J'ai lu quelques autres livres de King (Ça, Simetierre, Salem, Carrie, Dr.Sleep, Gwendy et la boîte à bouton et maintenant Misery). Misery se place plutôt bien, mais.ne réussit pas à détrôner
Ça qui malgré ses longueurs m'avaient marqué par le réalisme de chacun de ses personnages (même ceux qui n'apparaissent qu'un chapitre).
Le prochain qui me fait très envie, ce serait Le fléau (dont le film m'avait marqué, idem pour Brume d'ailleurs). Mais j'ai aussi, le bazar, sac d'os, Cujo, Christine et Shinning qui doivent traînaient dans une de mes bibliothèques.
J'ai vu pas mal d'adaptations de King. C'est même comme ça que je l'ai connu. J'ai vu des anciennes et des récentes, certaines que j'ai adoré, d'autre moins. Mais au final découvrir les livres est toujours un plaisir. Les personnages y sont plus riches, l'horreur un peu plus distillés et les angoisses plus fortes. Un jour je lirai
La ligne verte, mais le film est déjà dur donc j'ai peur du livre...
Conseiller des livres d'horreur me paraît un peu difficile comme ça. Après tout, on a tous peur de choses différentes, ce qui en effraie certains en fera sourire d'autres. L'autre inconvénients étant que lisant pas mal de genres différents je n'ai au final pas tant de livres d'horreur à mon actif (et ka plupart sont des king). Si j'adore le paranormal et le fantastique, ce qui me terrifie le plus c'est l'horreur banale dont parle King. Le passage qui m'a le plus marqué dans Ça :
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C'est le premier chapitre et le passage à tabac de l'homme homosexuel.
Dans Carrie :
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que personne n'ait un jour dit : « cette femme est folle, retirons lui la gamine!» les morts qui auraient été évité...
etc...
J'ai bien aimé
Appartement 16 d'Adam Nevill même si parfois il est assez cliché et que l'un des personnages est juste pénible. Mais la description des tableaux bien que je n'ai jamais réussi clairement à me les représentait m'ont toujours mis mal à l'aise. Il faudra se mettre dans l'ambiance, braver les longueurs et lire presque d'un coup le livre pour vraiment en ressentir le malaise. Mais le côté glauque avait marché sur moi.
J'avais bien aimé
Le croque mitaine de
Jérémy Bouquin qui est un jeunesse et dont l'histoire était très différentes de ce à quoi je m'attendais au final.
Mais pour l'ambiance pesante du huit-clos, je n'ai rien lu de vraiment similaire. Ça me fait vaguement penser à
Juste une ombre de
Karine Giebel pour la tension qui ne se relâche pas et un personnage qui finit isolé et dont on se demande s'il y a un vrai danger ou plutôt une folie sous jacente...