[Christensen, Kate] Cafard, vertiges et vodkas glace

Cafard, vertiges et vodkas glace
Kate Christensen
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PITCH

Claudia est une jeune et jolie new yorkaise. Sa capacité d'autodérision l'aide à supporter les six problèmes de sa vie. Elle est endettée jusqu'au cou, sur le point d'être expulsée du gourbi insalubre qui lui tient lieu d'appartement. Elle est la secrétaire d'une célébrité névrosée adepte du harcèlement moral. Elle est friendzonée par un bel avocat dont elle est folle amoureuse. Elle a une liaison torride avec un homme marié. Elle est une aspirante romancière atteinte du syndrome de la page blanche. Et elle glisse sur la pente savonneuse de l'alcoolisme.


MON AVIS

Dans le premier tiers du roman, il y a un bon rythme, une touche de réalisme et quelques péripéties décrites avec un joli sens de la métaphore. Et ... et c'est tout. Certes, le récit se poursuit pendant 220 pages supplémentaires. Mais en vain. On ressasse de façon pas très créative les mêmes situations. Au final, on quittera l'héroïne peu ou prou dans la situation où on l'a trouvée au départ. Elle n'a rien fait, rien compris. Bilan : 120 pages sympathiques, suivies de 220 pages sans intérêt pour le lecteur mais probablement cruciales pour les finances de l'auteur


7/20

<image> <image> <image> <image> <image> récit centré sur un personnage
.... évolution psychologique du personnage
<image><image> rythme
... originalité/ingéniosité

(la note est le nombre total d'étoiles)