#15 28 Avril 2011 14:48:01
Ah oui autant pour moi, j'ai mis curiosité dedans à cause de l'expression : curiosité est un vilain défaut. Donc erreur de ma part.
Je trouve que le libre arbitre n'est pas si vrai dans les religions (religions monothéistes au moins). Pour preuve les pêchés capitaux. J'aurais aussi dit les 10 commendants mais ils font plus appelle au bon sens et à la moral générale qui n'est pas lié à la religion. Ok le mec peut faire ce qu'il veut puis après quelques pêchés, il va se repapanter auprès d'un prêtre qui a fait voeux de chasteté (voici un exemple de perte du libre arbitre).
A partir du moment ou les faits, gestes et pensés sont fait en fonction d'une religion (de ses écrits/dire/on dit que...), c'est par définition un perte de libre arbitre car ce n'est plus "je vais faire ca par ce que j'ai envie" mais "je vais faire ca car dieu veut" (bon j'exagère). Mais voila mon opinion.
"et certaines de façons condamnables (surtout quand ça se fait au détriment d'autrui, voire quand il y a aussi une part une auto destruction)." --> Oui comme la pédophilie, le viol, tuer par plaisir etc. Mais ca ce n'est pas spécifique aux religions monothéistes. C'est de la logique et du bon sens. La définition de bien/mal dans le sens Tué quelqu'un c'est mal, ne date pas du christianisme.
Je pensais surtout à la luxure par exemple. Le faite de vouloir renier le plaisir du sexe est pour moi une abbération. La religion judéochrétienne a donc définie que c'était mal d'aimer le sexe (je parle pas de sexe sans consentement etc hein). Puis quand on entant certaines personnes très croyantes et pratiquantes (cf un documentaire sur M6 ou FR3 il y a longtemps) dire qu'elles ne font que du sexe pour se reproduire uniquement, c'est assez abbérant vu que sans plaisir pas de reproduction (au niveau rêgne animal en général).
Ensuite, plus au niveau historique. Je pense qu'on va pas se lancer dans le débat des croisades pour forcer les gens (païens) sous peine de mort au christianisme, sur les tueries de scientifiques et savants qui affirmait des vérités sur les sciences mais qui aller au contraire de ce que le livre saint disait. Donc lire "Mais le christianisme parie toujours sur la capacité de l'homme à aimer", ce qui est surement vrai dans la théorie, n'est finalement pas si vrai dans la pratique l'histoire et donc l'interprétation par les Hommes du christianisme, nous a montré le contaire.
Ca peut paraitre un peu contradictoir ce que je viens dire, mais dans l'ensemble je pense que la différence bien/mal (tuer, faire souffrir = mal ; aider quelqu'un = bien) ne date pas du christianisme mais que celui ci la modelé à ca facon incluant des biens/mals qui a mon sens sont des abérations. Et encore une fois, l'Homme n'est ni bon, ni mauvais.
Dernière modification par Helran (28 Avril 2011 14:51:53)