Synopsis
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Les poètes, quand ils meurent.
Beaucoup qui ne sont qu’utiles se croient indispensables.
Je n’attends personne, pourtant si le train s’arrêtait...
On n’a pas de tableaux dans le salon,
mais on a la fenêtre.
La poésie aime la jeunesse, mais elle s’attarde davantage chez les vieillards.
Où il y a du sucre, il y a des mouches. Où il y a de l’or, il y a des mains.
Le lierre comme l’ennui enveloppe doucement ce qui ne bouge pas.
Chaque pomme est une fleur qui a connu l’amour.
Maximes, réflexions, pensées, saynètes, Le calepin d’un flâneur est le calepin d’un promeneur attentif au temps qui passe et au spectacle de la vie humaine.
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1988 Editions Bibliothèque Québécoise
Langue française | 200 pages | ISBN : 9782894064092
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