Synopsis
Le roman, rédigé vers 1860, met en scène la révolution chartiste anglaise de 1848 : les Chartistes sont massacrés devant Buckingham Palace. La vertu succombe, le vice éhonté triomphe. Il suscita un scandale en raison des références récurrentes de l'auteur au sadomasochisme, au lesbianisme et à ses sentiments antireligieux et républicains.
A. C. Swinburne (1837-1909) est l'un des écrivains les plus singuliers et les plus subversifs de l'ère victorienne. Son œuvre, essentiellement poétique et théâtrale, suscita le scandale en raison de ses références récurrentes au sado-masochisme, au lesbianisme, au suicide, et des sentiments anti-religieux et républicains qu'elle véhicule. Elle comporte également un certain nombre de textes, plus ou moins achevés, qui ne furent publiés qu'après sa mort. Outre des poèmes, des drames, des fragments de récits et des essais, on y trouve plusieurs parodies écrites en français : des vers, des études, deux actes d'une pièce, La Sœur de la reine et le roman La Fille du policeman.
A. C. Swinburne (1837-1909) est l'un des écrivains les plus singuliers et les plus subversifs de l'ère victorienne. Son œuvre, essentiellement poétique et théâtrale, suscita le scandale en raison de ses références récurrentes au sado-masochisme, au lesbianisme, au suicide, et des sentiments anti-religieux et républicains qu'elle véhicule. Elle comporte également un certain nombre de textes, plus ou moins achevés, qui ne furent publiés qu'après sa mort. Outre des poèmes, des drames, des fragments de récits et des essais, on y trouve plusieurs parodies écrites en français : des vers, des études, deux actes d'une pièce, La Sœur de la reine et le roman La Fille du policeman.
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2007 
Editions Ombres (Petite bibliothèque ombres)
125 pages
00 1964
ISBN : 9782841421749
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Avec espoir et curiosité, je me tournai vers ce récit d'un Victorien censuré par le puritanisme, ardent républicain, chantre des libertés, y compris les plus licencieuses. Swinburne livre ici un roman burlesque, un "drame comique" compliqué par la multiplicité des intrigues, où religion et monarchie semblent surexciter son irrévérence. Déçue par l'aspect parodique, je me tournerai vers sa poésie.