La louve

 
    • kiwiriki

      Casual lecteur

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      #1 30 Août 2010 20:01:17

      Voici une scène d'une histoire qui me trotte dans la tête depuis longtemps, et qui me tient à coeur. C'est aussi mon tout premier texte alors j'aimerais avoir vos avis et conseils qui me permettraient de m'améliorer.

            Il faisait nuit lorsque j'ouvris les yeux. Je ne savais pas pourquoi je me trouvais allongée là, dans la terre encore humide de la dernière averse. Il faisait froid et j'étais totalement nue, sale et mes ongles étaient incrustés de boue. Sans aucun souvenir de ce qu'il m'était arrivé, je scrutai le paysage qui m'entourait. Des arbres immenses dont les feuilles réfléchissaient la lumière de la lune m'encerclaient. Comme s'ils ne voulaient pas me laisser m'échapper de cette clairière. Ce décor me paraissait familier,   il ressemblait étrangement à celui de mon rêve, celui que je faisais depuis des semaines.  Mais cette fois-ci, il semblait bien réel. Je levai les yeux au ciel où j'aperçus la lune ronde et pleine qui m'éclairait.

            J'étais seule. Cependant je sentais une présence, comme si quelqu'un m'observait. Je regardai autour de moi, pour être certaine mais il n'y avait personne. Il faisait trop sombre pour voir quoi que ce soit en dehors de la clairière, le feuillage des arbres était trop épais pour laisser passer la lumière de la lune. Je me relevai, il fallait que je trouve un chemin pour sortir de ce bois et rentrer chez moi. Je m'apprêtai à partir quand un bruit retenti derrière moi. Le bruit d'une branche qui se brise. Je n'osais pas me retourner, espérant que c'était mon imagination... Un deuxième bruit, plus proche cette fois. Paniquée mais curieuse à la fois, je me retournai sans savoir à quoi m'attendre. C'est là que je les aperçus dans l'ombre des arbres, deux yeux ronds jaune doré qui me fixaient. Mes jambes se dérobèrent sous le poids de mon corps, j'étais pétrifiée, je n'arrivais plus à bouger. Mes pensées étaient confuses et se bousculaient dans ma tête, je n'arrivais plus à réfléchir. Devais-je m'enfuir ou rester? Si je criais quelqu'un m'entendrait-il ?

            Nous sommes restés là immobile à nous contempler les yeux dans les yeux, un long moment... ou pas, j'avais perdu toute notion du temps.  Soudainement, la créature s'avança dans ma direction, se dévoilant sous la lueur de la lune. L'animal qui ne se trouvait plus qu'à quelques mètre de moi était un loup. Un loup d'un noir aussi sombre que la nuit qui continuait de s'approcher lentement mais d'un pas décidé. Il ne détachait toujours pas son regard du mien, comme s'il voulait lire au plus profond de mon âme.

            Mon cœur battait tellement fort dans ma poitrine qu'on aurait cru qu'il voulait en sortir et m'abandonner. La terreur m'avait totalement envahie, la tête me tournait. Elle ne contrôlait plus le reste de mon corps. A cet instant, j'aurais tant voulu pouvoir séparer mon esprit de son enveloppe corporelle pour ne pas assister à la scène qui allait se produire. Il ne fallait surtout pas bouger, ne pas courir...
      « Ne cours pas! Ne cours pas! » Ces mots se répétaient sans cesse dans ma tête. Mais mes jambes plus fortes que ma raison, se mirent à courir. Je savais pourtant que cela ne servirait à rien, qu'il me rattraperait en quelques secondes. Je n'osais pas me retourner, voir la distance sans doute très faible qui me séparait de mon poursuivant peut être affamé. Je savais pertinemment qu'il pouvait se jeter sur moi à tout moment et que je ne pourrais l'éviter. Certaine du destin qui m'attendait, je me préparai à ressentir la douleur de sa mâchoire se refermant sur mes membres, de ses dents me transperçant la chair aussi facilement qu'une lame tranche un morceau de viande.

            Au moment où j'étais persuadée que c'était la fin, un frisson étrange traversa mon corps de la tête aux pieds. Les secondes s'allongèrent. La scène paraissait se passer au ralenti pourtant j'avais la sensation de courir de plus en plus vite. Peut être que la peur nous permet de dépasser nos limites, que notre instinct de survie nous rend capable de faire des choses impossibles.
      Mes sens étaient de plus en plus aiguisés, ma vue s'adaptait au noir, les ombres des arbres devinrent plus nettes. Je voyais presque comme en plein jour. D'un seul coup ma peur s'évanouit pour laisser place à une sensation de liberté, chose étrange dans ce genre de situation. Le vent sur mon visage me détendait, jamais je n'avais ressenti pareilles sensations. Le frisson devint un engourdissement total de tout mon corps. Je vis le sol se rapprocher... Étais-je sur le point de tomber?
      Pourtant je courais toujours, plus rapidement encore, mes pattes me portaient sans effort, comme si j'étais aussi légère qu'une plume. La chaleur m'envahit, ma fourrure blanche et épaisse était impénétrable par le froid. Un tas de nouvelles odeurs parvinrent jusqu'à ma truffe. Des odeurs lointaines et pourtant très fortes. Ma faculté à percevoir les choses qui m'entouraient était aussi développée que celle d'un loup. J'entendais les pas du loup noir derrière moi, mais je n'avais plus peur. Je savais que j'avais une chance de lui échapper car à présent j'étais devenue comme lui: une louve.
      Une louve qui courait libre comme jamais.
    • SebCargis

      A la découverte des livres

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      #2 14 Septembre 2010 09:52:02

      Je trouve le texte sympa, mais j'ai quelques commentaires:
      (bien entendu, commentaires personnels qui n'engagent que moi :) )

      - Je séparerais le second paragraphe en deux pour marquer le changement de situation: le réveil, puis à partir du bruit derrière l'héroïne ...

      - "Paniquée mais curieuse à la fois", je pense que c'est un peu tendu ;). "Effrayée mais curieuse" me paraitrait beaucoup plus plausible.

      - Le "... ou pas" est quand même très connoté "humour" actuellement ... Ce qui ne colle pas trop avec le reste du texte.

      - Le second paragraphe fait un peu bizarre ... J'ai l'impression que tu cherche à rendre l'angoisse avec un rythme haché, en juxtapositions, mais je pense que tu ne vas pas assez loin.

      - Globalement, j'ai l'impression qu'il manque de la ponctuation à pas mal d'endroits (des virgules principalement, ou alors changer les phrases pour les raccourcir).

      - J'ai aussi l'impression qu'il y a des précisions "inutiles", surtout pour une histoire dont la narratrice est stressée, les supprimer pouvant d'ailleurs aider aux points précédents ...
         Exemples:

      Un deuxième bruit, plus proche cette fois.
      Je savais pertinemment qu'il pouvait se jeter sur moi à tout moment et que je ne pourrais l'éviter


      - Sur la plan de la construction de l'histoire, je pense que je passerais la description de la situation initiale (réveil nue sans souvenir dans une clairière) en plusieurs paragraphes, en laissant le temps à l'héroïne de se poser des questions, avant de se rendre compte de la présence du loup. Ou alors en un seul paragraphe mais très long, et en séparant ton quatrième paragraphe en deux (avant le "ne cours pas!"), et en étoffant un peu le dernier. Ça permettrait d'avoir une opposition dans la forme même du texte qui répond à l'opposition dans le fond (humaine / loup), avec:
      paragraphe long (humaine) / paragraphes courts / paragraphe long (louve)

      - Toujours dans l'opposition, tu dans le dernier paragraphe tu décrit que l'héroïne est une louve en décrivant (entre autres) les parties animales de son corps dans la description de l'action. Je pense que c'est très bien fait, et il pourrait être intéressant de décrire de la même façon les parties humaines du corps de l'héroïne (genre elle se redresse et elle voit ses mains salies par la boue), toujours pour renforcer l'opposition qui est pour moi le sujet principal du texte

    • kiwiriki

      Casual lecteur

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      #3 27 Septembre 2010 11:27:31

      merci des conseils, je vais regarder à ça
    • kiwiriki

      Casual lecteur

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      #4 27 Janvier 2012 21:45:43

      J'ai un peu retravaillé le texte depuis la dernière fois:

      Le froid me tira de mon sommeil, un vent glacial m'effleura la peau et me fit frissonner. Mais où était donc passée ma couverture? Mon dos me démangeait, me piquait, comme-ci  j'étais couchée sur un lit d'aiguilles. Même encore à moitié endormie, je me rendis compte que je n'étais plus dans mon lit. J'ouvris enfin les yeux, et je ne vis pas le plafond de ma chambre comme je m'y attendais car je n'y était plus, j'étais dehors.
      Il faisait nuit, les étoiles brillaient dans le ciel et la lune était pleine. Sans aucun souvenir de comment j'étais arrivée ici, je scrutai le paysage qui m'entourait. J'étais allongée dans une petite clairière, totalement nue et couverte de boue, sur un mélange de terre humide et de branches sèches, plus que probablement la cause de mes démangeaisons. Des arbres immenses m'encerclaient, comme s'ils ne voulaient pas me laisser m'échapper. Leurs feuilles réfléchissaient la lumière de la lune et rendait l'endroit presque irréel. Ce décor me paraissait familier, il ressemblait étrangement à celui de mon rêve, celui que je faisais depuis des semaines. Mais cette fois-ci, il semblait bien réel, je ne rêvais pas j'en étais certaine.
          Le souvenir de mes cauchemars me revint en mémoire et un détail me frappa, cet endroit n'était pas exactement le même que dans mon rêve, il manquait quelque chose. Ici, il n'y avait pas de rocher au centre de la clairière, c'est moi qui y était. Je me remémorait aussi que dans mes rêves je fuyais quelque chose et la panique me pris. Et si cette chose était là? Je jetai un regard rapide  autour de moi mais j'étais seule. Cependant je sentais une présence, comme si quelqu'un m'observait. Je regardai autour de moi, pour me convaincre mais je ne vis personne. Il faisait trop sombre pour voir quoi que ce soit en dehors de la clairière, le feuillage des arbres était trop épais pour laisser passer la lumière de la lune. Je voulais crier, appeler à l'aide pour qu'on me trouve et qu'on m'aide mais je n'osai pas, peur de tomber sur quelqu'un de dangereux. Les gens qui traînent la nuit dans les bois, ne sont pas souvent les plus fréquentables. Je me relevai, il fallait que je trouve un chemin pour sortir de ce bois et rentrer chez moi avant de mourir de froid ou même de peur. Les bois m'avaient toujours effrayée, petite je ne voulais déjà pas y aller et mes cauchemars ne m'avaient guère rassurée. Je ne savais pas du tout où j'étais, ni même par où aller alors je choisis une direction au hasard en croisant les doigts pour que ça soit la bonne.
          Je m'apprêtai à partir quand un bruit retenti derrière moi. Je n'osais pas me retourner, espérant que c'était mon imagination ou simplement le vent qui faisait craquer les branches des arbres. J'attendis sans bouger quelques secondes interminables mais plus aucun bruit. J'entrepris à nouveau de partir quand des bruits de pas se firent entendre tout juste derrière moi. Paniquée, je fermai les yeux, essayant de me persuader que ce n'était qu'un petit animal inoffensif, qu'il allait continuer sa route et que tout allait bien se passer. Mais je ne pus m'empêcher de me retourner pour vérifier. C'est là que je les aperçus dans l'ombre des arbres, deux yeux ronds d'un jaune doré comme le soleil couchant, qui me fixaient. Je ne savais pas du tout quel animal, cela pouvait être mais c'était les yeux les plus terrifiants qu'il m'ait été donné de voir. Mes jambes se dérobèrent sous le poids de mon corps, j'étais pétrifiée, je n'arrivais plus à bouger. Mes pensées étaient confuses et se bousculaient dans ma tête, je n'arrivais plus à réfléchir. Devais-je m'enfuir ou rester? Si je criais quelqu'un m'entendrait-il ? Et même si quelqu'un m'entendait, arriverait-il à temps?
          Incapable de me décider, je restai immobile, tout comme lui. Nous sommes restés là, à nous contempler pendant ce qui me parut un long moment, je n'arrivais pas à détourner les yeux des siens. J'avais perdu toute notion du temps, j'aurais pu rester là des heures, sans m'en rendre compte, comme ci son regard m'hypnotisait. Soudain, la créature s'avança, se dévoilant sous la lueur de la lune. L'animal, qui ne se trouvait plus qu'à quelques mètres de moi était un loup. Un loup d'un noir aussi sombre qu'une nuit sans lune, contrastant avec la couleur jaune soleil de ses yeux. Il s'était arrêté à moins de 3mètres d'où j'étais figée, ne trouvant la force de rester debout que par la peur. Il avait l'air d'hésiter à s'approcher plus, il n'avait pourtant pas l'air d'avoir peur. Il se tenait droit et fier, devant moi, dressé sur ses pattes puissantes, ne détachant toujours pas son regard du mien, comme s'il voulait lire au plus profond de mon âme. Je ne savais pas du tout comment réagir, je n'avais jamais vu un loup comme celui là auparavant. Il n'avait pas l'air aussi sauvage que ceux que l'on croise dans la nature, il avait l'air plus intelligent, plus fort aussi. Il se mit à renifler l'air de sa truffe et soudain, je me souvint que les loups chassent souvent en meute. Il était donc possible que d'autres se cachent derrière les arbres, peut être trois, quatre ou plus encore. Cette idée me glaça le sang, mais il n'y avait aucun signe que d'autres loups trainaient dans les parages alors j'essayais de me ressaisir. Mais mon cœur battait tellement fort dans ma poitrine qu'on aurait cru qu'il voulait en sortir et m'abandonner. La terreur m'envahit totalement. Ma tête ne contrôlait plus rien, l'adrénaline s'imprégnait en moi, faisant se contracter les muscles de mes jambes et je devais lutter contre l'envie de courir. Retenir toute cette énergie en moi, me fit tourner la tête et ma vue se brouilla. A cet instant, j'aurais tant voulu pouvoir séparer mon esprit de mon corps pour ne pas assister à la scène qui allait se produire. Il ne fallait surtout pas bouger, ne pas courir... Il du sentir la peur vibrer en moi car il retroussa les babines, dévoilant ses crocs acérés, et se mit à grogner.
          « Ne cours pas! Ne cours pas! » Ces mots se répétaient sans cesse dans ma tête. Mais mes jambes plus fortes que ma raison, se mirent à courir. Je savais pourtant que cela ne servirait à rien, que si il le voulait il me rattraperait en quelques secondes. Mais je ne voulais pas abandonner, je voulais au moins essayer de lui échapper. Il faisait sombre sous les arbres et le sol était couvert de neige, je pouvais à peine voir où je mettais les pieds. Je sautais pour éviter de justesse un tronc couché et atterri de l'autre coté, sur une pierre dont les bords tranchants m'écorchèrent le pied, ce qui m'arracha un cri. Mais malgré la douleur et le froid je progressais rapidement en évitant les arbres et les branches sur mon chemin, comme-ci rien ne pourrait m'arrêter. Je n'osais pas me retourner, peur de voir la distance sans doute très faible qui me séparait de mon poursuivant. De toute manière, il faisait tellement sombre, que je n'aurais pas pu voir grand chose. Je savais qu'il pouvait se jeter sur moi à tout moment, que je ne le verrais pas venir et que je ne pourrais pas l'éviter. Certaine du destin qui m'attendait, je me préparai à ressentir la douleur de sa mâchoire se refermant sur mes membres, de ses dents me transperçant la chair aussi facilement qu'une lame tranche un morceau de viande.
          Je commençais à m'épuiser, mes membres étaient engourdis par le froid, je ne sentais plus le sol sous mes pieds, ni même les branches m'écorchant le visage. Au moment où j'étais persuadée que c'était la fin, j'eus la sensation de recevoir une décharge électrique, qui parcourut mon corps des pieds à la tête, comme ci toutes les sensations de mon corps se réveillaient d'un seul coup, la douleur, le froid. J'eus l'impression de me déchirer de l'intérieur pendant une fraction de seconde. Jusqu'à ce que la douleur s'évapore ne laissant qu'une sensation de chaleur agréable dans tous mes muscles, comme-ci un soleil me réchauffait de l'intérieur. Je les sentais se contracter sous ma peau, je me sentais forte et puissante. La scène paraissait se passer au ralenti pourtant j'avais la sensation de courir de plus en plus vite. Les arbres défilèrent devant mes yeux à une telle vitesse que je ne les distinguais plus, tout en arrivant à les éviter et à me diriger très aisément.
      Peut être que la peur nous permet de dépasser nos limites, que notre instinct de survie nous rend capable de faire des choses impossibles. Mais au plus profond de moi, je savais que cela n'avait rien à voir avec ça, que c'était autre chose, une vérité que j'avais toujours sue, sans vraiment la connaître.
      Mes sens furent de plus en plus aiguisés: ma vue s'adapta au noir et les ombres des arbres devinrent plus nettes. Je vis presque comme en plein jour. Le vent soufflant sur mon visage me détendit, jamais je n'avais ressenti pareilles sensations. Subitement une lumière blanche intense m'éblouit, on aurait dit qu'elle provenait de moi, plus exactement du pendentif que m'avait offert Elena. Elle se répandit à tout mon corps, j'étincelais entièrement de cette lumière. Au même instant, Mon corps tout entier s'engourdit. Je ne sentais plus rien, je ne sentais même plus mes jambes. Je vis le sol se rapprocher... Étais-je en train de tomber? Pourtant les arbres défilaient toujours aussi vite autour de moi. J'avais l'impression de ne plus être dans mon corps mais plutôt de flotter au dessus. Puis, je me sentis comme aspirée à l'intérieur, mais je me sentais différente. Je n'étais plus moi même cependant, je ne m'étais jamais autant sentie à ma place qu'à cet instant.
          Je courais toujours, plus rapidement encore, mes pattes me portaient sans effort, comme si j'étais aussi légère qu'une plume. La chaleur m'envahit, ma fourrure blanche et épaisse était impénétrable par le froid. Un tas de nouvelles odeurs parvinrent jusqu'à ma truffe. Des odeurs lointaines et pourtant très fortes. Ma faculté à percevoir les choses qui m'entouraient était aussi développée que celle d'un loup. J'entendais les pas du loup noir derrière moi, mais je n'avais plus peur. A présent j'avais une chance de lui échapper. Je ne compris pas comment ni même pourquoi mais je le sus dès l'instant où mes pattes avaient touché le sol, j'étais devenue une louve.
      Une louve qui courait libre comme jamais.
    • denis

      Livraddictien débutant

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      #5 28 Janvier 2012 18:25:40

      Je trouve la chute très belle et fort réussie . L'espace de quelques minutes j'y était dans ce duel peu commun.
      Magnifique :)
    • loulou86

      Lecteur initié

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      #6 28 Janvier 2012 19:50:49

      Oui, moi aussi j'aime beaucoup ton texte. Je trouve que la chute est pas mal, bien menée sur le dernier paragraphe, car j'ai été surpris de voir le champ lexical des animaux (truffe, pattes, etc...), et ça c'est un bon point. Donc, j'ai bien aimé ton texte, et je ne trouve rien à redire. J'espère que tu posteras d'autres textes. :D
    • kiwiriki

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      #7 28 Janvier 2012 22:48:45

      Merci! ça fait plaisir, mais vous avez lu la 1ère ou 2ème version?
      Je posterais peut être d'autres textes mais c'est le seul que j'ai vraiment retravaillé après avoir imaginé donc les autres sont brouillons =(   
      Quand j'aurais du temps...
    • loulou86

      Lecteur initié

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      #8 29 Janvier 2012 09:25:34

      Pour ma part, j'ai lu la deuxième version. :)
    • denis

      Livraddictien débutant

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      #9 29 Janvier 2012 21:21:54

      J'ai lu les deux versions:sifflote: