C’est de la light fantasy comme j’en ai rarement lu : inclusive, inventive, barrée… mais avec du cœur. On croise des personnages ultra colorés, des dialogues qui font mouche, des vannes bien salées, et en même temps, une vraie tendresse qui se dégage de tout ça. Muse m’a touchée. Avec ses doutes, ses coups de sang, ses petits moments de lucidité ou de fragilité.

Le dernier chant de Musaraigne

Anatole Jolly

Dans quel bordel de merdier on vient d’atterrir, là, sac-à-puces ? Muse était bien décidé : il finirait sa vie tranquille à chanter ses histoires de gnomes et à boire du thé Vahé. Tout ça, c’était sans compter sur l’arrivée de Gulliver, un poney qui parle — et qui n’a pas...

Roman • Fantasy | Humour

Editions JS (2025)