Kah Rane > Tu as raison !
Ah, pour le terme d'auto-édité, en fait il ne me dérange pas quand il est employé au détour d'une phrase, mais après quand on désigne le livre uniquement ainsi, je ne sais pas, j' ai l' impression que ça fait comme si on soulignait son manque de popularité ( mais c' est peut-être moi qui suis parano, lol ).
C'est sûr qu' on est bien obligé d' appeler les choses par leur nom ^^
Je n' ai jamais lu Brandon Sanderson non plus, mais j' ai
L'empire ultime dans ma PAL ( il fait mille pages donc faut se le sentir :lol: )
Tu piques vraiment ma curiosité concernant cet auteur!
Merci, excellentes lectures à toi aussi et belle journée! :)
Des bisous!
Winnie et beckygirly > Merci les filles ! :bisous:
J' ai terminé
Witch, je l' ai adoré d' amour ( je l' ai déjà dit? ) et maintenant je lis
Sorcières , La puissance invaincue des femmes de Mona Chollet, qui traite surtout de l'oppression des femmes à notre époque.
<image>Son sujet n' est donc pas tout à fait le même que dans le livre précédent : ( :lol: ) :
Tremblez, les sorcières reviennent ! disait un slogan féministe des années 1970. Image repoussoir, représentation misogyne héritée des procès et des bûchers des grandes chasses de la Renaissance, la sorcière peut pourtant, affirme Mona Chollet, servir pour les femmes d'aujourd'hui de figure d'une puissance positive, affranchie de toutes les dominations.
Qu'elles vendent des grimoires sur Etsy, postent des photos de leur autel orné de cristaux sur Instagram ou se rassemblent pour jeter des sorts à Donald Trump, les sorcières sont partout. Davantage encore que leurs aînées des années 1970, les féministes actuelles semblent hantées par cette figure. La sorcière est à la fois la victime absolue, celle pour qui on réclame justice, et la rebelle obstinée, insaisissable. Mais qui étaient au juste celles qui, dans l'Europe de la Renaissance, ont été accusées de sorcellerie ? Quels types de femme ces siècles de terreur ont-ils censurés, éliminés, réprimés ?
Ce livre en explore trois et examine ce qu'il en reste aujourd'hui, dans nos préjugés et nos représentations : la femme indépendante –; puisque les veuves et les célibataires furent particulièrement visées ; la femme sans enfant –; puisque l'époque des chasses a marqué la fin de la tolérance pour celles qui prétendaient contrôler leur fécondité ; et la femme âgée – devenue, et restée depuis, un objet d'horreur.
Enfin, il sera aussi question de la vision du monde que la traque des sorcières a servi à promouvoir, du rapport guerrier qui s'est développé alors tant à l'égard des femmes que de la nature : une double malédiction qui reste à lever.
Bonne journée à tous, bonnes lectures et à très bientôt ! =)