#61 02 Novembre 2011 19:57:29
Monsavon a écritJe suppose que vous êtes bien informée des dernières avancées tant au niveau de la génétique que de la technique. Aussi, cela étaye-t-il ou remet-il en question vos hypothèses ?:angel:
Les avancées de la génétique ? Je suppose que vous voulez parler du reportage récent que l'on a pu voir sur les ondes, intitulé : nous venons tous d'Afrique. Beaucoup de gens m'en ont parlé.
La vie s’est développée à partir des premiers organismes vivants qui se sont formés dans l’eau des océans primitifs. D’ailleurs, le code génétique, comme le précise les généticiens est universel. Il est identique qu’il s’agisse d’un brin d’herbe, d’un écureuil ou d’un homme. Seules de minuscules variantes déterminent notre appartenance au groupe humain. A vrai dire, l'ADN de deux individus pris au hasard sur la planète ne ¬diffère que de 0,1 %, et notre ADN est le même que celui d'un chimpanzé à 99 %. Les scientifiques viennent de faire la preuve que la population mondiale descend directement d'un petit groupe d'individus (10.000 pas davantage) vivant en Afrique, sans doute du côté de l'actuelle Namibie, il y a 200 000 ans.
Or, si l’on en croit la genèse sumérienne, les Anunnaki ont modifié le génome des « têtes noires », peuplade d’hominidés ainsi nommées dans les textes. Il faut savoir qu’il existait beaucoup d’autres races d’hominidés en Afrique et que toutes se sont éteintes, excepté la nôtre. En quoi était-elle différente ou plus résistante ? Mystère. Toujours est-il que ce petit groupe dont nous descendons vivait au cœur de l’Afrique noire comme le précise le texte akkadien « Lorsque les dieux comme les hommes ». Le SHI. IM.TI littéralement « la maison où souffle le vent de la vie » se situait en terre d’Arali : compte tenu de la distance que mettaient les bateaux pour s’y rendre, les côtes qu’ils longeaient et les descriptions des lieux, il s’agissait probablement du Zambèze actuel. Donc, loin de mettre la théorie évhémériste de Zecharia Sitchin en défaut, cette nouvelle avancée de la science aurait largement tendance à l’appuyer.