#350 02 Juillet 2018 14:56:31
Ah ça peut être intéressant. Bon ça n'enlève pas le soucis que comme je connais pas du tout ces endroits (leur fonctionnement, le matériel... rien de rien) j'ose pas du tout y aller seule pour une première fois, mais déjà ça ouvre des options en termes de possibilités. Même si juste à côté de chez moi j'ai qu'un truc (ou le golf xD).
J'ai terminé Trente-Six chandelles de Marie-Sabine Roger. C'était mignon. J'ai passé un moment sympa et surtout les pages tournent très vite ce qui est agréable avec la panne. Mais voilà, sans plus non plus. Parenthèse gentillette, ça ne me marquera pas plus que ça ^^
Je me sens super insensible parfois et j'ai failli dire que c'était mieux que je l'aie découvert en panne qu'avant, mais en fait je ne suis pas sure. Comme j'ai plus de mal à rentrer dans les bouquins, j'ai aussi plus de mal à être emballée. Et je voudrais tellement être emballée... :pleur:
Bref, double lecture maintenant.
L'Homme de la montagne de Joyce Maynard, une histoire de soeurs, avec un démarrage qui te prend aux tripes direct, juste avec une phrase, parce que tu te demandes "mais qu'est-ce qui a pu se passer, comment, où, quand..." et bim, la drôlesse t'a déjà harponnée. Après le récit prend le temps de détailler l'histoire familiale et notamment le lien entre les sœurs, l'aînée étant la narratrice. Mais j'ai tout juste commencé.
Parents Toxiques de Susan Forward (un nom particulièrement rigolo pour une psy) est un essai que j'ai emprunté à une amie, vu que je suis concernée et que j'ai eu envie de voir si l'auteure parle de cas similaires à celui de ma famille ou pas, mais aussi de voir un peu le panel de formes possibles de la toxicité parentale et ce qu'en dit l'auteur pour en sortir. Car cet essai s'adresse surtout aux victimes. Première partie : état des lieux, descriptions ; deuxième partie : solutions, mise en pratique.
Je n'attends pas grand chose à titre personnel mais ça m'intéresse toujours de lire ce genre de chose, pour comprendre notamment les mécanismes qui s'enclenchent chez les victimes. Car quand ça concerne l'enfant c'est forcément complexe, des souvenirs inaccessibles ou difficiles à analyser et d'autre part ça permet de mieux expliquer aux gens... ou à soi même, parfois.
J'espère ne pas me perdre avec ces lectures parallèles qui ne sont pas super gaies :D
Bon, nous sommes en juillet, c'est un peu le stress pour le mémoire, je suis toujours sur la partie que j'espérais avoir envoyé fin juin pour la correction, avant de me lancer dans mes recherches biblio pour la dernière partie (dont je commence à remettre en question le thème, foutu cerveau, c'est plus le moment, assume, tant pis)... Glups. :goutte:
Ce weekend j'ai fait relâche, il faisait de toute façon trop chaud et avec Mister qui était là j'avais pas trop envie non plus.
Allez, j'y retourne...
Bonne semaine !