#51 04 Mai 2010 19:10:05
Alors, rendez-vous aujourd'hui à l'asso parrain/emploi.
Réunion d'information très instructive.
Et puis, ça bloque. Simplement parce que pour avoir un parrain, il faut savoir quel métier on veut faire, logique. Et déjà, moi, là, je pêche total. Bon, admettons que je veuille retourner en tant qu'ingénieur agronome, mais avec des spécificités (communication, coordination...).
Ah ils n'ont pas dit non. Mais ils m'ont dit que pour les gens embrouillés comme moi c'était peut être pas l'idéal.
Il vaut mieux avoir un nom de métier quand on y va. Ce qui est très pratique, vu que j'ai fait une école généraliste et que je n'ai jamais exercé (donc déjà pas évident à la base, même en restant dans ma filière, de leur donner une piste).
Ils m'ont donné le nom d'une asso qui serait plus adaptée. Mais... Je ne remplis déjà a priori pas les critères (je touches les Assedics, pas le RSA) et je trouve très peu de renseignements sur l'organisme (il faudrait appeler direct, j'aime pas, surtout quand je suis angoissée, strange).
Je crois qu'il me reste deux solutions : tout laisser tomber et aller en interim faire des boulots d'usine (nan mais ça marche pour un ami écrivain, pourquoi ça marcherait pas pour moi ? bon, ok, il est plus philosophe - et il écrit), soit regarder les offres qui passent et postuler au petit bonheur la chance à ce qui m'intéresse un peu, sans aide extérieure.
Et puis bien sûr, en parallèle, contacter cette asso qui a l'air de s'occuper de bac+5 (déjà bien). Mais je n'y crois plus. Et je ne veux même plus y croire, parce qu'être déçu ça fait vraiment trop mal et ça n'arrange pas la confiance en soi, déjà inexistante.
Vendredi, encore un rendez-vous à l'autre truc inutile où là aussi, si je ne donne pas un nom de métier, on peut rien pour moi.
C'est trop compliqué de comprendre qu'on peut faire plein de trucs, être intéressé par plein de trucs et qu'en n'ayant jamais exercé on ne peut pas se décider du jour au lendemain sur une piste à suivre ? D'un autre côté, je les comprends, ils peuvent donner les outils que si c'est un minimum précis. Mais bizarrement, je crois que je savais vraiment ce que je voulais, je n'aurais plus besoin de leur aide (surtout au Pôle Emploi).
Bref...
Je ne mets plus "à suivre..." parce que ça risque de prendre quelques années pour avoir une vraie suite au rythme où c'est parti.
Reste le bilan de compétences. Où je ne veux pas en attendre un miracle non plus. Ca n'existe pas les miracles et j'ai déjà pas beaucoup de chance, alors un miracle pour moi, ça me semble impensable. ^^
(Désolée pour le coup de mou ^^)