Oran est victime de la peste. Les autorités de la ville décident de fermer ses portes pour éviter la propagation de l’épidémie. Dès lors, la population s’organise pour faire face au fléau, qui de jour en jour prend des proportions monstrueuses. Six personnages vont agir, chacun à leur manière, face à la peste. Le docteur Rieux et Tarrou vont s’investir pleinement dans l’organisation sanitaire de la ville. Rambert, un journaliste de passage à Oran, voudra d’abord quitter la ville par tous les moyens, puis pris de compassion rejoindra Rieux et Tarrou dans leur lutte. Grand, employé à la mairie, participera également à cet effort. Cottard quant à lui profitera de la détresse de la ville pour mettre sur pied un marché noir.rnAprès près de dix mois de quarantaine, la ville d’Oran ouvre à nouveau ses portes. Rieux apprend par télégramme la mort de son épouse, Rambert retrouve la sienne, et Cottard sera arrêté par la police.
Merci. =] Je le lis doucement pour le moment mais j'espère l'avoir fini d'ici quelques jours. Il est intéressant mais j'ai un peu de mal à le lire en continu.
Sinon, j'ai lu Bérénice de Racine cet après-midi. [Chronique de blog]
Livraddict a écrit
Bérénice est une tragédie où il n'y a pas de sang. Elle paraît pourtant d'autant plus douloureuse. Se séparer est pire ici que mourir. C'est le sort des trois personnages de la pièce : Bérénice, reine qui aime l'empereur Titus et qui devait l'épouser, Antiochus, qui voue un amour sans espoir à Bérénice. Il s'agit seulement de prononcer un mot, si dur, si tendre : adieu.
Cruauté du sort qui amène Œdipe à commettre à son insu l'acte criminel prédit par l'oracle ! Averti par Delphes qu'il tuerait son père et épouserait sa mère, il fuit les lieux de son enfance, espérant ainsi préserver Polype et Mérope, ses parents présumés... Que ne lui a-t-on dit, hélas, qu'il était le fils de Laïos !
Ignorant du drame ancien, aveuglé parle hasard, Œdipe court à sa perte. Il tue un voyageur qui lui barre la route, libère Thèbes de la Sphinge, épouse la reine de la cité, occupe le trône royal et... accomplit son terrible destin.
J'ai fini de lire La peste, ma chronique ici. Un pur chef-d'œuvre !
Je lirai prochainement : - Un ennemi du peuple de Henrik Ibsen - Les lettres philosophiques de Voltaire - Pars vite et reviens tard de Fred Vargas - Je bosse enfin à la télé de Charlotte Blum Je ne sais pas encore par lequel je vais commencer. ^^
J'ai terminé de lire Je bosse enfin à la télé de Charlotte Blum ce week-end. Chronique ici.
Présentation de l'Editeur a écrit
Marion va enfin réaliser son rêve : travailler à la télé ! Et pas n'importe laquelle : elle a décroché un job chez Teen TV, sa chaîne préférée depuis qu'elle est adolescente. À elle le strass, les paillettes et les stars : sa carrière dans l'audiovisuel est lancée ! Fan de séries télé, accro à Facebook, incapable de se priver d'un McDo tout en se plaignant de son poids, collectionneuse invétérée de chaussures flashy signées Annabel Winship, Marion va devoir trouver sa place dans un open space impitoyable. Pour cette gaffeuse-râleuse plutôt fleur bleue, ce n'est pas gagné d'avance. Entre un patron feignant, cruel et mythomane, des collègues filiformes qui la complexent, une archiviste qui réinvente chaque jour un peu plus la langue française, et un boulot qui ne ressemble finalement pas à ce qu'elle imaginait, le rêve prend vite des allures de cauchemar. Heureusement, elle peut compter sur son entourage pour lui remonter le moral à chaque coup dur : son hilarante soeur Canouille, son ami Vincent, sa brochette de super copines et son délicieux cochon d'Inde, Muffin. Marion saura-t-elle se dépêtrer des situations tordues que lui réserve son nouvel emploi ? Saura-t-elle se préserver de ce milieu de requins et rester la même ? Et surtout, saura-t-elle reconnaître le vrai prince charmant quand il frappera à sa porte ?
Je lis actuellement Pars vite et reviens tard de Fred Vargas.
Livraddict a écrit
Ce sont des signes étranges, tracés à la peinture noire sur des portes d'appartements, dans des immeubles situés d'un bout à l'autre de Paris. Une sorte de grand 4 inversé, muni de deux barres sur la branche basse. En dessous, trois lettres : CTL. A première vue, on pourrait croire à l'œuvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décèle une menace sourde, un relent maléfique. De son côté, Joss Le Guern, le Crieur de la place Edgar-Quinet, se demande qui glisse dans sa boîte à messages d'incompréhensibles annonces accompagnées d'un paiement bien au-dessus du tarif. Un plaisantin ou un cinglé ? Certains textes sont en latin, d'autres semblent copiés dans des ouvrages vieux de plusieurs siècles. Mais tous prédisent le retour d'un fléau venu du fond des âges...