#1425 11 Juillet 2021 13:14:47
Aloooooors, j'ai terminé
J'ai dû rêver trop fort et j'ai été totalement halluciné de certaines révélations. Je sais pas si j'ai aimé ou pas. Il est trop tôt pour me prononcer je crois.
J'ai également fini
La soeur à la perle, le 4ème tome de la saga. Et j'ai beaucoup aimé. Plus que mes compagnes de lecture commune.
Je dois attaquer trois lectures là et je sais pas par où attaquer :
Un petit carnet rouge de Sofia Lundberg. J'avais adoré l'autre roman de l'autrice et je suis un peu nerveuse à l'idée de ne pas aimer.
Le destin poignant d'une femme hors du commun Doris, âgée de 96 ans, habite seule dans un petit appartement de Stockholm. Ses journées sont rythmées par le défilé régulier d'auxiliaires de vie et par les appels de sa petite-nièce Jenny, sa seule famille et source de joie, qui vit aux Etats-Unis. Son bien le plus précieux est un carnet d'adresses, qu'elle possède depuis 1928. Ce petit objet rouge contient le souvenir des gens qu'elle a rencontrés tout au long de son existence.
Au terme de sa vie, Doris décide de coucher sur le papier l'histoire de ces personnes dont elle a rayé les noms à mesure qu'elles ont disparu de ce monde. De la riche et excentrique Suédoise dont elle a été la domestique aux plus grands couturiers français qui l'ont vue porter leurs créations, de la veuve qui lui a appris l'anglais sur le bateau l'emmenant à New York à l'aube de la guerre à l'amour de sa vie rencontré à Paris, de l'artiste suédois truculent avec qui elle a correspondu pendant des années au pêcheur solitaire qui lui a sauvé la vie, l'existence de Doris est une épopée romantique, émouvante et parfois tragique.
Désormais, il ne reste plus personne pour recueillir ces témoignages d'amitié, d'amour, de souffrance et de joie si ce n'est Jenny, venue l'accompagner dans son dernier voyage et avec qui Doris souhaite partager ses souvenirs. Pour que la mémoire demeure, et que Doris ainsi que tous ceux qui ont fait sa vie ne soient pas oubliés. Une histoire de famille et de transmission merveilleuse et bouleversante.
Je dois également commencer La petite librairie des coeurs brisés d'Annie Darling. vu ce qu'en ont pensé les copines je repousse ! Ahaha
Amoureuse des livres depuis toujours, Posy travaille dans une vieille librairie londonienne et passe son temps à lire des romans d'amour. À la mort de l'excentrique propriétaire des lieux, elle hérite de cette institution qui périclite à vue d'oeil. Posy remue ciel et terre pour éviter la faillite et fonder la librairie de ses rêves, spécialisée dans les romans d'amour, Au bonheur des tendres. Mais Sebastian, le petit-fils de la défunte propriétaire - et accessoirement le plus grossier des Londoniens - est bien décidé à faire de sa vie un enfer : ses goûts littéraires et ses intérêts sont opposés aux siens. Alors que Posy se démène pour sauver la librairie, elle tombe bien malgré elle sous le charme de son ennemi juré...
Et enfin, un service presse que j'ai depuis plus d'un an et que je regrette d'avoir accepté.... Violette et Napoléon de Gabrielle Dubois
Violette, sage et coquette grisette du faubourg, trotte gentiment de chez elle à Toulouse par le Pont Neuf. En 1808, la visite de Napoléon aux Toulousains va être le premier événement qui va changer le cours des jeunes existences de Violette, qui apprendra à lire, et Batiste et Célestin, dont les rêves dits plus masculins et plus grandioses vont cacher des réalités empreintes de désillusions et de violence. En 1814, l’armée de Napoléon se prépare à livrer sa dernière bataille à Toulouse. En face d’elle, toutes les armées d’une Europe coalisée contre la France. La vie de Violette, seize ans, âge des premières amours, en sera bouleversée.Les décisions des grands de ce monde ont un impact fort, et peu souvent bénéfique, sur ceux qui vivent sous leurs lois. De tous temps, comme l’humble Violette du faubourg, sa vieille voisine Babillou, femme forte, indépendante au grand cœur, l’aimante Coraly, le pêcheur Célestin, le noble Batiste, nous faisons de notre mieux pour vivre dans leur monde.Chacun d’eux a ses motivations pour admirer, suivre ou critiquer l’empereur. Si les hommes espèrent tirer un bénéfice personnel d’une adhésion au pouvoir, les femmes, négligées ou exclues de la société, ou brimée par ses lois de tous temps, tentent juste de trouver un peu de bonheur et de supporter héroïquement les conséquences des inconséquences historiques. Mais heureusement, chacun a un pouvoir : celui de se poser des questions, de changer, de s’améliorer.2021 est l’année du bicentenaire de la mort de l’empereur Napoléon. Que cette date indiffère, pique un peu la curiosité ou agace, je suis de l’avis de Théophile Gautier :« Je ne comprends guère l'utilité qu'il y a de parquer deux ou trois cents provinciaux dans une baraque de bois, avec un plafond peint par Fragonard, pour leur faire tripoter et gâcher je ne sais combien de petites lois absurdes ou atroces. Qu'importe que ce soit un sabre, un goupillon ou un parapluie qui vous gouverne ! C’est toujours un bâton, et je m'étonne que des hommes de progrès en soient à disputer sur le choix du gourdin qui leur doit chatouiller l'épaule, tandis qu'il serait beaucoup plus progressif et moins dispendieux de le casser et d'en jeter les morceaux à tous les diables. »