Synopsis
Été 2017. Pauline Delabroy-Allard passe trois semaines seule dans une « maisontanière » pour se retirer du monde.
Chaque jour elle écrit en écoutant un vinyle qu'elle prend ensuite en photo. La musique, les paroles, les voix, la ramènent à ses souvenirs proches ou lointains, ses joies et ses peines.
Été 2019. Deux ans ont passé. L'autrice se réfugie dans une autre maison, celle dans laquelle elle a écrit Ça raconte Sarah, son premier roman qui a changé sa vie. C'est en position couchée qu'elle se laisse traverser par ses sentiments, qu'elle écoute son corps, comme les histoires inscrites sur les murs et les plafonds de cette maison.
Sublimé par une écriture à l'os, vibrante, ce texte nous invite à l'intériorité et au recueillement : cette maison-tanière devient aussi la nôtre.
Chaque jour elle écrit en écoutant un vinyle qu'elle prend ensuite en photo. La musique, les paroles, les voix, la ramènent à ses souvenirs proches ou lointains, ses joies et ses peines.
Été 2019. Deux ans ont passé. L'autrice se réfugie dans une autre maison, celle dans laquelle elle a écrit Ça raconte Sarah, son premier roman qui a changé sa vie. C'est en position couchée qu'elle se laisse traverser par ses sentiments, qu'elle écoute son corps, comme les histoires inscrites sur les murs et les plafonds de cette maison.
Sublimé par une écriture à l'os, vibrante, ce texte nous invite à l'intériorité et au recueillement : cette maison-tanière devient aussi la nôtre.
Moyenne
15.9
46 votes
BON
1 édition pour ce livre
2021
Editions L'Iconoclaste
88 pages
8 avril 2021
ISBN : 9782378801953
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10 commentaires
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Un recueil intime pour accompagner l'autrice dans son introspection. De beaux textes sur le pouvoir des lieux, la solitude. Ce recueil est nostalgique voir mélancolique. J'ai adoré le poème du 28 juillet qui parle de sa fille et celui du 16 juillet qui parle des profondeurs de la maison. J'ai aimé l'idée de la première partie de mêler musique et poème. La seconde partie était moins immersive.
Un recueil sensible et à vif.
Des petits mots qui en disent long. On ressent de la mélancolie, parfois de la tristesse mais toujours dans le but de réfléchir sur soi. L’autrice nous transporte dans son univers grâce à ses arts.
Un recueil original, un vague à l’âme sensuel qui emporte le lecteur. Pauline se livre par petites touches, comme des murmures, il suffit de prêter l’oreille. Une sensibilité à fleur de peau, la mélancolie qui transpire à chaque page, les maux qui deviennent des mots, magnifique.
Quel régal de retrouver l'écriture de Pauline, dans ces poèmes où on la sent mélancolique, parfois triste, souvent en quête d'elle même - des poèmes sur le retour à soi et se relever lentement, mais sûrement, dans un lieu où l'on se sent aimé, et en sécurité.