Coucou par ici ! :D
Vous allez bien ?
Merci à tous ! ^^
Winnie > Non c'était la cata!
Aveline > Elle vit en France. Si .
Manon > Oh ça doit être marrant Harry Potter en espagnol ! :lol:
Tu peux me dire comment on dit Poudlard et Moldu stp ? Ca me fera bien rire, hihi
Bonne suite de lecture à toi et bon courage alors! Tu es sacrément motivée!
Je te comprends, je pense qu' on est nombreux à être toxicos à l'objet - livre! :pink:
beckygirly > Ca va bien merci ! ^^
Et toi ?
Je suis plongée dans plein de lectures en ce moment, je suis en pleine frénésie livresque!
Qu'as - tu pensé de mon blog alors? ^^
En ce qui concerne la lecture dont on parlait, non, les incohérences n' avaient pas de sens. Je vous assuuure .
Après, la fin était pas mal et relevait un peu le niveau général.
Mais ce n' est pas un livre que je recommanderais.
Kah Rane > Ahahaha!!! Tu es trop drôle ! :ptdr:
Les séquelles hihi ! Tu fais des cauchemars remplis de bêtes romances c' est ça ?
Je te comprends, c' est vrai que des fois, la nullité, ça traumatise.
Et en plus tu aimes bien les hécatombes livresques... Je te rejoins là-dessus! C' est vrai qu' au moins, avec ça on ne s' ennuie pas! Ca va du divertissant au très rigolo =D
Je vais faire une chronique sur le livre de contes de Mr Livyns, je mettrai le lien ici ^^
Tu vas bien sinon?
Des bisous!! :bisous:
En ce qui concerne ma précédente lecture, les incohérences étaient irrécupérables.
Celle qui m' a faite sauter au plafond : l'action se passe en 2026 si je dis pas de bêtises ( ne me demandez pas pourquoi, ça ne sert à rien de rien dans l' intrigue).
Une vieille dame raconte sa jeunesse. Logiquement, elle devait avoir vingt ans dans les années 80.
Bon, eh bien, quand elle raconte des faits datant de cette époque, elle est décrite utilisant un téléphone portable , et même... un smartphone!
A ce moment -là, j' ai arrêté d' essayer de comprendre, hein. Voilà.
Complete nonsense.A part ça, j' ai lu :
Les frères sisters<image>Le résumé :
Oregon, 1851. Eli et Charlie Sisters, redoutable tandem de tueurs professionnels aux tempéraments radicalement opposés mais d'égale (et sinistre) réputation, chevauchent vers Sacramento, Californie, où ils ont pour mission d'exécuter un chercheur d'or. Tandis que Charlie galope sans états d'âme mais non sans eau-de-vie vers le crime, EIi ne cesse de s'interroger sur la pertinence de la funeste activité à laquelle tous deux s'adonnent, au fil de rencontres aussi insolites que belliqueuses avec les individus patibulaires ou visionnaires qui hantent l'Amérique de la Ruée vers l'or. Avec ce roman jubilatoire, où l'humour noir le dispute à une subtile excentricité, Patrick deWitt offre un hommage décalé aux classiques du western en l'inoubliable compagnie de deux frères moins liés par le sang et la violence que par l'indéfectible amour qu'ils se portent silencieusement.J' ai vraiment bien aimé, d' ailleurs je l' ai lu en environ deux jours, alors qu' il fait quand même 400 pages ( à peu près )! :pink:
L'écriture est plaisante, les personnages forts, les dialogues bien rythmés, il se passe plein de choses...
En fait je suis en train de me rendre compte que j' adore les westerns. Je vais essayer d' en lire d' autres bientôt.
J' ai vu aussi le film, qui passe en ce moment au cinéma. Il était bien fait et à l' image du livre : violent et cruel parfois, attendrissant aussi.
Une très bonne lecture en ce qui me concerne.
Maintenant j' ai commencé
L'odyssée du pingouin cannibale, et pour l' instant, je m' éclate. :pompom:
Ca m' a l' air bien barré, délirant, et suffisamment peu conformiste pour me plaire.
<image>De quoi ça parle :
Un essai philosophique punk rock fondé sur des faits réels qui jongle en permanence entre un propos intime et des considérations universelles.
L'Odyssée du pingouin cannibale est à la fois un récit autobiographique et l'histoire vraie de Cannibal Penguin, le groupe de métal que l'auteur a fondé en pleine « crise de la quarantaine » alors que rien ne le destinait à devenir un rockeur. Mais c'est aussi un essai philosophique qui interroge la notion « d'absurdité radicale » et les possibilités de retrouver un sens dans le non-sens. Absurdité radicale qui serait, selon Yann Kerninon, la version contemporaine de l'absurde développée par Camus, Beckett ou Ionesco après-guerre.
Chacun fait aujourd'hui l'expérience quotidienne de cet absurde conceptuel : ennui en entreprise, actualité délirante, disparition de tout référentiel religieux ou idéologique crédible, impression de folie du monde. Comme si le nihilisme punk et les sketchs des Monty Python étaient devenus notre quotidien. Comment vivre dans ce monde insensé ?
Ce livre tantôt drôle tantôt tragique est une véritable odyssée à la recherche du sens perdu.Je n' en suis qu'au début, mais je sens déjà que je vais adorer! :pink:
Je suis en train d' écrire les chroniques de
Max et du recueil
Les contes d'Amy, je vous dirai quand j' ai fini ^^
Bonnes lectures à tous ! Bonne soirée, bonne semaine et tout et tout ! :bisous: