Assassin

 
  • Enara

    A la découverte des livres

    Hors ligne

    #81 10 Janvier 2010 11:49:36

    Ah! Navrée. Pour ça, il faut attendre la suite. Je ne pense pas qu'elle soient trop longue à arrivée. Un peu de patience pour vous et de motivation pour moi.

    Petite devinette, avec le sourire =).
    Vous qui vous plaignez si souvent de ça, ne trouvez-vous pas qu'il manque quelques chose à mon texte? (Je vous rassure, habituellement, je m'en plains aussi parce que c'est de ma faute et que ça m'énerve. ;) )

    Cherchez, cherchez! Pour le moment, vous n'aurez pas d'indice. Le premier à trouver pourra choisir une récompense (que je suis en mesure de lui offrir bien évidement).
  • Max Hell

    Lecteur professionnel

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    #82 10 Janvier 2010 12:33:38

    C'est tout simplement magnifique !!!!!

    J'adore !!!!!!!!!!!
  • Enara

    A la découverte des livres

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    #83 10 Janvier 2010 12:38:22

    Merci, merci. Je sais... Je suis géniale

    Je me remonte un peu le moral, c'est rien.
    Pourquoi? Parce qu'il neige!!
  • Enara

    A la découverte des livres

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    #84 18 Février 2010 14:21:33

    Oulala! Mais c'est que j'ai tardé! En effet, ça fait un moment que la suite est écrite. Vous la ferais-je partager?

    Bien! mais qu'une partie, parce que le texte intégral n'est pas terminé. Suite de OmbreBlanche:

    Pendant des années, il fit tous ceux que le Maître lui demanda, s’entraînant rigoureusement, apprenant tous ce qu’il pouvait apprendre, renforçant son corps et son esprit. Tout ça par amour et par admiration pour celui qui l’avait sauver de l’enfer.
        Il fut bientôt capable de manier n’importe quelle armes avec la même habilité surprenante. C’était un génie des armes, et a à peine 8 ans, il avait atteint le niveau de ses aînés. Mais il ne le savait pas. Car durant tout ce temps, le Maître avait pris soin de le tenir isolé, lui procurant un enseignement et une attention spéciale. La preuve en est que l’enfant avait accès à ses quartiers privés et qu’il avait vu son visage.


        J’ai fini mon entraînement, je me suis lavé et changé, j’ai pris soin de nettoyer mes armes, j’ai pris le temps de mettre de l’ordre dans mes appartements. Alors maintenant, je peux y aller. Chez le Maître. Il m’a dit de le rejoindre dès que j’aurais fini. Et c’est ce que je fait maintenant. Comme il m’a toujours dit de le faire, je prend les couloirs détournés, ceux cachés que personne ne connaît.
        Il croit que je ne sais pas qu’il y a d’autre gens dans la citadelle, mais comment ne pas les entendre ? Comment ne pas sentir leur présence ? Comment ne pas sentir leurs odeurs quand ils ont utilisé la salle d’entraînement juste avant moi et qu’ils ne l’ont pas nettoyé comme il se doit ?
        Le Maître à raison. Les autres sont des ignorants. Depuis que je suis là, il ne m’ont jamais ressenti comme je les ressent. Il n’ont jamais eu conscience de ma présence comme je l’ai de la leur. Les autres me rebutent. Il ne sont là que par ambition ! Ils sont tous destiné à mourir, car ils n’ont pas le talent qu’il faut. La promotion de cette année est vraiment mauvaise. Je ne trouve pas d’autre mots. Même le meilleur d’entre eux se fera tuer dès la première mission. Tant pis. J’ai rendez-vous. Je ferais mieux de ne plus y penser.
        J’arrive enfin devant la porte. Elle est entrouverte. C’est inhabituel. Que ce passe-t-il ? Le Maître tient à garder ses secrets alors sa porte et toujours verrouillée. Ca pue. Quelque chose ne va pas. Il n’est pas seul. Mais il n’est pas en danger non plus. Que dois-je faire ? Entrer ? C’est hors de question ! On ne dérange pas le Maître. Alors quoi ? Attendre ? C’est la seule autre solution. Attendre que le Maître ait fini et qu’il m’appelle.
        Je m’adosse alors au mur et me laisse glisser au sol pour patienter. Mais dans le silence, comment ne pas entendre ce qui se dit ? Je ne veux pas entendre ! Mais je n’ai pas le choix. J’entend tout ; même ce que je ne veux pas.
        - Il fait des progrès absolument fulgurants. J’ai bien fait de le choisir.
        - Tu t’attache trop à lui. Il ne sera jamais ton remplaçant, tu me l’a dis toi-même. Tu lui a même donné un nom.
        - Pour parler de lui, c’est plus facile. De toute manière, ça fait bien longtemps que j’ai abandonné l’idée de faire de lui mon remplaçant. C’est impossible.
        - Il n’y a personne à qui il tient ?
        - Non. Là d’où il vient, tout le monde l’a rejeter. Même sa mère l’a abandonner. Sans parler de l’aveugle qui lui à parmi de survivre. Il est mort l’hiver dernier.
        A ce point de la conversation, une partie de sur quoi j’avait bâti ma nouvelle vie s’effondra. J’avait accordé toute sa confiance au Maître et voilà qu’il la trahissait ! Il y eu un instant de pause, puis la voix de femme reprit :
        – Tu le lui à dis ?
        – Non. Je ne voulais pas lui faire de peine. Il est tellement sensible, que ça aurait anéantit tous ce qu’il a construit jusque là.
        – Arrête ! OmbreBlanche n’est pas ton fils. Personne ne le sera.
        – Tu crois que je ne le sais pas ?
        Le soudain éclat de voix du Maître me fit sursauter. Il n’haussait jamais le ton ; que se passait-il ? Il y eu de nouveau une pause. Le silence s’épaissi. Ma curiosité l’emporta sur l’entraînement et la crainte. Doucement je me penchait et couler un regard par l’ouverture. Je me redressais bien vite. Ce… n’était pas… possible. Je me trompais. Je devaits me tromper !
        Le Maître ne pouvait pas pleurer dans les bras d’une… d’une femme ! Moi-même, je ne pleure plus alors que je ne suis qu’un enfant !
        Je ne pleure plus ? Alors qu’est-ce que qui mouille mes joues ? Qu’est-ce qui secoue mon corps ? Je croyais que plus jamais ça n’arriverais, mais les sanglots que j’ai si longtemps retenu déborde. Je n’y peut rien. Pourquoi ? Je veux être fort. Je veux rendre le Maître heureux. Pourquoi pleure-t-il ? Pourquoi ?… A cause de moi ?

        Et c’est ainsi que plusieurs années passèrent durant lesquelles les relations entre le Maître et son protégé se firent plus distantes. Et le garçon, déjà fragile, mura son cœur dans une forteresse aussi impénétrable que la citadelle dans laquelle il était. Cela l’amena à repousser ses limites, à devenir encore meilleur. Après tout, plus rien ne venait le perturber. Même les récompenses et les compliments du Maître, qui lui était autrefois si cher, ne l’atteignaient plus.


    Voila donc! Vos avis? =)
  • clara

    Lecteur assidu

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    #85 26 Février 2010 21:12:58

    Continue d'écrire, tu as un don.
    Et bravo si tu es déjà en contact avec un éditeur.

    Clara
  • Enara

    A la découverte des livres

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    #86 27 Février 2010 11:09:00

    Merci! =)
    Il y a surement une petite part de talent, mais surtout une grosse part de travail. Je met un point d'honneur à ce que ce soit le mieux possible. Je ne compte plus le nombre de fois que j'ai relu mes textes avant d'en être satisfaite!

    Malheureusement, l'éditeur n'est encore qu'un rêve lointain...
    Ce n'est pas pour autant qu'il faut baisser les bras! La chasse est ouverte!! :D
  • Enara

    A la découverte des livres

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    #87 27 Mars 2010 19:32:37

    Et voilà... L'histoire d'OmbreBlanche est achevé, je voulais vous annoncer la nouvelle parce que j'en suis fière. Reste à ce que mes correcteurs fassent leur travail.

    Je ne la mettrais pas en ligne, qu'avez vous a faire de six pages de texte sur un forum? C'est long et on perd vite sa ligne (je le dis d'expérience) donc mon texte restera bien au chaud dans le secret de ma clé usb.

    Une autre histoire peut être?
    Je ne pense pas. Pas encore. Je vais attendre que le concours de nouvelles de mon lycée ait rendu son verdict. Si impatiente! Et en même temps, ça me fait si peur...

    Après, je me remettrais sans doute à écrire. Mais ce n'est pas la saison, pour le moment. Tant d'autres choses auxquels penser et dont il faut s'occuper...
  • Enara

    A la découverte des livres

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    #88 28 Mars 2010 21:57:20

    J'avais dis que je n'écrirais plus de si tôt, je me suis trompé.
    Je pensais que ce qui m'arrivais en ce moment m'empêchait de produire, je me suis trompé. C'est même tout à fait le contraire.

    Merci Max' de l'avoir rappelé à ma main.
    Voici les fruits d'une amitié brisée, d'un cœur déchiré par la trahison, de mon histoire, de mes larmes et de ma plume qui s'est trempée dans ce mélange.

    Avec toute mon amitié

    Est-ce que la pierre peut avoir mal?
    Est-ce que la pierre peut saigner?
    Est-ce que la pierre peut brûler aux cendres?

    Si la pierre peut avoir mal, c'est que tu as touché mon cœur.
    Si la pierre peut saigner, c'est que tu as blessé mon cœur.
    Si la pierre peut devenir cendre, c'est que tu as détruit mon cœur.

    Tu dis que tu n'as pas pu me trahir;
    Tu dis que tu n'as pas pu me faire souffrir;
    Et pourtant, c'est comme si tu m'avais laissé mourir.

    Je t'accordais ma confiance et laissais les portes de ma forteresse ouverte pour toi;
    Alors que j'attendais,tu m'as ignoré et es allé pleurer dans d'autres bras;
    Et après, tu voudrais que je crois que tu ne me trahis pas?

    Tu m'as blessé une fois,
    Je n'en ai pas tenu compte
    Par amitié pour toi.
    Tu m'as blessé deux fois,
    Et quand ma colère remonte
    Tu ne me comprend pas?

    Est-on malheureux quand une amitié
    Faite de poussière et d'eau se brise?
    J'ai fait l'erreur de te croire de mon côté.
    Il y a du sang dans la cendre que laisse la brise
    Qui reconstruit doucement la forteresse de mon cœur.

    Tu n'as plus besoin de moi?
    C'est parfait!
    Je te dis au revoir, oui, à toi.
    Avec toute mon amitié.


    N'hésitez pas à critiquer, c'est quasiment de l'improvisation... =)

    Dernière modification par Enara (29 Mars 2010 20:57:48)

  • Taliesin

    Correcteur Bibliomania

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    #89 28 Mars 2010 22:37:36

    Pas mal, on sent bien la souffrance que tu exprimes...
  • Enara

    A la découverte des livres

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    #90 01 Avril 2010 19:17:07

    La suite de l'histoire que je vous résume en trois lignes:

    Une bouche qui parle
    Une oreille qui écoute
    Un cœur qui pardonne


    Et autre chose qui n'a rien à voir qui m'est venu d'une personne spécial pour moi autant que pour ce que j'écris. Trois autre ligne lui sont dédier. Trois ligne qui, comme elle, peuvent changer d'ordre, donc changent de visage.

    Une main de velours
    Des larmes de cristal
    Un cœur d'or