Etat d’âmes

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Parfois un rêve suffit à remettre en cause toutes tes certitudes. Ton inconscient te crie au travers de ta raison sa vérité, seulement il est difficile de l’accepter. Ces rêves si futile, souvent loufoque et dont il nous revient que des images fumeuses. Ces rêves qui une fois éveillé veulent continuer d’exister. Ces rêves auquel notre raison veut donner un sens, quitte à le rendre improbable. Qui faut-il écouter, notre inconscient qui au travers de ces quelques images et scénario dont lui seul à le secret veut nous faire prendre une voie qui nous semble dangereuse, ou faut-il écouter notre raison qui au travers de ses réflexions nous poussent vers la sécurité et le confort. Faut-il ignorer cet inconscient qui si l’on décide de suivre la raison viendra nous hanter toutes les nuits, jusqu’à faire de ce rêve une obsession.
Il est difficile de faire des choix, de savoir quel est le meilleur chemin pour nous. Même si notre raison nous pousse à rester prudent, parfois notre inconscient veut nous rappeler que lui aussi il a des désirs à combler.

"Heureuse" Qu'il t'ait touché ! =)

Le contexte est la perte d'un être cher, proche. En l’occurrence, la perte d'une grande sœur ! C'est un texte que j'ai écris avec le coeur, un crie de désespoir ^^

Désolée je n'avais pas vu vos réponses avant =X

x Un nouveau petit texte (que je pense modifier à terme), merci pour vos avis !

Le fait de se sentir heureux ne pourrait exister sans ce sentiment de désespoir, de profonde tristesse qui nous submerge pour nous rappeler que la vie n’est pas toujours toute rose. La vie, dans son équilibre de bien et de mal, tend à nous prouver que chaque bonheur à sa fin, mais également chaque moment de tristesse. Ce sentiment de poids sur la poitrine, nous écrasant, nous empêchant de respirer, nous étouffant doucement. Ce sentiment d’explosion et de soulagement quand enfin les larmes coulent sur nos joues, se libérant de notre emprise et nous permettant de respirer à nouveau. Pleurer, c’est accepter d’aller mal, c’est être prêt à avancer, à passer au-dessus de ce qui nous étouffe, de ce désespoir qui dans un sanglot nous étrangle. Respire, à nouveau. Souris, tiens bon. Tu seras heureux à nouveau bientôt, il suffit de tenir.