[INSC./EN COURS] L'auteur.e du mois 2025 (Juillet : Maurice Druon)

A tous ceux qui ont lu Une étude en rouge : comme vous quand je suis arrivée chez les Mormons je me suis demandé ce qu'il se passait et si c'était normal ce saut du coq à l'âne sans explication. J'ai fini par comprendre plus tard. Perso, je n'ai pas particulièrement apprécié ce procédé. On était tellement loin de Sherlock et de Londres que j'avais l'impression de lire une autre histoire, la cassure étant trop forte entre les deux parties.

Julie86 : ravie de t'avoir motivée pour écouter Le Monde Perdu et que tu aies apprécié. Les joutes verbales des scientifiques faisaient aussi parties des aspects que j'ai préféré du livre. Challenger en Capitaine Haddock, haha, c'est bien trouvé.

brijoudu93 j'ai aussi écouté en audio et gratuitement. Le site (legal je précise) de "donneurs de voix" pour les livres libres de droits est ici. Il suffit que se rendre sur le site (PC ou smartphone) et de cliquer sur "play". Tu peux aussi télécharger les fichiers au format mp3 et les écouter plus tard sur le support que tu souhaites. Mais je laisse Julie répondre pour le système qu'elle a utilisé.

LaureenBrocorens a écrit

Yuko en pages a écrit

Bon pour quelqu'un qui ne voulait pas participer... J'ai récupéré Le syndrome du spaghetti à la bibliothèque.
Rassurez-moi, ce n'est pas du feel good ?!

Qu'est-ce que vous appelez "feel good" ?

C'est une histoire d'amour, oui, cela ca l'est... Mais très subtile si je me souviens bien...

Laureen.

@LaureenBrocorens
Ce que j'entends par "Feel-good" ce sont des romans résolument optimistes, qui apportent du réconfort et un certain bien être au lecteur. Parfois, cela s'accompagne d'un trop plein de bons sentiments (même si je respecte totalement les lecteurs de ce genre !). Ce n'est pas tellement ma tasse de thé. La fin est aussi souvent très positive.
La romance quant à elle ne me dérange pas.
Cela dit, ce n'est peut-être pas mon style par méconnaissance mais les romans feel-good que j'ai pu lire m'ont souvent laissé un sentiment d'inachevé. Mais bien sûr, c'est complètement subjectif.