Les livres qui vous ont dégoûté !

 
  • Livresquement Teen

    Lecteur timide

    Hors ligne

    #51 17 Février 2017 20:33:10

    Pour ma part je n'en ai qu'un et il s'agit de Intuitions tome 2 de Rachel Ward. C'est vraiment le pire livre que j'ai lu. Alors que le premier tome était génial !
  • Pikobooks

    Apprenti Lecteur

    Hors ligne

    #52 17 Février 2017 20:34:31

    Tous les Flaubert... je n'ai jamais réussi. Alors que j'adore les classiques. Mais Flaubert ça passe pas !
  • Zachanariel

    Baby lecteur

    Hors ligne

    #53 19 Février 2017 17:13:01

    50 nuances de Grey. Ca n'a RIEN d'une histoire d'amour. C'est l'histoire d'un homme qui abuse d'une femme naïve, la viole et profite de sa naïveté pour prendre pour la place dans sa vie sans son consentement, c'est l'histoire d'un psychopathe qui s'est choisi une proie et est vu comme un tombeur. BREAKING NEWS : La pierre angulaire du BDSM c'est le consentement, et il n'existe pas dans ce livre. C'est une honte de voir la relation de ce livre comme un modèle à rechercher et sur lequel il est sain de baser ses exigences romantiques.
  • bbtiz

    Espoir de la lecture

    Hors ligne

    #54 19 Février 2017 17:15:17

    Zachanariel a écrit

    50 nuances de Grey. Ca n'a RIEN d'une histoire d'amour. C'est l'histoire d'un homme qui abuse d'une femme naïve, la viole et profite de sa naïveté pour prendre pour la place dans sa vie sans son consentement, c'est l'histoire d'un psychopathe qui s'est choisi une proie et est vu comme un tombeur. BREAKING NEWS : La pierre angulaire du BDSM c'est le consentement, et il n'existe pas dans ce livre. C'est une honte de voir la relation de ce livre comme un modèle à rechercher et sur lequel il est sain de baser ses exigences romantiques.


    Un ami un soir m'a dit "50 nuances, c'est un livre romantique parce que le mec est milliardaire... Il serait comme toi ou moi, ça serai un livre d'horreur!"
    ça illustre bien ce que je pense du roman :P

  • Zachanariel

    Baby lecteur

    Hors ligne

    #55 19 Février 2017 17:24:56

    bbtiz a écrit

    "50 nuances, c'est un livre romantique parce que le mec est milliardaire... Il serait comme toi ou moi, ça serai un livre d'horreur!"


    Ton ami a bien raison ! Franchement si on veut lire une vraie histoire BDSM avec du consentement et un mec qui se comporte pas comme une enflure (et une héroïne qui n'est pas cruche) je conseille la saga Pouvoirs d'Attraction, ça pour le coup ça mériterait des films et un succès mondial.

  • Alicia Alvarez

    Néophyte de la lecture

    Hors ligne

    #56 20 Février 2017 23:06:27

    Moi j'ai plutôt été dégoûtée dans le sens "DECEPTION ULTIME" mon premier 1/5 sur mon blog, ce qui m'arrive peu. Voici, selon moi, un livre à ne pas lire, tant le génocide est terrible !

    Blue, la couleur de mes secrets, de Camille Pujol.



    <image>



    ↓↓↓ MON AVIS ICI ↓↓↓



    Il fallait bien que cela arrive... La première déception de l'année : Blue, la couleur de mes secrets. Je remercie sincèrement Camille des éditions Michel Lafon pour cet envoi, malgré tout.

    Blue est différente des autres élèves par son prénom, mais aussi par sa couleur de cheveux. Elle emménage dans une nouvelle ville, où sa mère ouvre un café, laissant son passé et ses secrets loin derrière elle. Mais que cache-t-elle ? Qu'est-ce qui lui fait aussi peur pour qu'elle change de logement et d'école ? Alors qu'elle croit que sa situation pouvait s'arranger, des lettres anonymes parviennent chez elle.

    Pour commencer, même ayant été touchée par la couverture et le résumé, j'ai trouvé ce roman incohérent du début à la fin. Je ne veux pas blesser l'auteure, parce que j'apprécie les efforts pour écrire ce livre, qui contient quand même du potentiel. Les idées sont là. Néanmoins, elles ont été bâclées et pas bien maniées du tout, ce que je trouve fort dommage. J'étais partie avec de bons jugements sur cette lecture, bien que mes amies ne l'ait pas appréciée. J'espérais y trouver quelque chose de positif... Malheureusement, les seules choses que j'ai appréciées sont un personnage, une référence et la rapidité de lecture (le finir vite permet de passer à un autre roman, ce qui est cool). Le fil conducteur de l'intrigue est truffé d'impertinences, comme par exemple : Blue désire se faire discrète dans son nouvel établissement mais nourrit une adoration pour une coloration de cheveux bleu flashy, se fait un meilleur ami en trois jours alors qu'elle précise ne pas vouloir s'attacher, reçoit des menaces anonymes sans même penser à prévenir quelqu'un... Disons que le manque de crédibilité débute tout simplement par la narratrice. Écrire en « je » n'est pas chose aisée, cela peut tourner un personnage intéressant en ridicule.

    L'écriture n'est pas mauvaise. Seulement, on sent une recherche de style de la part de l'auteure. Ça se voit que c'est son premier roman. Elle a une plume très jeune, où il reste quelques coquilles (exemple, en un paragraphe, on observe un nombre incalculable de répétitions de mots et de prénoms). Malheureusement, elle ne m'a pas plu. La seule chose que je peux dire à propos de sa façon de narrer son récit, c'est qu'elle a réussi à rendre ça lisible assez rapidement. Comme je le disais plus haut, ça reste quand même une histoire addictive malgré ses défauts.

    Au niveau des personnages, je n'ai apprécié que Nathan qui, selon moi, paraissait le plus réaliste de tous, bien qu'il corresponde au cliché parfait que l'on retrouve dans ce genre d'histoire : bad-boy coureur de jupons qui s'adoucit en tombant amoureux... Puis, la répétition intense de son prénom toutes les pages le supprime de ma liste mentale pour un quelconque enfant dans mon avenir. Aussi, nous sommes confrontés à la narration de Blue puis, paf, une fois comme ça, l'auteure a instauré une petite narration de Nathan d'une page. Si ce n'était pas pour réitéré l'expérience, à quoi servait cette intrusion de pensées d'une autre personne ? Je ne dis pas que l'idée est mauvaise, mais c'est la façon de l'amener qui lui fait perdre sa crédibilité. Sinon, selon moi, la plus incohérente est Blue, avec un individu dont je ne citerais pas le nom (je vous préserve quand même des spoilers). Premièrement, pour les raisons citées plus haut. Deuxièmement, pour ses réactions et pensées... Je ne sais pas si c'était une façon pour l'auteure de faire passer des messages, mais cataloguer les élèves dans des « clans » au lycée est l'archétype du prémâché américain. Tiens, d'ailleurs, en parlant d'Amérique... Je voudrais comprendre ces noms : Blue Stevens, Nathan Rey, Cameron, ... Le récit n'est-il pas supposé se dérouler en France ? Certes, il existe beaucoup d'américains vivant en France, mais autant dans la même école, le même quartier... C'est une drôle de coïncidence ! Enfin, je m'égare. Difficile aussi de rester dans ce qu'on raconte quand on a énormément de choses à dire... Pour parler des personnages secondaires, il aurait fallu qu'on en ait un plus grand aperçu. Malheureusement, étant dans la tête de la narratrice, nous n'avons que très peu des personnes intéressantes. Les protagonistes en arrière-plan étaient vraiment à l'arrière de l'arrière du plan. Je suis un peu déçue, sachant que s'ils avaient été approfondis, j'aurais peut-être apprécié ma lecture.

    Je plaçais beaucoup d'espoir dans la fin du récit. Je me disais que Camille Pujol nous réservait sans aucun doute un bon rebondissement. Je suis quelqu'un de très optimiste, qui ne juge pas trop vite. Encore une fois, la déception totale. Les révélations tombent comme un cheveu dans la soupe, la mésaventure qui arrive à Blue est tirée par les cheveux et les réactions de celle-ci encore plus incohérente que précédemment. En fait, c'est une fin complètement illogique... Peut-être que cette histoire aurait plu à ma sœur de 11 ans, qui avait commencé à la lire, ou même à l'ado que j'étais à mes 13 ans. Après tout, ça vise quand même un public particulièrement jeune. Bref, on va croire que je suis une vieille, mais je vous rassure, je n'ai que 18 ans.

    Grosso modo, Blue : la couleur de mes secrets ne m'a pas convaincue. C'est une lecture qui cible de plus jeunes lecteurs, désirant passer un moment sans réflexion. Elle manque de cohérence et de style. J'admire les efforts de l'auteure, car écrire un livre n'est pas facile. Il contient du potentiel ; il a seulement été très mal exploité.

  • Stellade

    Englouti sous les livres

    Hors ligne

    #57 20 Février 2017 23:14:40

    Moi c'est "la joueuse de go " de Shan Sa qui m'a dégoûté... Certaines scènes trop dures.... J'ai jeté le livre dans la pièce, à la fin, tellement ça m'a choqué.
  • Flo-rilege livresque

    Livraddictien débutant

    Hors ligne

    #58 18 Mars 2018 15:06:33

    « Jusqu’à ce que la mort nous sépare » de Lisa Gardner.
    J’aime les thriller soft et là c’était beaucoup trop gore pour moi, j’ai dû arrêter lol
  • Eva Qiziyeva

    Marin sur les mers du savoir

    Hors ligne

    #59 18 Mars 2018 15:14:48

    J'ai été dégoûtée par la lenteur de Atonement de Ian McEwan (adapté en film sous le titre Reviens-moi).

    L'adaptation cinématographique est géniale mais le livre est tellement lourd de descriptions qu'il m'en tombait des mains. J'ai sauté des passages entiers car je n'en pouvais plus de cette histoire qui pataugeait.
  • naki2164

    Bibliothécaire en herbe

    Hors ligne

    #60 18 Mars 2018 18:11:47

    Dans la catégorie des lectures très difficile je me dois de rajouter "dernière sortie pour Wonderland" de Ghislain Gilberti avec un passage où est décrit une scène de d'attouchement et de pédophilie sur une fillette de 5 ans. Après ce passage j'ai posé le livre quelques heures pour "digérer" l'horreur que j'avais lu.
    Et le dernier en date "21 portraits de tueurs en série" d'Emily Tibbats avec la description de meurtres et notamment tout ce qui touche à la pédophilie, nécrophilie, et cannibalisme ont été durs psychologiquement à lire (surtout en sachant que ça s'était réellement passé).