Ce qu'il s'est vraiment passé

Pour la première fois depuis qu’il avait commencé à écrire Arthur relut le produit de son imagination. Cela faisait quatre heures qu’il s’était enfermé dans sa chambre, et deux seulement qu’il écrivait. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas écrit, trois ans à peut-près...
Pendant ces quatre heures d’isolement, Arthur a pensé puis écrit pour se soulager. Ecrire en musique, la première fois depuis si longtemps qu’il le faisait...
Et pour cette ocasion, ce n’etait pas n’importe quelle musique qui était difusée dans ses écouteurs, c’était celle que faisait Sarah, la fille qu’il aimait, ou du moins qu’il pensait aimer.
Ne parlons plus d’elle pour le moment, Arthur plongé dans ses pensés après avoir fini de se relire ne pensait pas à Sarah, il pensait à Lena et Anne, les deux héroïnes de son texte.
Un texte qui selon lui ne deviendrait jamais une véritable histoire, simplement parce qu’il le savait comme personne, jamais il ne lui trouverait de fin...
Arthur aime écrire et afficher sa différence, une différence qui le suit depuis tout petit.
Il a quinze ans et quatre soeurs, quatre personnes qu’il connait mieux que quiconque, quatres personnes qui lui ont fait découvrir au fil des années le monde [sous un ?] autre angle, un angle qu’il a toujours utilisé dans l’écriture. Une complicité entre lui et elles qui n’a fait qu’augmenter eu fil des années qu’ils ont passés dans ce minables foyer de la banlieue parisienne. Léane, Anaïs, Eleonor et Maëlle. Des quatres il a toujours préféré Eleonore et Maëlle, ses petites soeurs, les jumelles les plus irrésistibles qu’il connaisse, à peine trois ans d’écart avec lui. C’est avec elles qu’il a le plus souffert de la perte de ses parents 10 ans plus tôt.
A cette époque Anaïs et Léane, avaient déjà 9 et 11 ans.
Avec l’espoir de devenir un jour journaliste, Anaïs et Léane n’ont pas beaucoup de temps à lui consacrer mais cela ne l’empêche pas d’avoir un liens très fort avec elles deux aussi.
La vie d’Arthur est donc partagée entre six personnes: ses soeurs, Sarah et Maxime, dit Max, son meilleur ami depuis leurs entré au foyer 10 ans plus tôt.

Les histoires d’Arthur naissent toutes plus ou moins de la vie de son entourage, cette fois il a voulu faire un hommage à ses grandes soeur de par les prénoms Anne (pour Anaïs) et Léna (pour Léane), à Eleonore, Maëlle pour ce qui est des jumelles, ainsi qu’à ses parents et Marc, le frère jumeaux de sa mère, celui qui les a tous tué lorsque Arthur avait a peine 5 ans. Le jour depuis lequel il n’a plus jamais parlé...

Pour la première fois depuis qu’il avait commencé à écrire, Arthur relut le produit de son imagination. Cela faisait quatre heures qu’il s’était enfermé dans sa chambre, et deux seulement qu’il écrivait. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas écrit, trois ans à peu près...
Pendant ces quatre heures d’isolement, Arthur a pensé puis écrit pour se soulager. Ecrire en musique, la première fois depuis si longtemps qu’il le faisait...
Et pour cette ocasion, ce n’etait pas n’importe quelle musique qui était difusée dans ses écouteurs, c’était celle que faisait Sarah, la fille qu’il aimait, ou du moins qu’il pensait aimer.
Ne parlons plus d’elle pour le moment. Arthur, plongé dans ses pensés après avoir fini de se relire, ne pensait pas à Sarah il pensait mais à Lena et Anne, les deux héroïnes de son texte.
Un texte qui selon lui ne deviendrait jamais une véritable histoire, simplement parce qu’il le savait comme personne, jamais il ne lui trouverait de fin...
Arthur aime écrire et afficher sa différence, une différence qui le suit depuis tout petit.
Il a quinze ans et quatre soeurs. Quatre personnes qu’il connait mieux que quiconque, quatres personnes qui lui ont fait découvrir au fil des années le monde sous un autre angle, un angle qu’il a toujours utilisé dans l’écriture. Une complicité entre lui et elles qui n’a fait qu’augmenter au fil des années qu’ils ont passeés dans ce minable foyer de la banlieue parisienne. Léane, Anaïs, Eleonor et Maëlle. Des quatres, il a toujours préféré Eleonore et Maëlle, ses petites soeurs, les jumelles les plus irrésistibles qu’il connaisse, à peine trois ans d’écart avec lui. C’est avec elles qu’il a le plus souffert de la perte de ses parents 10 ans plus tôt.
A cette époque, Anaïs et Léane avaient déjà 9 et 11 ans.
Avec l’espoir de devenir un jour journalistes, Anaïs et Léane n’ont pas beaucoup de temps à lui consacrer mais cela ne l’empêche pas d’avoir un liens très fort avec elles deux aussi.
La vie d’Arthur est donc partagée entre six personnes: ses soeurs, Sarah et Maxime, dit Max, son meilleur ami depuis leurs entrée au foyer 10 ans plus tôt.

Les histoires d’Arthur naissent toutes plus ou moins de la vie de son entourage, cette fois il a voulu faire porter un hommage à ses grandes soeurs de par les prénoms Anne (pour Anaïs) et Léna (pour Léane); à Eleonore et Maëlle pour ce qui est des jumelles, ainsi qu’à ses parents et Marc, le frère jumeaux de sa mère. Celui qui les a tous tué lorsque Arthur avait à peine 5 ans. Le jour depuis lequel il n’a plus jamais parlé...

J'espère avoir corrigé une bonne partie mais on sera deux à t'avoir corrigé avec Maxoo alors...

J'aime beaucoup, le début ressort beaucoup plus lorsqu'on apprend que c'est une histoire dans l'histoire :D
Continues bien !!

Je ne sais pas s'il y a encore des fautes.... je ne pense pas, mais sur l'écran j'ai toujours plus de mal à les voir que sur papier !!
je dois être une accro des virgules ^^ j'ai l'impression d'en rajouter des kilos ! :goutte:

pour le contenu en lui-même, il gagne en intensité... surtout qu'on découvre un nouveau persnnage. Fais juste attention, les deux aînées ne peuvent plus être au foyer car elles sont majeures....  Bonne continuation !! :ok:

A force tu corrigeras tes erreurs automatiquement en écrivant, il e restera que les fautes de frappes ;)

Je te félicite pour tous ce que tu as écrit jusqu'à maintenant :D