[Suivi lecture] Darkness Turns Me On

Nouvelle chronique : L'oiseau du Cachemire de Linda Holeman.

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Calcutta, années 1820. Après une enfance passée dans la plus abjecte pauvreté dans les bas-fonds de Liverpool, Linny réussit à se réinventer sous les traits d'une jeune femme d'origine modeste mais respectable. Saisissant l'occasion de partir vivre en Inde, elle espère pouvoir effacer toute trace de son passé misérable. Mais le destin la rattrape bien vite : forçée à un mariage malheureux, elle sera liée à son mari ignoble par un odieux secret. Ce n'est que sa rencontre avec Daoud, fier et indomptable guerrier, qui fera découvrir à Linny l'amour... et lui offrira enfin les clés de sa liberté.

Mon avis :

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Premier livre de Linda Holeman que je lis & gros coup de coeur à l'horizon. J'ai été prise dès le départ dans le récit que Linny fait de sa vie. Elle nous raconte en détails sa vie depuis son enfance jusqu'au moment où elle écrit dans son carnet dans le but de transmettre ses souvenirs à son fils lorsqu'il sera en age de comprendre. Son récit commence lorsqu'elle a 11 ans & que son père décide, qui ne travaille pas, pour avoir un peu plus d'argent car il trouve insuffisant pour vivre la paie de Linny à l'atelier de reliure, décide de faire d'elle une prostituée, vendant son corps aux hommes les plus offrants. Petit à petit, & après un évènement qui va tout précipiter, elle décide de s'émanciper du joug de son père pour être maîtresse de son destin. Au bout d'un certain temps, elle décide que pour elle la seule solution est de quitter l'Angleterre pour tout recommencer à zéro ailleurs. Malheureusement un autre coup du sort empêche Linny de mettre à bien son projet, mais alors qu'elle est une nouvelle fois mal en point, elle aidé par un jeune homme de bonne famille qui la prend sous son aile & l'aide à changer de vie. Malgré tout, Linny n'est pas heureuse & lorsqu'une de ses amies lui propose de partir pour l'Inde elle accepte sans vraiment réfléchir. Ce roman nous fait donc voyager dans la vie de cette jeune femme virtuose du mensonge en tout genre et de sa quête du bonheur en nous emmenant à Calcutta & dans les plaines du Cachemire. On entre très facilement dans le récit, pris en haleine par la vie trépidante de Linny Gow.

Ma chronique pour A l'encre russe de Tatiana de Rosnay.

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2006, Nicolas Duhamel souhaite renouveler son passeport, mais en dépit de ses papiers précédents, Nicolas devra prouver qu'il est bel et bien Français, car ses parents sont nés à l'étranger. De cette situation kafkaïenne (que l'auteure a elle-même vécue) va découler un incroyable roman à tiroirs qui fera voyager Nicolas, de Paris à Saint-Petersbourg, d'Hollywood à Singapour, pour peut-être enfin découvrir le secret de ses origines et tenir la clé de son avenir...

Mon avis :

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Encore une fois, concernant, Tatiana de Rosnay, je ne suis pas vraiment objective. Ici, elle nous entraîne sous le soleil de l'Italie, où Nicolas tente d'écrire son deuxième roman sans y parvenir, tout en pensant au succès de son premier ouvrage. La distinction entre le présent & les pensées de Nicolas sont bien délimitées par l'utilisation du présent & du passé, ce qui ne permet pas de confusion entre les deux époques. On entre facilement dans l'histoire & on se laisse emporter par les secrets de la famille Duhamel. Par contre, on devine assez rapidement l'un des secrets de famille (je ne vous dis pas lequel, je vous invite à le découvrir vous même). Bref, encore du très bon Tatiana de Rosnay.

Ma chronique pour Rendez-vous en Irlande de Lynne Graham.

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Ruinée et brisée par Rafael Cavaliere, homme d’affaires aussi séduisant que glacial, Aleth, qui n’a plus rien à perdre, décide de quitter Londres pour l’Irlande. Là-bas, sur la terre de ses ancêtres, où elle vient d’hériter d’un cottage, elle espère bien se faire une autre vie, heureuse et libre, au cœur de la nature, en élevant des chevaux. Mais alors qu’elle s’imagine échapper ainsi à son ennemi, une mauvaise surprise l’attend sur place : en effet, elle découvre que le riche propriétaire du manoir voisin, et de l’immense domaine qui l’entoure, n’est autre que Rafael Cavaliere lui-même. Un coup du sort qui s’accompagne d’une révélation bien pire encore : car Cavaliere lui apprend qu’elle est liée à lui par une lourde dette, contractée quelques années plus tôt par un aïeul. Et que, si elle veut s’en affranchir, il ne lui laisse pas d’autre choix que de l’associer — lui, Cavaliere, cet homme qu’elle déteste plus que tout au monde — à l’élevage de chevaux sur lequel elle comptait pour prendre un nouveau départ. Cela, jusqu’à ce qu’elle lui ait remboursé jusqu’au dernier cent…

Mon avis :

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Très bonne surprise que ce roman de Lynne Graham que je ne connaissais pas avant. Je suis tombée par hasard sur ce livre à Book Off, et j'avoue avoir été directement attirée par le titre, et en particulier par le mot "Irlande". Je ne me suis rendue compte qu'il s'agissait d'un livre édition Harlequin qu'une fois l'avoir rentré dans ma bibliothèque Livraddict. Cependant, il s'agit ici d'une très bonne découverte car le livre passe outre les clichés de ce genre de roman. Avant l'histoire d'amour passionnée, il y a le combat d'une jeune femme pour vivre sa vie comme elle l'entend en dépit de ce que peuvent en penser sa famille & la communauté du petit village de Ballyflynn. L'histoire est riche en rebondissements & à chacun d'entre eux, on reste en haleine pour savoir comment Aleth va s'en sortir. Et durant une bonne partie du livre, une question nous taraude, je ne vous révélerai pas cette question, je préfère vous laissez la découvrir par vous même. J'ai passé un excellent moment devant cette jolie histoire, donc je vous encourage à passer outre le fait qu'il s'agit de l'édition Harlequin pour vous jeter dessus. Attention : ce livre existe aussi sous le titre Une passion en Irlande (mais je dois avouer que je préfère la couverture sous le titre Rendez-vous en Irlande).

Nouvelle chronique : Pour un Tweet avec toi de Teresa Medeiros.

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Auteure d'un presque Pulitzer, Abigail Donovan se débat contre l'angoisse de la page blanche. Aussi, lorsque son agent lui ouvre un compte Tweeter, elle se laisse happer par les tweets, retweets, hashtags, etc. Guidée par l'un de ses followers, "MarkBaynard" - un professeur d'université en congé sabbatique et twitteur hilarant -, Abigail retrouve l'inspiration et le goût de vivre. Mais pourquoi rester devant son écran alors que Mark parcourt le monde ?

Mon avis :

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Thème assez inédit en littérature, Twitter est au centre de cette sympathique histoire, rédigée en tweets & alternée de parties narratives. Le personnage d'Abby est attachant. On suit l'évolution de sa relation avec Mark, qui évolue petit à petit et devient de plus en plus forte. J'ai particulièrement adoré leur façon de se dire au revoir. Je ne m'attendais pas du tout au retournement de situation de la fin. Le style d'écriture est fluide, le roman rapide à lire & se fini rapidement (deux jours pour ma part & encore parce que je n'étais pas chez moi, sinon je pense que le délais aurait été plus court). Ayant été conquise par ce roman, j'ai plutôt hâte de découvrir Le diable s'habille en tartan du même auteur.

Je pense pas à le remettre à jour c'est tout ^^"
Je vais m'y remettre !

Remise à jour :

Lexi Smart a la mémoire qui flanche de Sophie Kinsella.

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Lexi Smart est une fille plutôt normale : vingt-cinq ans, un boulot assez assommant, les dents pas très alignées, le cheveu désespérément terne, quelques kilos en trop, un appart minuscule, un fiancé un peu nul et très fauché et trois super copines avec qui elle fait la fête le vendredi soir. Un beau matin, Lexi se réveille dans une chambre d'hôpital avec un sourire parfait, une cascade de boucles blondes, une silhouette de sirène, un beau gosse de mari richissime... et une amnésie partielle due à un accident de voiture : trois ans de sa vie viennent de s'effacer, Lexi ne se souvient de rien. Qui est cette snobinarde qui prétend être sa meilleure amie ? Depuis quand Lexi vit-elle dans un loft luxueux ? Qu'a-t-elle fait à ses collègues pour qu'ils la surnomment le Cobra ? Et qui est ce mystérieux architecte qui la harcèle de messages ? Pour comprendre comment elle est passée de fille toute simple à garce carriériste, Lexi va devoir fouiller cette parenthèse de trois ans. Et ce qu'elle va y découvrir pourrait bien lui donner quelques leçons pour l'avenir...

Mon avis :

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Roman drôle, frais & facile à lire, il a ravi la grande fan de Sophie Kinsella que je suis. Je me suis rapidement attachée au personnage de Lexi, qui comme moi est assez gaffeuse, maladroite & met très facilement les pieds dans le plat. J'ai aimé me poser des questions sur ce qu'elle avait oublié durant ces trois années & reconstituer le puzzle de sa nouvelle vie. Et puis, Jon !!! Je ne vous dis rien sur lui, je préfère vous laissez découvrir si jamais le livre vous tente. J'ai en tout cas passer un très bon moment devant ce livre que je recommande aux fans de chick-lit & surtout aux fans de Sophie Kinsella.

La rose du Bengale de Louise Allen.

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Calcutta, 1808

Perdita s'apprête à prendre le bateau pour Londres, après huit ans passés à Calcutta où elle a été envoyée par son père à la suite d'un scandale : à seize ans, en effet, elle s'est enfuie avec Stephen Doyle et a passé deux jours et deux nuits avec lui sur les chemins. Ce que tout le monde ignore, cependant, c'est que Stephen n'est pas son séducteur et que très peu de temps avant cette fuite, elle s'est donnée à Alister Lyndon, son voisin et ami d'enfance, juste avant que ce dernier ne quitte la maison paternelle en état d'ébriété. Or voilà qu'en cette dernière soirée à Calcutta, dans le palais du gouverneur, Alister reparaît dans sa vie...

Mon avis :

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Premier roman de Louise Allen à me tomber entre les mains, l'aspect Harlequin ne m'a pas rebuté. J'ai tout d'abord été attirée par le titre, puisque aimant les histoires qui peuvent me transporter en Inde, pays que j'aimerai un jour visiter. J'ai été agréablement surprise, la plume de Louise Allen est agréable, l'héroïne n'est pas une nunuche fade & sans personnalité, elle est au contraire têtue, courageuse & pas du genre demoiselle en détresse. L'histoire est pleine de rebondissements. J'attends donc la suite avec impatience.

Un roman français de Frédéric Begbeider.

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" C'est l'histoire d'une Emma Bovary des seventies, qui a reproduit lors de son divorce le silence de la génération précédente sur les malheurs des deux guerres.
C'est l'histoire d'un homme devenu un jouisseur pour se venger d'être quitté, d'un père cynique parce que son coeur était brisé. C'est l'histoire d'un grand frère qui a tout fait pour ne pas ressembler à ses parents, et d'un cadet qui a tout fait pour ne pas ressembler à son grand frère. C'est l'histoire d'un garçon mélancolique parce qu'il a grandi dans un pays suicidé, élevé par des parents déprimés par l'échec de leur mariage.

C'est l'histoire d'un pays qui a réussi à perdre deux guerres en faisant croire qu'il les avait gagnées, et ensuite à perdre son empire colonial en faisant comme si cela ne changeait rien à son importance. C'est l'histoire d'une humanité nouvelle, ou comment des catholiques monarchistes sont devenus des capitalistes mondialisés. Telle est la vie que j'ai vécue : un roman français. "

Mon avis :

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Dans ce roman autobiographique, Frédéric Beigbeder nous raconte, après son arrestation pour consommation de drogue sur la voie publique, sa vie & celle de sa famille. On plonge très rapidement dans la vie pleine de rebondissements & aux multiples origines de cette famille française bourgeoise. Tout commence par l'histoire de l'arrière grand-père, mort pendant la Première Guerre Mondiale, pour se terminer sur une note de tendresse. Ce livre m'a vraiment donné envie d'en lire d'autres de Beigbeder & m'a permis de mieux comprendre le personnage en lui même.

Max de Sarah Cohen-Scali.

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"19 avril 1936. Bientôt minuit. Je vais naître dans une minute exactement. Je vais voir le jour le 20 avril. Date anniversaire de notre Fürher. Je serai ainsi béni des dieux germaniques et l'on verra en moi le premier-né de la race suprême. La race aryenne. Celle qui désormais régnera en maître sur le monde. Je suis l'enfant du futur. Conçu sans amour. Sans Dieu. Sans loi. Sans rien d'autre que la force et la rage. Je mordrai au lieu de téter. Je hurlerai au lieu de gazouiller. Je haïrai au lieu d'aimer. Heil Hitler !"
Max est le prototype parfait du programme "Lebensborn" initié par Himmler. Des femmes sélectionnées par les nazis mettent au monde de purs représentants de la race aryenne, jeunesse idéale destinée à régénérer l'Allemagne puis l'Europe occupée par le Reich.

Mon avis :

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J'ai fini de le lire il y a à peu près deux semaines & wow quelle claque ! On est captivé dès les premières pages par la dureté & la façon de s'exprimer de cet enfant & les propos qu'il tient. J'ai eu énormément de mal à reposer le livre tant j'étais prise dans l'histoire. L'histoire est dure, bouleversante, atroce mais très belle en même temps. La personnalité de Max est troublante & reflète bien l'état d'esprit de ces années de guerres, on suit ses différents changements de personnalités, tout en se rendant compte qu'il finira souvent par revenir à ce à quoi on l'a programmé. Il y a eu un vrai travail de recherche de Sarah Cohen-Scali sur les Lebensborns car j'en ai appris un peu plus sur cette pratique que j'ai découverte il y a relativement peu de temps & on s'y croirait vraiment. Je vous conseille donc vraiment de vous plonger dans ce livre.

Doctor Who : L'Armée oubliée - Brian Minchin[/url]

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Il y a très longtemps, une armée d’extraterrestres a atterri sur les étendues glacées de l’Arctique. Des milliers d’années plus tard, ils sont prêts à passer à l’attaque.

Le Docteur et Amy font face à un nouvel ennemi : les Vykoïdes.
Armés jusqu’aux dents, ces terribles guerriers sont bien décidés à asservir l’humanité. Et lorsque Manhattan se retrouve isolé du reste du monde par un champ de force, Amy a vingt-quatre heures pour trouver le Docteur, sauver la ville… et peut-être le monde.

Mon avis :

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Grosse déception. Je trouve ce tome bâclé comparé aux autres. L'idée de base est bonne, mais le reste ne suit pas. L'action est trop lente, la fin se résous trop rapidement. Bref peut de chose à en dire à part que je suis très déçue de ce tome dans lequel je n'ai pas réussi à retrouver la folie de la série ni des autres tomes.

Le retour des Highlanders, tome 1 : Le gardien de Margaret Mallory.

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Après cinq ans passés à se battre sur le continent, Ian MacDonald revient sur son île natale de Skye, où il trouve son clan en péril. Bien décidé à réparer ses erreurs de jeunesse, il doit déjouer les manigances d’un adversaire sans scrupules, et faire face à Sìleas, l’épouse qu’il a délaissée pour partir au combat. Une surprise attend Ian : la gamine maigrichonne qui le suivait partout comme son ombre et qu’il a dû épouser à la suite d’un malentendu, est devenue une jeune femme aussi ravissante que farouche.

Mon avis :

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Je dois l'avouer, j'ai eu un peu de mal à me mettre dedans au début, mais une fois les quatre ou cinq premiers chapitres passés on entre totalement dans l'action du livre & on le dévore. On se demande comment Sìleas va conquérir Ian mais aussi comment lui va la conquérir après l'avoir abandonnée pendant cinq longues années, après avoir quitté une adolescente sans attraits retrouve une jeune femme plus que séduisante. Un jeu de "je t'aime moi non plus" s'instaure entre les deux jeunes gens. L'action est très présente, ainsi que le cadre magique de l'île de Skye en Ecosse. Très bon points sur les personnages censés être secondaires (notamment Alex) qui sont omniprésents & aussi importants que les personnages principaux, ce qui bien sur est utile pour la suite de la saga.

La Jeune Fille à la perle de Tracy Chevalier.

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La jeune et ravissante Griet est engagée comme servante dans la maison du peintre Vermeer. Nous sommes à Delft, au dix-septième siècle, l'âge d'or de la peinture hollandaise. Griet s'occupe du ménage et des six enfants de Vermeer en s'efforçant d'amadouer l'épouse, la belle-mère et la gouvernante, chacune très jalouse de ses prérogatives.

Au fil du temps, la douceur, la sensibilité et la vivacité de la jeune fille émeuvent le maître qui l'introduit dans son univers. A mesure que s'affirme leur intimité, le scandale se propage dans la ville...

Un roman envoûtant sur la corruption de l'innocence, l'histoire d'un coeur simple sacrifié au bûcher du génie.

Mon avis :

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Dès les premières pages, je me suis retrouvée captivée par l'histoire. La personnalité de Griet change peu à peu au contact de cette famille plus riche que la sienne en apparences mais ayant des problèmes financiers tout en tentant de garder la face devant la petite ville de Deft. Le temps passe & Griet semble être la seule la maison à comprendre l'art de son maître du quel elle se rapproche petit à petit, jusqu'au moment fatidique ou il la peint à la demande de son client le plus fortuné, faisant enfler des rumeurs sur leur relation, Griet devient secrète et distante avec ses proches. La fin est un peu prévisible, mais bien écrite de façon à ce qu'on se rende bien compte qu'elle a prit ses distances avec la famille. Juste après avoir fini le livre, je me suis penchée sur l'adaptation que j'ai trouvé très mauvaise malgré l'excellent casting. Le film se centre plus sur la relation Griet/Vermeer (interprétés respectivement par Scarlett Johanson & Colin Firth), mais passe, à mon sens, à côté de l'essentiel du roman. La fin m'a aussi extrêmement déçue car je m'attendais à un face à face comme à la fin du roman. Donc si le roman m'a conquise, le film pas du tout.

Doctor Who : L'horloge nucléaire de Oli Smith.

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Colorado, 1981. Perdu dans le désert, Appletown est un petit village où il fait bon vivre. Mais l'entrée en scène de deux étrangers va tout chambouler. Le premier est un savant fou, dont les mises en garde sont abrégées par sa mort soudaine. Le second est le Docteur. La mort tombe du ciel et le TARDIS s'en trouve endommagé. Pris au piège, le Docteur se rend compte que le temps s'écoule pour lui à l'envers, tandis qu'Amy et Rory sont menacés dans un futur qui s'éloigne de plus en plus au fil des secondes. Le Seigneur du Temps doit percer les secrets d'Appletown avant qu'il soit trop tard.

Mon avis :

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Cinquième roman de Doctor Who que je lis, et je l'ai nettement préféré au précédent que j'ai lu, L'armée oubliée que j'avais trouvé ennuyeux à mourir. L'action de celui-ci démarre donc comme dans un épisode de la série. Un endroit apparemment sans histoires, ni problèmes qui tout d'un coup devient le théâtre d'événements improbables. Ici, des robots tueurs très évolués avant l'heure, une menace risquant de tuer des innocents. On y entre donc très rapidement en tremblant à chaque instant pour nos personnages préférés. Cependant, petit bémol, bien que l'idée de départ est excellente & que l'histoire suive très bien, il y a un gros fouillis sur toute la partie où le Docteur remonte le temps. Mais sinon bon point positif pour ce premier roman où l'on trouve Rory.

L'appel de l'ange de Guillaume Musso.

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Dans leur téléphone, il y avait toute leur vie.

New York. Aéroport Kennedy.
Dans la salle d'embarquement bondée, un homme et une femme se télescopent. Dispute anodine, et chacun reprend sa route.
Madeline et Jonathan ne s'étaient jamais rencontrés, ils n'auraient jamais dû se revoir. Mais en ramassant leurs affaires, ils ont échangés leurs téléphones portables. Lorsqu'ils s'aperçoivent de leur méprise, ils sont séparés par 10000 kilomètres : elle est fleuriste à Paris, il tient un restaurant à San-Fransisco.
Cédant à la curiosité, chacun explore le contenu du téléphone de l'autre. Une double indiscrétion et une révélation : leurs vies sont liées par un secret qu'ils pensaient enterrés à jamais...

Mon avis :

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Je l'ai terminé jeudi dernier & wow ! Coup de coeur sur cette histoire ! On a beaucoup de mal à le refermer tant on est captivé par l'histoire dès le moment ou Jonathan & Madeline échangent leurs téléphones. On prend alors conscience que notre téléphone peut devenir bien plus qu'un simple outil de communication lorsque l'on a quelque chose à cacher. L'enquête est haletante & plus on tourne les pages, plus on veut connaître l'issue de l'histoire. Seul petit bémol, la toute fin un peu expéditive & décevante. Bref encore un excellent Musso que je conseille vivement à ceux qui ne l'on pas encore lu !

Chronique à venir, Une proposition inconvenante de Louise Allen.