes la société mexicaine de l'époque n'était pas idéale, mais on a la gorge serrée en pensant que toute la richesse, ou presque, de ces peuples ancestraux a été systématiquement et méthodiquement éliminée, éradiquée.

    Le livre est écrit comme si le personnage principal racontait aux espagnols tout ce qui a fait sa vie ainsi que la vie publique de son temps. Ce qu'il dit est écrit puis envoyé à Charles Quint. Entre chaque partie majeure du bouquin se trouvent quelques pages qui imaginent ce que l'évêque de Mexico, qui supervise l'interview du héros, dit par lettre à l'empereur. Ces lettres sont un peu répétitives, malgré leur brièveté. En gros : « oui, monseigneur, nous continuerons d'écrire le récit de l'indien mais nous désapprouvons cela » etc.

    Au moment du récit où j'en suis les espagnols ne sont pas encore arrivés au Mexique. J'appréhende d'arriver bientôt au passage qui m'a le plus choqué lors de ma première lecture. D'ailleurs quand on se rappelle, à peu près, ce qui s'est passé, les petits mots anticipant la suite du récit ont plus de poids encore.

    (à suivre)
  • Clément

    Espoir de la lecture

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    #87 27 Juillet 2020 08:44:19

    J'aurais aussi pu trouver un sujet de discussion sur le livre numérique pour poster le texte suivant mais je le mets dans ce suivi:

    Je redécouvre depuis quelques jours ma liseuse, que j'avais un peu mise au placard depuis un moment. Je suis assez impressionné par cette technologie. Pour les gens qui n'en ont jamais eu entre les mais il faut dire que ça n'a rien à voir avec un écran, de tablette par exemple. Ça n'agresse pas les yeux comme la lumière des écrans. Et que dire de la lumière intégrée pour éclairer la liseuse? Vous savez comme quand on regarde un écran ou une source de lumière de manière fixe, lorsqu'on ferme les yeux on retrouve une partie de l'agressivité de cette source? Avec la technologie sur ma liseuse, une Kobo de la Fnac, on peut fixer un moment la liseuse éclairée et, lorsqu'on ferme les yeux, on n'a qu'une vague forme rectangulaire aux contours imprécis, et qui ne gêne pas. Incroyable, vraiment. Si tous les écrans numériques pouvaient avoir une lumière aussi douce...

    Si vous êtes encombrés de livres papiers et que vous voulez faire l'acquisition de nouveaux livres quand même, considérez vraiment la liseuse comme une option. Je ne rentrerai pas dans le débat "papier vs liseuse", ce sont deux choses différentes. Je lirai toujours des livres papier mais le livre numérique permet d'autres ouvertures sur la lecture. Si vous doutez du fait qu'on peut lire pendant des heures un livre numérique de la même manière, ou presque, qu'un livre papier, vous risquez d'être surpris.

    Pour moi le principal problème des liseuses c'est qu'on est dépendant de la technologie qui peut faire des siennes et qu'il faut probablement investir parfois dans une nouvelle liseuse. Sinon l'autonomie est plus que suffisante, en général, pour des heures et des heures de lecture sans avoir besoin de passer par le rechargement.

    D'un autre côté, l'avantage des liseuses c'est: le gain phénoménal de place, d'argent aussi (surtout si on aime les vieilles œuvres littéraire dont beaucoup peuvent se trouver gratuitement ou à un prix modique en ebook), la possibilité de varier la taille du texte, les fonctions de recherche, de définition et de traduction, le fait de pouvoir facilement transporter plusieurs livre sans être encombré, surtout quand on voyage et ce même si il faut prévoir du livre papier au cas où la liseuse venait à défaillir (on voyage plus léger du coup). J'ajouterai à ça qu'avec les liseuses on peut tenir un gros pavé littéraire entre deux doigts sans être gênés.

    On peut avoir des préférences entre le papier et le numérique mais il ne faut pas rejeter d'office le numérique.
  • Clément

    Espoir de la lecture

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    #88 27 Juillet 2020 18:52:22

    Azteca – Lecture N°2 – Point d'étape N°6 – p 929/1052

    J'aborde la dernière partie du roman. C'est la dernière ligne droite avant le bilan de fin de lecture.

    Ce que j'aime dans Azteca, en plus des qualités que j'ai déjà évoquées, c'est qu'il résonne comme un avertissement pour notre monde « moderne ». En effet, si on peut de manière légitime regretter la disparition d'un monde fascinant qui n'était, au final, ni pire ni meilleur probablement que n'importe quelle grande civilisation, je repère un thème majeur qui pourrait être transposé à notre époque et qui sonne comme un cri d'alarme :

    Il s'agit de la cruelle inéluctabilité du destin, ou de l'Histoire. Et ce, que ce soit à l'échelle personnelle, à travers les drames que vit le héros et qui font de lui un survivant condamné à se voir perdre ses êtres chers les uns après les autres et qui, fatalement, finira par mourir; ou que ce soit à l'échelle d'une nation, d'une civilisation, qui dans sa « folie des grandeurs » a refusé d'admettre ce que toute civilisation un tant soit peu prospère refuse de s'admettre à elle-même : elle finira, comme chaque être qui l'aura peuplée tout au long de son existence, par disparaître aussi définitivement qu'un simple mortel. « Tu es poussière et tu redeviendras poussière », comme qui dirait.

    Que ce soit par vanité personnelle ou collective, on assiste à l'ascension irrésistible, puis à l'inévitable chute, à la fois d'un homme, et également de tout un monde. La « morale » du livre, si tant est qu'il y en ait une, pourrait être celle-ci : peut importent la gloire, la richesse, la puissance auxquelles peuvent accéder un être humain ou toute une civilisation humaine, il s'agit dans chaque cas d'un monde qui est voué à disparaître, engloutis par l'histoire ou l'Histoire.

    Tout a un début, mais tout a aussi une fin. Rien n'est éternel, tout est mortel. Ce n'est pas en étant vaniteux, et en s'élevant aussi « haut » qu'on peut, que l'on accède à l'immortalité, car rien ni personne n'empêchera l’œuvre du temps. D'ailleurs, le livre est aussi un grand livre sur la mémoire d'un peuple, qui est au demeurant la seule chose qui peut prolonger son existence un petit peu plus à chaque génération d'êtres qui la composent.

    (à suivre : le bilan de cette deuxième lecture d'Azteca)
  • Clément

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    #89 28 Juillet 2020 14:14:26

    Azteca – Lecture N°2 – Bilan de fin de lecture

    Et voilà, c'est fini. J'aurais mis du temps mais, comme à la première lecture, j'ai mis le turbo sur la fin.

    Je n'ai pas grand chose de plus à ajouter, il me semble. On sait tous plus ou moins comment ça se finit, en tout cas pour la grande Histoire. Pour ce qui est de la petite imaginée ici, la vie du héros, l'auteur conclut de très belle manière le roman avec une minuscule, mais bien réelle, lumière d'espoir qui bouleverse.

    Alors ? Est-ce que j'ai plus aimé la première fois ou la deuxième fois ? Je vous dirais que ça a été différent vu que au moins 13 ans se sont écoulés depuis la première lecture et que je ne suis plus tout à fait la même personne que j'étais quelques années en arrière. J'en ai retiré des choses différentes et avec au moins autant de plaisir que quand j'ai découvert cette histoire.

    Pour conclure je voudrais rendre hommage à la traductrice, Martine Leroy, pour son excellent travail. Le récit est très fluide et le travail de traduction est remarquable.

    Deux phrases, tirées du livre, avant de refermer cette parenthèse pré-colombienne :
    « Les Azteca sont venus ici, mais ils n'avaient rien avec eux et ils n'ont rien laissé en partant. »
    « C'est ici que prennent fin les chemins et les jours. »

    (fin)

    Maintenant je m'attaque à un autre gros morceau, ce qui sera une découverte et non une relecture: 4 3 2 1 de Paul Auster.
  • Clément

    Espoir de la lecture

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    #90 29 Juillet 2020 20:37:20

    Depuis quelques jours je lis, en parallèle d'Azteca et maintenant de 4 3 2 1, le livre "Connaître, aimer et guérir son enfant intérieure" de Stefanie Stahl. J'ai toujours peur de l'arnaque quand on me propose un livre de développement personnel, mais celui-là est vraiment bien. Je me reconnais tellement dans ce qui est décrit, ça me fait me rendre compte à quel point j'ai des automatismes négatifs mis en place depuis des années. Ça aide à trouver des solutions simples mais efficaces pour se sortir de ces schémas qui polluent la vie. Et ça appuie sur l'essentiel: être bienveillant avec soi-même.