Synopsis
Ce texte de Mary Austin est l’un des grands classiques de la tradition américaine de nature writing et les critiques de son temps ont comparé sa sensibilité à l’environnement à celles de Thoreau et Muir.
Sa célébration de la beauté du désert la place au commencement de toute une lignée d’écrivains américains qui, de John Van Dyke à Edward Abbey, ont fait porter sur ces régions un regard à contre-courant du désir d’exploitation indissociable de l’histoire de l’Ouest américain.
Se tenant à l’écart tant de l’esthétisme que du sentimentalisme, Austin n’en parvient pas moins, dans une prose sobre mais intense, à évoquer les singuliers pouvoirs d’envoûtement du désert de l’Ouest, tout en laissant entendre de manière poignante la résonance intime du mélange de beauté et de douleur propre à ce lieu.
Sa célébration de la beauté du désert la place au commencement de toute une lignée d’écrivains américains qui, de John Van Dyke à Edward Abbey, ont fait porter sur ces régions un regard à contre-courant du désir d’exploitation indissociable de l’histoire de l’Ouest américain.
Se tenant à l’écart tant de l’esthétisme que du sentimentalisme, Austin n’en parvient pas moins, dans une prose sobre mais intense, à évoquer les singuliers pouvoirs d’envoûtement du désert de l’Ouest, tout en laissant entendre de manière poignante la résonance intime du mélange de beauté et de douleur propre à ce lieu.
Titre original : The Land of Little Rain (1903)
Moyenne
11.5
2 votes
FAIBLE
1 édition pour ce livre
2019 Editions Le mot et le reste
Traduit par François Specq
192 pages
21 février 2019
ISBN : 9782360549221
Qui a lu ce livre ?
3 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
3 membres veulent lire ce livre
2 membres possèdent ce livre
1 chronique de blog
-
12 Septembre 2019belette291115 / 20Lire la chronique
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
1 commentaire
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
-
15 / 20 Le 12 Septembre 2019 à 17:08 belette2911
Ça se lit confortablement installé au soleil, pour en sentir sa morsure et ainsi, on peut se laisser porter par le récit fort bien détaillé de l’auteure, imaginer les paysages, sentir les odeurs et se laisser bercer par ses petites chroniques où il ne se passe rien, mais où il se passe bien des choses car on parle tout de même de la Nature.