Synopsis
Depuis le XIXe siècle, le succès de François Villon (1431-1463 ?) ne s'est plus démenti. Sa vie, réelle ou légendaire, fascine ; son oeuvre a inspiré écrivains, illustrateurs et compositeurs. Des chanteurs comme Georges Brassens ont définitivement assuré son succès auprès d'un large public, surtout en France. Mais, si le " povre escollier " est le plus célèbre parmi les poètes du Moyen Âge, il reste à nos yeux un auteur des plus difficiles à cerner. Les multiples études qui lui sont désormais consacrées placent les ballades, le Lais et le Testament sous des éclairages trop changeants pour ne pas dérouter le lecteur. Le temps était venu de refaire le point. Grâce aux éditions d'un nombre important d'oeuvres du XVe siècle, il est aujourd'hui possible de mieux percevoir la place qui revient à François Villon entre la culture de la ville et la culture des cours, mais aussi de comprendre pourquoi cette oeuvre, si ancrée dans le Paris de son époque, en partie écrite dans le jargon des Coquillards, a pu traverser les siècles.
Édition bilingue français-français médiéval
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J'ai absolument détesté cette lecture qui me fut d'une rare désagréabilité. Le poète fait une poésie basse pour le divertissement, et il ne m'a été que pénible de découvrir ses incessants énamourements et aventures avec des filles de joie, ou encore toutes les fois où il a frôlé la mort. Son testament est d'une longueur qui fait très mal, et on a paradoxalement envie de mourir d'ennui. {10}
J'ai lu ce livre dans le cadre des cours et je suis moyennement convaincue par le bien-fondé de cette écriture. Certes, la plume est intéressante, mais ce n'est qu'un énième journal intime d'un poète plutôt aigri, pour moi...