[LC] SAGA - Les rois maudits, M. Druon (Tome 7 - début 10 mai)

Coucou !

C'est commencé !
Juste la Préface pour le moment où Druon se permet un commentaire sur les dirigeants qui me laisse un peu songeuse.
Certe la Republique, la démocratie, n'a pas moins de médiocrité dans son gouvernement, mais on évite le despotisme.

hello, alors, moi j'ai profité de ma matinée pour lire et j'ai lu jusqu'au chapitre 8 partie 1

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Comme nous le savions, le récit est à la 1ere personne et c'est le cardinal de Talleyrand Périgord qui nous le raconte. Il explique à un neveux Archambaud, ce qui c'est passer ensuite. Nous avons sa version des faits de la fin dur règne de Philippe VI, jusqu'au début règne de son fils Jean le bon. Je dois avoué que pour ma part je suis un peu paumé, car il commence par nous parler de lui, puis enchaine sur l'emprisonnement de Jean, pour revenir en arrière. On s'y perd un peu, il faut l'avouer. Et puis, même si la lecture est assez fluide et les chapitres pour le moment assez court (environ 19 sur ma liseuse), je ne retrouve pas le panache des personnages qui ont jalonné les 6 tomes précédent. Mais c'est quand même assez intéressant de savoir la suite . Bon, ça fait un peu cour d'histoire quand même! Et puis avec tous les personnages dont ils parlent, beaucoup ont le même prénom, pas évident de s'y retrouver. Mais je vais continué, à voir

J'ai lu la première partie hier.

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Le changement de narration avec le passage à la première personne m'a interloquée dans un premier temps, mais je m'y suis installée assez facilement. Et je me dis, au bout de 10 chapitres, qu'heureusement que Druon a fait ce choix parce que sinon, le cours d'Histoire qu'il nous délivre aurait été très ennuyant. Il y a déjà des moments où je sens mon cerveau passé en lecture automatique alors que le discours du cardinal est assez bien rythmé avec ces aller-retours entre les faits politiques et les détails pratiques de son voyage. Même s'il n'est pas mal fait, c'est pour moi le plus grand problème de cet opus : il s'agit d'un cours d'Histoire et non d'une histoire. Il n'y a pas vraiment de personnages, pas vraiment d'enjeu narratif, ... Cela ne me surprend pas vraiment car les derniers tomes prenaient un peu ce pli, même si les intérêts de Robert d'Artois donnait du récit. Ca se lit toutefois toujours aussi aisément. Ce n'est pas désagréable, au contraire, je prends du plaisir rien qu'au style de Druon. Il a quelques phrases particulièrement bien tournée et une ironie affectueuse avec ses personnages. Je reste toutefois persuadée pour le moment qu'il aurait pu se passer d'écrire ce tome. Je ne vois pas ce qu'il apporte jusque là. Peut-être que je changerai d'avis avec les prochaines parties.

Globalement, on se rejoint. Je suis un peu moins sévère sur la forme :)

[un peu plus tard]

J'ai lu la partie 2 ce matin du coup.
Dans la continuité de la partie 1, je n'ai pas grand chose à rajouter. C'est presque à se demander pourquoi Druon prend la peine de séparer son roman en partie. Je ne suis pas sûre de retenir grand chose de cet exposé. Peut-être quelques détails qui m'ont surprise comme le fait que le début de l'année n'était pas encore fixé au premier janvier, qu'il existait des dates différentes selon les royaumes, ce qui m'a fait rire.

[encore un peu plus tard]

Bonbonbon, je vais trop vite. Je vais lire un autre livre aujourd'hui, sinon j'aurai fini ce soir !
J'ai lu la partie 3.
Et... ben ça reste dans la continuté des précédentes. Je me suis plutôt bien amusée toutefois. Il avait des bons mots qui m'ont plu. Allez, je me fends de quelques exemples (si je les retrouve) :

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"J'ai la foi, Très Saint Père, mais je ne me sens pas capable de faire briller le soleil la nuit. Cela dit, je crois de toute ma foi que si Dieu veut un miracle, il pourra l'accomplir sans nous". Pas le meilleur mais sur la fin, donc facile à retrouver. En fait, toute la tirade, fortement ironique, m'a amusée. Un peu avant : "Quelle pureté ! Dès qu'il y eut douze apôtres, il s'y trouva un traître." Celle-ci m'a été un petit délice, tout comme : "Ah, s'il est vrai que l'enfer est pavé de bonnes intentions, le cher Saint Père en aura dallé un bon bout de chemin!" Je me rends compte qu'elles sont toutes au dépend de la religion. Pourtant je n'ai rien d'anticléricale ^^ Il y en avait d'autres mais je ne les retrouve pas

Je crois aussi que si je me suis moins ennuyée sur ces deux parties, c'est qu'elles sont plus courtes et ne m'en ont donc pas donné le temps :goutte: Pour le moment, le cours d'Histoire reste fluide et se lit facilement.

hello, j'ai lu jusqu'à la partie 3 inclus
Alors fin de la partie 1

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oui c'est vrai que c'est pas mal conté et on se plonge dedans, mais c'est quand même mou, mais cela reste intéressant.

partie 2

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il y'a une allusion à Robert, mais à priori, il est vrai que le fils n'a pas le panache du père. Par contre le Charles de Navarre n'a pas l'air d'être un sain. J'ai bien aimé les passages qui parlent du Dauphin (apparemment, c'est à partir de lui que ce terme est employé. Comme tu dis Julie le roi réagit . Alhweder, oui j'ai remarqué aussi pour le 1er Janvier, mais comme toi, j'avoue que je me demande pourquoi séparé en partie car il n y a pas lieu d'être. Mais bon, j'ai bien aimé les apartés qu'il fait. Cela donne un petit côté comique, si je puis dire et on a un peu l'impression d'y être. Mais ce ne sera pas la meilleur lecture sur ce tome

partie 3

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Bon sur les trois chapitre, pas grand chose de plus, si ce n'est que j'ai bien aimé la description d'Edouard III. Il est vrai qu'on l'avait quitter jeune, mine de rien. J'ai l'impression qu'il ressemble plus à un Capétien que les autres. Au passage, on apprend de qu'est devenu sa mère.
Je ne sais pas si on va en apprendre plus sur le fils de Jean, car en vrai, l'histoire ne le retient pas vraiment. Par contre Etienne Marcel, le prévot de paris est mentionné. Il est bien connu dans l'histoire de Paris que j'affectionne, mais je l'ai déjà dit

Sur la partie 2

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J'ai bien aimé aussi ce qu'on aperçoit du Dauphin, même s'il est (logiquement) très à l'arrière-plan. J'espère le voir un peu plus dans la suite !

Il ne me restait qu'un chapitre à lire sur cette partie, donc pas grand-chose à ajouter depuis mon dernier passage... Juste que j'ai trouvé l'horreur des exécutions bien rendue, et qui collait bien aux mauvais choix du Roi Jean...

Partie 3

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Globalement, le contexte m'intéresse toujours beaucoup (même si je ne suis pas happée comme au début de la saga).
Notamment avec Philippe de Navarre et les tensions qui s'amplifient.

Edouard III, même à travers le regard de ce cardinal, nous est encore montré sous un jour très positif, dites donc =D
On sent bien que l'auteur l'apprécie (de façon objective, pour ce que j'ai lu sur lui, il semble avoir été un bon roi).

Comme Alh', les notes d'humour m'ont beaucoup plu ! Il y aurait plusieurs passages à se renoter (effectivement, la plupart sont liés à la religion).
De même pour de nombreuses digressions qui "cassent" le récit mais en le rendant quand même plus dynamique et drôle.

Partie 4, jusqu'au chapitre 4

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Un petit détail : je ne m'attendais pas à l'importance de l'astrologie, y compris par des personnes du corps religieux.
C'est quelque chose dont je sous-estimais l'importance pour l'époque.

Pour le beffroi, je savais bien l'issue dès le début (déjà, on s'en doute fort avec la narration mais aussi parce que je connais bien Breteuil et son histoire).

Je ne sais pas si on en saura plus sur Simon de Bucy, il semble bien manipulateur, avec un rôle important, mais très dans l'ombre.

J'avoue quand même avoir trouvé ce début un poil longuet....

Je finirai demain :)