#422 10 Juin 2012 10:31:33
<image>Hello tout le monde !!!!!
Je suis hyper contente parce que je viens de terminer
Starters et toute la deuxième partie du livre est tout simplement GENIALISSIME ! Elle a totalement rattrapée mon avis sur cette histoire ! Je suis restée bouche bée et là, il est clair que j'ai hâte de connaitre la suite ! C'est une histoire vraiment originale. Des retournements de situations en veux-tu en voilà ! Bref, Énorme ! (mais pas parfait, donc je ne lui mettrais que 8/10 ^^)
Sinon, j'ai continué
Rebecca Kean, tome 1, Traquée et franchement : J'adore ! c'est rythmé, les dialogues sont sympas et font sourires, les personnages sont supers intéressants. A chaque fois que je tourne une page j'ai envie de connaitre la suite des évènements. Si ça continue comme ça, je sens la très bonne note :) Je vais essayer de le terminer aujourd'hui car on doit rendre les chroniques et vu que je serais absente après...
Je commence maintenant en SP avec les éditions Au Diable Vauvert
Mort d'un Clone. Livre que je n'aurai jamais lu si cela n'avait pas été un Service Presse mais peut-être vais-je être aussi agréablement surprise que pour
Ce parfait ciel bleu =)
Résumé : Nous sommes à la fin du siècle dernier, un chroniqueur distancié nous raconte la vie de Martial Bonneteau, un petit employé à la quarantaine aigrie, mal mariée à une femme épaisse et acariâtre qu’il n’a jamais pu satisfaire sexuellement, père de deux fils aussi tristes que lui et d’une fille qui se cherche ; Martial est un médiocre qui enfouit dans la routine et le mépris de soi les frustrations d’une existence de clone parmi les clones.
Et puis un matin, de micro-événements en micro-événements, un regard dans le métro, un retard au bureau, Martial Bonneteau va légèrement diverger de son chemin quotidien bien tracé, et c’est tout son univers normé qui commence à se lézarder…
Soudain livré à un confus désir de vivre, notre anti-héros va connaître bien des mésaventures : d’abord généreusement initié au sexe et au plaisir par une prostituée de la rue St-Denis, il va abattre un par un les murs qui emprisonnait sa vie : retour au foyer, réaction des proches et des collègues, scènes de ménages, hystérie familiale, coaching psychologique… Les scènes d’anthologie se succèdent sur un rythme de comédie ou de théâtre de boulevard, et on rit beaucoup.
On rit surtout du portrait au vitriol, presque cynique, que brosse Bordage de nos aliénations ordinaires.
Jusqu’à la disparition du clone, où, après l’ironie et l’humour noir, on retrouve l’écrivain qui nous parle mieux que tout autre d’humanité.