Marcher droit devant moi ça à jamais été mon truc. Moi je vais à gauche voir les beaux nénuphars, puis à droite voir l'araignée tisser sa toile et puis un peu plus loin pour étudier les empruntes d'un cerf. Mais je finis toujours par suivre un chemin, simplement que son tracée va au fil des aléas de mon imagination, c'est à dire pas très réctiligne.
Avant je culpabilisais, maintenant je me rappelle juste que toute les routes mènent à Rome.