#324 07 Décembre 2014 18:05:15
@nekotenshi : Effectivement, des traces indélébile je pense... Merci, très bonne lecture également :)
@cerisia : Merci à toi Je n'ai jamais lu le
cycle Fondation, mais généralement j'aime l'écriture d'Asimov ! Excellente lecture :)
@nefer : Non, je n'ai pas encore chroniqué
La part de l'autre, je laisse mûrir un peu... ;) Merci de ton intérêt et à bientôt !
@Mariejuliet : Sans doute n'as-tu pas vu ma PAL ! Et encore, ils n'y sont pas tous =D, j'ai été très raisonnable, une fois n'est pas coutume ! Bonne lecture :)
Je passe vous faire un petit coucou en ce dimanche soir :-)
J'ai terminé le recueil de nouvelles d'Asimov et je l'ai trouvé inégal, dommage, la mayonnaise n'a pas vraiment pris !
Fidèle à ma manie de sauter du coq à l'âne, j'ai sorti de ma monstrueuse PAL :
Le Palanquin des larmes de Ching Lie Chow
<image>" Je suis née dans la Chine de la misère et des larmes. Petite fille, j'ai souffert et pleuré de bonne heure. J'étais jolie : ce n'est pas un mérite, ce fut une malédiction. Laide et difforme, je n'aurais sans doute pas été mariée de force à l'âge de treize ans ". Choisie pour son exceptionnelle beauté, Chow Ching Lie est contrainte d'épouser l'héritier d'une des plus grosses fortunes de Shanghaï. Elle incarne ainsi, sous le règne de Mao Tsé-Toung, le drame de la femme chinoise et de son asservissement séculaire.
D'un bouleversement à l'autre, Chow Ching Lie est donc soumise à rude épreuve. Heureusement, son don pour la musique la sauve. Envers et contre tout, elle poursuit ses cours de piano et entre au Conservatoire. Artiste et virtuose, elle voit alors s'ouvrir à elle une carrière internationale.
Bonne soirée, excellente prochaine semaine, et réjouissantes lectures !