#922 06 Mars 2012 13:30:12
Voilà, j'ai fini La lignée de Guillermo del Toro hier soir.
Le livre a démarré sur les chapeaux de roue et j'ai vraiment beaucoup aimé le style. En effet, comme les avis que j'avais vu, ça fait scénario de film, avec des bribes d'histoires à plusieurs endroits en même temps.
Le plus, c'est l'originalité de l'histoire, en tout cas pour moi, parce que j'ai trouvé la façon de faire entrer des vampires dans l'histoire assez déroutante, on entre dans une vie réelle où l'on pourrait être et petit à petit l'univers des vampires entrent pour prendre le monopole sans que personne ne s'en aperçoive ou ne l'admette, façon X-Files. J'ai aussi apprécié les traits de caractère des personnages principaux, le mystère du vieux Setrakian, le passé trouble d'Ephraïm Goodweather (avec un nom que j'adorais lire :) ), bref c'était vraiment bien de ce côté.
Le moins, ou plutôt LES moins. Les descriptions parfois trooooop longues, et surtout, qui se suivaient trop, c'est à dire qu'en passant d'un personnage à l'autre, on avait trop de longueurs, des redites parfois, ce qui fait qu'à un moment je me suis dit "bon je saute ces passages ou c'est vraiment important?". Et le gros gros moins, j'ai vraiment trouvé la fin bâclée, vraiment trop simpliste, et trop axée "Baaghhh immortalité, baaghh je suis un méchant, un gros méchant vampire qui veut pas mourir donc quoi que tu fasses je gagnerai!"... Ouais, bah tu sais quoi Vampire, ne meurs pas mais je ne viendrai pas te voir dans le 2ème tome! Voilà ma conclusion!
Bref, le livre partait pour une très bonne note et je me disais que les lecteurs précédents avaient été un peu durs, mais finalement, je mettrai 6/10!
Voilà pour ce livre! Désormais, sur les conseils de Mamzelle Bulle, je lis Le passeur de Lois Lowry, et je dois dire que j'aime vraiment beaucoup pour l'instant!!
Synopsis : Le monde dans lequel vit Jonas est bien éloigné du nôtre : une société où la notion d'individu n'existe pas. Plus surprenant encore : ses membres ne ressentent rien. Ni amour ni haine viennent bousculer leur quotidien. Les gens ne meurent pas non plus. Ils sont "élargis". Tout comme le héros de cette histoire – un garçon de douze ans – le jeune lecteur brûlera de savoir ce qui se cache derrière ce terme si obscur.
Dernière modification par comicboy (06 Mars 2012 13:34:13)